11/05/2016
Bruno LE MAIRE, officiellement candidat à la primaire de Novembre
Officiellement candidat !
Ce mardi 10 mai, Bruno Le Maire a déposé à la Haute Autorité chargée de l'organisation de la primaire les parrainages nécessaires pour valider sa candidature à la primaire ouverte des 20 et 27 novembre 2016 : plus de 3 000 parrainages d'adhérents Les Républicains, 351 parrainages d'élus, dont 32 de parlementaires.
Retrouvez en cliquant ici en toute transparence la liste des 351 élus ayant parrainé pour l'heure.
N'oubliez pas que vous pouvez envoyer votre parrainage jusqu'au 8 septembre !
Grand Oral de la Fondation Concorde : les 1ères lignes du programme économique !
- 3 séries d'ordonnances sur 3 sujets clés dès l'été 2017 : autorité de l'Etat, travail et solidarité
- Baisse des dépenses publiques à 2 conditions : ne pas infliger de purge aux Français et investir dans la Justice et la Défense
- Baisse des dépenses publiques en supprimant notamment le statut de la fonction publique territoriale, en passant l'âge de départ à la retraite à 65 ans, en supprimant tous les régimes spéciaux de retraite, en créant une allocation sociale unique
- Baisse de la fiscalité sur les revenus du capital à 25%
- Suppression de l'ISF
- Laisser à chaque entreprise la liberté de négocier le temps de travail et le déclenchement des heures supplémentaires
- Application du projet présidentiel sans négocier avec les syndicats
- Donner la priorité aux demandeurs d'emploi et aux personnes peu qualifiées pour la formation professionnelle
- Rendre naturel l'accès au CDI grâce à un CDD avec des droits croissants pour les salariés
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08/05/2016
A Paris : le communautarisme et le PS...
Récemment, un colloque interdit aux Blancs a été organisé à l'université Paris-VIII. Plusieurs cadres du PS, parmi lesquels le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, ont refusé de condamner l'événement. Encore une illustration du clientélisme de ce parti.
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02/05/2016
Les premières ébauches du programme de Bruno lemaire
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27/04/2016
Le tripatouillage complice des chiffres du chômage
L'achiffrisme est le pendant de l'illétrisme : l'incapacité à lire et donc à comprendre les chiffres par beaucoup de médias et de politiques, de droite comme de gauche, par manque aussi de connaissance de l'entreprise...
Nouvel exemple ce mois-ci avec la publication par POLE EMPLOI du chiffre des inscriptions (et non du chiffre du chômage comme les médias aiment à le dire).
On apprend donc que le chômage aurait baissé de 1,7 % en un mois puisque le nombre de demandeurs d'emploi inscrit en catégorie A (demandeurs d'emplois sans aucun emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi) a reculé de 60 000. Que cache ce chiffre?
Qu'en réalité le nombre de chômeurs a augmenté une nouvelle fois.
- parce que ce chiffre ne concerne pas ceux qui ont travaillé même une seule heure dans le mois (les catégories B et C : les demandeurs d'emplois tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi mais ayant exercé une activité réduite). Or le nombre de ces chômeurs a, au contraire, augmenté en mars !
- parce que ce chiffre ne concerne pas ceux qui sont dispensés de rechercher un emploi ( les catégories D et E qui sont dispensés de rechercher un emploi parce qu'ils sont en stage, en formation, en maladie, bénéficiaires de contrats aidés, etc). Or le nombre de ces chômeurs a augmenté en mars !
- parce que ce chiffre ne concerne pas nos compatriotes d'outre-mer dont le nombre de chômeurs continue de croître. Pourtant, l'outre-mer recensait en mars 2016 quelque 259.000 demandeurs d'emploi en catégorie A et pas moins de 335.000 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi, dans l'ensemble des catégories !
- parce que ce chiffre ne tient pas compte des cessations d'inscription par radiation si POLE EMPLOI estime que vous avez fait insuffisamment de recherches de travail, parce que vous avez refusé de suivre une formation ou d'accepter un contrat-poubelle (+ 11 %) et par défaut d'actualisation (+ 3%)
- parce que ce chiffre ne tient pas compte des personnes qui ne travaillent pas, souhaiteraient travailler, mais ne sont pas disponibles immédiatement ou ne recherchent pas d'emploi car elles se sont découragées. Ces personnes ne sont pas comptabilisées dans le taux de chômage au sens du BIT. L'Insee recense donc, à part, les personnes qui composent ce halo. En 2015, l'Insee a évalué le nombre de ces chômeurs découragés ou indisponibles à 2,86 millions.
