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18/01/2017

Emmanuel Macron?

François Fillon n'était pas pour nous le meilleur candidat à la Présidentielle.

Mais c'est actuellement le meilleur.

Ni la gauche, ni l'extrême gauche, ni le FN n'ont une vision correcte de ce qu'il faudrait pour notre pays.

Alors M. Macron?

Non.

Parce que son bilan est négatif : il a été complice de François Hollande comme conseiller puis comme Ministre. pendant 4 ans ½, les prélèvements obligatoires ont augmenté de plus de 47 milliards d'Euros. Près d'un point de croissance perdu pendant ce quinquennat. Le chômage a considérablement augmenté. sa loi sur la croissance a accouché de la seule libéralisation du transport en autocar mais elle a encombré les Conseils de Prud'hommes de nombreuses réformes qui se révèlent inapplicables et qui, si elles étaient appliquées, augmenteraient le temps de traitement des affaires.

parce ce qu'il propose est collectiviste, étatiste et sclérosant. Il ne veut pas chercher à revenir à l'équilibre dans les dépenses publiques (cf son livre révolution), Il maintien le dogme stupide des 35 heures et ne veut pas abroger le délirant ISF. Quant à la fusion annoncée du RSI et de l'URSSAF, on ne voit pas où serait le gain d'efficacité ou de productivité...

Parce qu'il est incapable de dépasser la vision socialiste de maintien de ce qui ne marche pas : système fiscal, code du travail, seuils sociaux, etc...

08/01/2017

Toujours de nouvelles contraintes avec la gauche au pouvoir...

La très efficace Madame Cosse a décidé, qu'en application de la loi de la très performante Madame Duflot, qu'à partir du 1er février 2017, on ne pourra plus mettre en location un logement sans avoir l'autorisation de le faire après déclaration, sous menace d'une amende de 5 000 € et de 15 000 € si on décide malgré un avis défavorable de louer !!!

C'est valable dans certains secteurs géographiques non encore définis mais il y  a fort à parier que la municipalité socialiste de Paris se portera volontaire pour faire partie de ces secteurs...

Comment décourager les gens d'investir dans le logement ? Comment les éloigner de ces politiques qui eux-mêmes sont si éloignés de la vraie vie ?...

Abattoirs : oui à la videosurveillance : interpellez notre députée, Mme DAGOMA, avant le 12 janvier !

Urgent, interpellez vos députés Edwige
Abattoirs : oui à la vidéosurveillance
Bonjour Edwige
Le 12 janvier, une proposition de loi sera débattue à l’Assemblée nationale pour encadrer plus strictement les conditions d’abattage. L’installation de caméras de contrôle a été rejetée par la Commission des affaires économiques en décembre, mais cette proposition cruciale sera réintroduite sous forme d’amendement par le député Olivier Falorni. Pour que la vidéosurveillance ait une chance d’aboutir, demandez dès aujourd’hui à votre député-e de soutenir cet amendement.
J’écris à mon député
CIWF encourage le contrôle vidéo obligatoire et nous l’avons recommandé lors de nos auditions auprès de la Commission d’enquête, en juillet et en décembre dernier. Le contrôle vidéo au poste d’abattage permet de répondre à de nombreuses problématiques et infractions en abattoir. Vous pouvez lire notre synthèse pour savoir pourquoi il devrait être obligatoire et strictement encadré.
Vidéo dans les abattoirs : à vous d'agir !
Nous avons adressé aux 577 députés une lettre co-signée avec 9 autres associations pour appuyer cette demande. C’est désormais à votre tour d’agir. Vous aussi, vous pouvez œuvrer pour que les animaux aient une fin de vie moins cruelle : demandez à votre député de soutenir la vidéosurveillance dans les abattoirs. Un milliard d’animaux sont abattus chaque année en France. Prenez une minute pour eux.
Je sollicite mon député
Merci d’agir pour réduire les souffrances dans les abattoirs français.
Amicalement,
Aurélia Greff
> Responsable Campagne
PS : La fin de vie des animaux est trop souvent effroyable, sollicitez vos députés afin qu’ils votent pour cet amendement, c’est important.

 

06/01/2017

les primaires de la gauche dans le 10e

C'est le 22 janvier et le 29 janvier que les Primaires de la gauche se tiendront.

Pour faciliter la vie des électeurs, un dispositif de géolocalisation sera disponible dès lundi 9 janvier sur le site lesPrimairescitoyennes.fr afin de connaître l’emplacement du bureau de vote le plus proche. 

28/12/2016

Une initiative judicieuse et sage de François Hollande...

Catherine Sauvage.jpgLa grâce que le Président de la République a accordé à Jacqueline Sauvage est judicieuse et sage.

Les magistrats n'avaient fait qu'appliquer la loi, ce qu'on ne peut leur reprocher.

Mais cet acte devrait aider nos concitoyens à prendre conscience de la violence qui peut exister entre conjoints.

Cette grâce devrait permettre de mettre en place les moyens nécessaires pour que cette violence puisse être plus facilement dénoncée et que les conjoints concernés puissent trouver des structures d'accueil.

