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11/10/2016

La lettre de Philippe DOMINATI

La City, pourquoi pas Paris ?
 
Trois mois après le vote des Britanniques en faveur du Brexit, le Royaume-Uni a annoncé, par la voix de son Premier ministre Theresa May, le déclenchement d’ici la fin mars 2017 de la procédure de sortie de l’Union européenne. Ce retrait programmé nous amène à nous interroger sur l’adaptation franche et rapide de notre environnement réglementaire et surtout fiscal, afin de favoriser l’attractivité de la place financière de Paris.
 
Avec un pôle de gestion d’actifs de 3.600 milliards d’euros, notre capitale dispose d’atouts potentiels pour détrôner la City et devenir, devant Londres, Francfort ou Dublin, la première place financière européenne. Encore faut-il ne pas les gâcher. L’enjeu n’est pas mince : l’an dernier, en île-de-France, l’industrie financière représentait la troisième activité en nombre d’emplois (près de 350.000 !).
 
Une inertie gouvernementale
 
Début juillet, dans la foulée du référendum, François Hollande et Manuel Valls ont compris la nécessité de dégainer l’arme fiscale, proposant d’abaisser à 28% le taux de l’impôt sur les bénéfices des sociétés et d’allonger, de 5 à 8 ans, le bénéfice des avantages fiscaux offerts aux impatriés. Le dispositif des impatriés, qui concerne les personnes, reste peu connu. Il n’existe que pour atténuer la grande différence de pression fiscale avec le Royaume-Uni et l’Allemagne, qui eux ne connaissent pas l’ISF et jouissent d’une fiscalité nettement moins pénalisante.
 
En France, contrairement aux autres places boursières des pays développés, les pouvoirs publics rechignent depuis longtemps à prendre les mesures nécessaires pour attirer les grands décideurs financiers. La rude compétition qui oppose les candidats à la primaire de la droite est en train de briser ces tabous.
 
Il faudra, tout d’abord, faire vite et supprimer radicalement l’ISF. Concernant l’impôt sur les sociétés, je constate avec un certain plaisir que tous les candidats ou presque s’accordent sur le principe d’une réduction importante. 
L’IS français est aujourd’hui supérieur à 33%, alors qu’il est de 29% en Allemagne et de l’ordre de 20% au Royaume-Uni. Cela démontre que, malgré nos efforts, nous resterons en cas d’alternance dans la fourchette haute par rapport à nos grands partenaires mais non moins concurrents européens.  La troisième mesure nécessaire, qui n’est à mon sens pas encore suffisamment abordée, concerne la fiscalité des revenus tirés de capitaux mobiliers. Ce point est essentiel si l’on veut réconcilier les Français avec la finance, afin qu’ils ne la considèrent pas comme un ennemi. Elle peut atteindre chez nous jusqu’à 58,5%, là où, en Allemagne, il existe un taux unique de 26,4%. L’idéal serait, bien évidemment, d’envisager une flat tax sur l’ensemble des revenus.
 
Revendiquer la première place !
 
L’évocation de ces quatre volets traduit bien le caractère dérisoire des assouplissements prévus par l’exécutif socialiste. François Hollande a donné une image de la France traumatisante pour les investisseurs et l’élite financière internationale. Fort heureusement, son mandat s’achève. Mais Anne Hidalgo, soucieuse d’incarner l’aile gauche de la majorité présidentielle sortante, reste dans une posture idéologique rigide, et l’on peut craindre que Paris laisse passer l’occasion historique de prendre l’ascendant dans un domaine aussi important pour la construction européenne.
 
Parce que le siège du Parlement européen est à Strasbourg, Paris reste l’une des seules grandes villes européennes à ne pas tenir un rang digne de son importance. Dans la perspective de la prochaine alternance, j’espère que le gouvernement corrigera cette réalité et adoptera des positions fortes qui, le cas échéant, ne pourront pas être récusées par la maire de Paris. C’est dans cette perspective que je proposerai, avec d’autres parlementaires, des mesures emblématiques à l’occasion du prochain budget. Pour ne pas laisser filer notre chance…
 
L'omnipotente Commission européenne !
 
Evoquant dans une précédente infolettre la crise de légitimité que traverse l’Union européenne, j’insistais sur les méfaits du bureaucratisme bruxellois, dont les dérives technocratiques ont souvent un effet dévastateur sur les opinions publiques européennes. Un nouvel exemple est venu illustrer cette dérive : la nomination, par le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, de Michel Barnier comme "négociateur en chef responsable du groupe de travail de la Commission chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni". Comment comprendre une telle ingérence de la Commission de Bruxelles ? C’est le Conseil de l’UE, organe représentatif des Etats membres et réunissant leurs ministres, qui est le seul légitime à prendre une telle décision.
Brexit : et après ?
 

Le Royaume-Uni avait rejoint la Communauté économique européenne (CEE), ancêtre de l’actuelle Union européenne (UE), en 1973, après un référendum approuvé par 67% des Britanniques. Suivant le même processus, le même Royaume-Uni a donc décidé en juin, à 52%, de se retirer. Puisque les Britanniques sont liés par des traités internationaux, c’est à eux de gérer leur dénonciation. Ce n’est pas la priorité des hommes politiques européens, dont nous attendons qu’ils consacrent toute leur énergie à la question du périmètre de l’UE, à la politique migratoire du continent ou encore à l’avenir de son intégration fiscale ou budgétaire.
 