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20/04/2016
Alain Juppé réagit à l'intervntion du président Hollande...
François Hollande ne comprend pas les entrepreneurs
C’est la réaction d’Alain Juppé à l’issue de l’émission du chef de l’État sur France 2 de jeudi dernier. Pour notre candidat : « François Hollande n’a pas compris ce qu’attendait de lui la jeune femme chef d’entreprise : la volonté de faire sauter les freins à l’embauche qui dissuadent les entreprises, et surtout les PME, de recruter alors qu’elles auraient besoin de le faire ».
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16/04/2016
L'info-lettre du sénateur de Paris, Dominati
Libérez nos entreprises !
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Alain JUPPE nous informe...
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Bruno Le Maire ce dimanche 17 avril 2016...
Bruno Le Maire sera ce dimanche l'invité de Laurent Delahousse
au JT de 20h de France 2.
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25/03/2016
Infolettre de Philippe Dominati
Retoqué Cinq semaines après son vote à l’Assemblée nationale, le projet de révision constitutionnelle sur l’état d’urgence et la déchéance de nationalité a été soumis à l’examen du Sénat. En réaction aux attentats du 13 novembre, François Hollande a proposé au Parlement de modifier notre loi fondamentale afin d’y inscrire l’état d’urgence et la déchéance de la nationalité française pour les terroristes. Voici maintenant quatre mois que ce projet de révision occupe l’espace médiatique. Ce sujet semble pourtant lasser bon nombre de Français, car leur bon sens les pousse à croire que les réponses à la menace terroriste sont ailleurs. Ils comprennent que ce Président au bilan si peu reluisant s’agite pour constituer autour de lui l’union nationale. Un bricolage superflu de la Constitution Certains perçoivent plus la manœuvre que le fond. D’autres nous interrogent sur l’utilité réelle qu’il y aurait à modifier la Constitution. Pour ma part, j’ai pu vérifier à l’occasion de ces longues heures de débat que les procédures d’état d’urgence et de déchéance de nationalité demeurent déjà inscrites dans le corpus législatif de la République. En conséquence, il n’est pas utile de changer la Constitution pour pouvoir appliquer ces deux mesures. C’est déjà la cinquième révision de la Constitution qui m’est proposée en tant que parlementaire par un Président de la République. Or, je reste marqué par mon opposition à la révision de la Constitution voulue par le Président Jacques Chirac pour y introduire le principe de précaution. De mémoire, nous n’étions qu’une petite vingtaine de parlementaires à rejeter cette idée. Et je constate aujourd’hui, aussi bien à droite qu’à gauche, que nombreux sont ceux qui regrettent cette modification. Je rappelle ce fait pour exprimer ma réticence naturelle à toute révision hâtive et émotionnelle de la Constitution. Une majorité disloquée La véritable surprise politique de cette manuvre présidentielle, c’est qu’elle a disloqué sa majorité parlementaire. Pour masquer cette déchirure, le gouvernement a donc dû modifier profondément, à l’Assemblée nationale, le projet présenté par le président de la République au Congrès de Versailles. Chancelant, quelques jours seulement avant de subir une nouvelle fronde avec la loi El Khomri, le pouvoir socialiste n’envisage plus de modifier réellement la Constitution. Il ne cherche qu’à arrêter le processus constitutionnel, en faisant supporter à la droite l’échec de cette révision symbolique. C’est la tonalité du discours du Premier ministre pour souhaiter un vote axé uniquement sur le texte voulu par le groupe socialiste de l’Assemblée nationale. C’est pour cette raison que les sénateurs Républicains et centristes ont suivi le président du Sénat pour laisser une chance au processus en cours, en renvoyant à l’Assemblée nationale un texte préservant l’essentiel. Il appartient désormais à la majorité socialiste de se soumettre à un consensus national ou de renoncer à modifier la Constitution. Par mon vote, j’ai voulu avec mes collègues faire preuve de discipline, afin d’obliger le gouvernement à prendre ses responsabilités. Mais ce texte n'a été adopté que par 176 voix pour, 161 contre et 11 abstentions, bien loin de la majorité des trois cinquièmes nécessaire. Par conséquent, cette révision constitutionnelle, de nature politicienne, est d'ores et déjà retoquée.
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