27/12/2016

Encore une baisse du chômage en trompe l’œil

Encore une baisse du chômage en trompe l’œil. Les journalistes continuent de répéter n’importe quoi sans rien vérifier.

Si on prend la peine de vérifier les chiffres de la DARES du Ministère du travail et si on ne se contente pas du simple communiqué de presse envoyé aux médias, voici ce que l’on constate :

  • La baisse de 31 800 personnes dont on  se vante ne concerne, faut-il le répéter, que les chômeurs de catégorie A en métropole.
  • Le nombre de chômeurs en formation ou qui ont travaillé ne serait-ce qu’une heure a augmenté, c’est-à-dire les catégories B et C a, au contraire augmenté de 3,8%.
  • En vérité, donc, le chômage a encore augmenté ce mois-ci au total de 15 000 personnes !

Voici les vrais chiffres :

Demandeurs d'emploi par catégories :

A : 3 447 000 -0,9 % (- 3,4 % sur 1 an).

B : 727 500 -0,2 % (+ 1,8 % sur 1 an) travailleurs pauvres moins de 78 heures.
C : 1 301 300 + 3,8 % ( + 11,8 % sur 1 an ) travailleurs pauvres de + de 78 heures. 

D : 338 300 + 4,3 % (+ 21,9 % sur 1 an) stages parking, occupationnels etc.
E : 424 300 -1,3 % (+ 1,2 % sur 1 an  contrats aidés etc.

TOTAL : 6 238 500 (données corrigées), hors DOM TOM, soit + 1,5 % sur 1 an, 23 500 chômeurs de plus, par rapport à octobre.

TOTAL, dom-tom compris : 6 574 100

Quelques chiffres qui parlent :

Chômage Longue durée (entre 2 et 3 ans) : - 1,1 % sur 1 an.
Chômage Très Longue Durée + de 3 ans : + 3,5 % sur 1 an.

Chômage des 50 ans et +, + 4,8 % sur 1 an.

1 chomeur inscrit à pôle emploi sur 2 (48,78 %) ne perçoit AUCUNE INDEMNITE, ni ARE (allocation retour à l'emploi), ni allocation de solidarité (ASS, AER).

http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/pi-mensuelle-...

26/12/2016

Comment la gauche au pouvoir continue de restreindre nos libertés...

Ou est la transparence tant vantée par le président Hollande?

De nombreux textes pris en catimini restreignent les libertés des citoyens en cette fin d'année, sans qu'aucun journaliste ne s'en émeuve :

- les arrêtés des 1er septembre et 6 octobre 2016 créent la présomption de délinquance pour ceux de nos concitoyens qui s'installent à l’Étranger : les Français qui osent s'installer hors de France sont désormais fichés avec numéro fiscal, état civil du contribuable et de son conjoint, adresse dans le pays de destination, date du départ, situation matrimoniale, nombres de personnes à charge et autres "données relatives à la vie personnelle". L’État fait tout pour faire partir les Français à haut revenu !

- le décret du 28 octobre 2016 crée le fichier TES réunissant pour des millions de Français avec notamment photo, empreintes digitales, date de naissance, domicile, etc.

- le décret du 10 novembre 2016 offre à TRACFIN l'accès au fichier policier des personnes faisant l'objet d'une décision judiciaire ou administrative.

- l'ordonnance du 1er décembre 2016 soumet les commerçants à l'obligation de dénoncer les clients sur lesquels ils auraient des soupçons de blanchiment

- on pourrait ajouter le reconduction de l'état d'urgence, la rémunération des informateurs, l'augmentation du taux des pénalités, l'obligation d'apposer sur son pare-brise la vignette anti-pollution aux côtés de la vignette d'assurance, etc...

En France, la gauche, comme la droite, adorent contraindre, restreindre, créer de nouveaux interdits, de nouvelles obligations. Et les partis s'étonnent de la désaffection des citoyens qui ne demandent qu'une chose : qu'on les laisse vivre !

15/12/2016

La lettre du sénateur Dominati

Dominati.jpg

Cazeneuve : quel mauvais bilan !
 