Les news de Bruno Le Maire

 

 

 
 
 
 

10/10/2016

Primaire : Sarkozy et Fillon prennent position sur la prétendue "théorie du genre"

thumbnail_1475753774.jpgThéorie du genre

Sarkozy et Fillon soutiennent le pape

Nicolas Sarkozy s'est rangé mercredi à Montauban à l'avis du pape François qui a cré la polémique en déplorant la présence de la prétendue "théorie du genre" dans les manuels scolaires en France. 

Encore une raison pour laquelle nos concitoyens se détournent de la politique...

Le gouvernement a prévu d’augmenter encore de 25 % les flashs des radars l’année prochaine.

Pour tous les conducteurs qui roulent raisonnablement, cela veut dire 25 % de risques supplémentaires de se faire flasher pour quelques km/h de plus que la limite autorisée. C’est insoutenable : regardez vite cette nouvelle vidéo.

Vous y découvrirez la face cachée de la sécurité routière : un business florissant, qui profite à des grandes entreprises, à l'Etat et aux dirigeants politiques.

Tous les Français ont le droit de savoir. Alors, après avoir regardé cette nouvelle vidéo, n'hésitez pas à transférer cet email à vos contacts.

bouton video

POUR VOIR LA VIDEO MERCI DE CLIQUER ICI

09/10/2016

Le 14 novembre : meeting de bruno Le Maire à Paris.

 

Grand meeting de campagne de Bruno Le Maire

lundi 14 novembre à 19h (ouverture des portes)

à Paris

aux Docks de Paris (Dock Pullman)

50 avenue du Président Wilson - 93200 La-Plaine-Saint-Denis

(Métro 12 Front Populaire / RER B La Plaine - Stade de France)

 
 
 
 

N'hésitez pas à rejoindre nos équipes et/ou faire un don pour soutenir l'action de Bruno Le Maire.

Le 13 octobre, 1er débat entre les candidats de la primaire !

Alain Juppé pour la France

J-5 avant le jeudi 13 octobre 2016, date du premier débat télévisé de la primaire ouverte de la droite et du centre !



Chers Amis,

Comme vous le savez, le 1er débat télévisé de la primaire de la droite et du centre se déroulera jeudi 13 octobre à 20H50 sur TF1.

Ce débat donnera un coup de projecteur important sur la primaire. Il doit être l'occasion de rappeler que l'ensemble des Françaises et des Français souhaitant construire l'alternance autour d'Alain Juppé pourront aller voter, indépendamment de leur appartenance ou non à un parti politique.

Afin de nous mobiliser autour de cet évènement, nous vous invitons à réunir chez vous les membres de votre famille, vos proches, et au-delà, pour vivre ensemble ce riche moment d'échanges !

Vous aussi, participez à l’opération Le Débat, C'est Chez Moi !



Ensemble, nous réussirons une mobilisation importante autour de ce débat !

Vous remerciant pour votre soutien de chaque instant,


Le Pôle Mobilisation
Alain Juppé 2017
www.alainjuppe2017.fr

08/10/2016

Un mail de Bruno LE MAIRE

 
Youtube

Madame, Monsieur, Chers amis, 

 

Depuis 2012, je vais à votre rencontre.

 

Fort des 445 déplacements que j'ai effectué partout en France, j’ai bâti avec mes équipes un projet sous la forme d'un contrat présidentiel que je porte avec conviction.

 

Ces convictions sont les miennes et elles sont le reflet de nos échanges : vous pouvez me faire confiance, je ne les abandonnerai pas, je ne les abandonnerai jamais !

 

Cette volonté que j’incarne, cette liberté acquise grâce à vous, m’obligent : c'est pourquoi je ne rallierai personne au soir du premier tour, je vous en fais la promesse !

 

A moins de 50 jours du premier tour de la primaire de la droite et du centre, j'ai plus que jamais besoin de votre soutien pour mener à bien les combats indispensables à l'avenir de notre pays.

 

 

 

06/10/2016

Alain JUPPE sur FRANCE 2 ce jeudi 6 octobre 2016

Ce soir, je vous donne rendez-vous sur France 2 pour suivre et soutenir Alain Juppé dans l'Émission Politique. 

Pendant deux heures d'émission, notre candidat exposera ses propositions concrètes et sa vision pour le pays, et il répondra aux questions des journalistes et des Français.

C'est un rendez-vous à ne pas manquer : 

L'émission politique sur France 2  
Jeudi 6 octobre à partir de 20h55  
(Suivez et diffusez ses propositions avec le hashtag #LEP)

A ce soir devant nos écrans. Il compte sur nous. 

Gilles Boyer 
Directeur de campagne 
Alain Juppé 2017 

www.alainjuppe2017.fr

05/10/2016

Alain Juppé : "mon plan pour réformer la France"

Alain Juppé pour la France

Alain Juppé : "Mon plan pour réformer la France"

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Ce week-end, Alain Juppé s’exprimait dans le JDD sur la méthode pour gouverner et réformer la France. Pour notre candidat, ce ne sont pas les 100 premiers jours de l’exercice du pouvoir qui comptent mais les 100 jours qui précèdent l’élection. Extrait :

« Je distingue trois périodes : 100 jours, 6 mois, 5 ans. Je mets l’accent sur les 100 jours avant l’élection, et non après, parce que je veux obtenir des Français un mandat clair. Une des raisons de l’échec de Hollande et des blocages sur la loi Travail, c’est qu’il n’avait jamais dit en 2012 qu’il voulait réformer le Code du travail ! Il voulait "terrasser la finance internationale", qui, d’ailleurs, se porte toujours bien. Je veux absolument changer de méthode et dire avant l’élection ce que j’ai l’intention de faire, de façon précise, pour que les Français votent en connaissance de cause. »