      Le renoncement de François Hollande à briguer un second mandat a aussitôt poussé Manuel Valls à déclarer sa candidature, entraînant de fait un ultime jeu de chaises musicales au gouvernement : Bernard Cazeneuve, remplacé par Bruno Le Roux, a donc quitté la place Beauvau pour Matignon.
      Au piteux bilan de François Hollande figure pourtant en bonne place la faillite sécuritaire de Bernard Cazeneuve. Rarement la défiance des forces de l’ordre envers leur hiérarchie n’aura été aussi grande et unanimement partagée.
       Désigné en 2014, quelques semaines avant l’attentat contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher, comme rapporteur spécial au Sénat du budget « Sécurité », j’ai pu contribuer à la mobilisation de la nation contre la menace terroriste et participer au Parlement à toutes les décisions primordiales. Le seul argument du pouvoir, depuis cette date fatidique du 7 janvier 2015, a été d’évoquer la baisse des effectifs des années Sarkozy et la hausse engagée depuis le début des attentats.
      Ce seul discours a semblé suffisant depuis deux ans pour que le ministre de l’Intérieur se contente d’affirmer et de revendiquer ce choix comme étant la réponse adéquate aux angoisses de nos concitoyens.
     Dans le projet de budget initial de 2017, on constate qu’il y aura certes 5 000 policiers supplémentaires par rapport à 2009, mais au détriment des investissements qui, sur la même période, seront inférieurs de 140 millions d’euros ! « Plus d’effectifs, moins de moyens » : tel aura été la réalité de la gestion de la crise par Bernard Cazeneuve depuis deux ans au ministère de l’intérieur.
      Lors de l’examen du projet de budget de l’Etat pour 2017, notre majorité sénatoriale n’a eu d’autre choix que de le rejeter en bloc. Rarement, en effet, nous avions connu une telle insincérité dans des documents budgétaires. En ce qui concerne plus spécifiquement la Police et la Gendarmerie, c’est avec regret mais responsabilité que nous avons dû sanctionner l’action d’un ministre qui, dans trois domaines, aura fait fausse route : le dogme fallacieux des effectifs, la paupérisation des moyens et, surtout, une attitude cynique à l’égard des forces de l’ordre par la multiplication de promesses non tenues ou illusoires.
 
L’illusoire dogme des effectifs
 
        Le choc de la série d’attentats qui a fait 236 victimes a logiquement placé la question de la sécurité intérieure au cur des préoccupations de nos concitoyens. D’autant qu’une crise migratoire d’une ampleur inédite s’est traduite pour nos policiers et gendarmes par un surcroît d’activité.
     Le ministre a fait semblant d’apporter une réponse en augmentant légèrement les effectifs, mais il a, dans le même temps, accepté la principale revendication du syndicat classé à gauche pour modifier les rythmes en vigueur dans la police nationale à partir de la fin du premier semestre de 2017. Cette décision, si la réforme devait être appliquée, entraînera une augmentation de la masse salariale de plus de 20 %.
        Ce nouveau rythme dit du « vendredi fort » impliquera dans la plupart des départements la création de brigades supplémentaires. Dans le même temps, pour répondre à une harmonisation européenne, nos gendarmes travaillent depuis le mois de septembre sous le régime d’une instruction provisoire. Le directeur général de la gendarmerie qualifie même de « capitale » la négociation avec Bruxelles, faute de quoi les besoins en heures de travail exploseront. Pourtant la France est, avec l’Italie, le pays d’Europe qui compte les plus importantes forces de sécurité par rapport à la population : 1 policier ou gendarme pour 248 habitants, 1 pour 320 en Allemagne. La gestion de nos forces de sécurité ne dépend pas des effectifs, mais bien de l’effectivité du temps de travail.
 
Une paupérisation toujours rampante
 
        La colère exprimée par les policiers pendant de longues semaines, en octobre et novembre, partout dans le pays, a démontré que l’absence de moyens n’était plus acceptable. Ils ont le sentiment que seules les unités dédiées à la lutte anti-terroriste, au renseignement ou à la politique migratoire ont bénéficié de nouvelles dotations.
        Or, sur chacun de ces sujets, le Gouvernement n’a pas su apporter les réponses nécessaires. En témoigne l’extrême déséquilibre du ratio investissement/fonctionnement. En 2017, les dépenses de personnel représenteront 87,2 % du total des dépenses du ministère de l’Intérieur. à titre de comparaison, le ratio d’investissement et de fonctionnement est deux fois plus élevé pour un policier londonien (14.303) que pour un policier français (7.400). Quant aux tâches indues, leur diminution promise par le Gouvernement ne s’est, elle non plus, jamais concrétisée. Ainsi, moins de 45 % des policiers peuvent être sur le terrain.
 
Une attitude cynique
 
        Face à cette deuxième fronde des policiers sous le mandat de François Hollande (la première ayant eu lieu sous les fenêtres de Madame Taubira, trois mois avant sa démission, pour protester contre la politique pénale du gouvernement), le ministre de l’Intérieur s’est rappelé que cette situation était paradoxale, à l'heure où le pays est placé sous l’état d’urgence. Aussi, après avoir été reçu par le président de la République en présence des syndicats policiers, il a annoncé que 250 millions d’euros seraient débloqués pour financer des équipements nouveaux. Hélas, quelques jours plus tard, le gouvernement s’est contenté d’un amendement de 100 millions dont 10 étaient bloqués par un principe de précaution budgétaire. Ainsi, quand Cazeneuve annonce 250 il faut s’attendre à 90. La confiance est brisée et dans toute la France une grève des procès-verbaux se développe afin d’amoindrir les recettes de l’Etat. Tout le monde y perd, surtout la crédibilité de l’exécutif.
        Ce ministre soigne sa communication et, à défaut d’être efficace, rassure. C’est sans doute pour ces qualités que le président lui a demandé de diriger le gouvernement pour les cinq mois qui restent. Il ne faut cependant pas en attendre beaucoup….

10/12/2016

C'est Seybah DAGOMAH qui sera candidate pour le parti socialiste dans la 5e circonscription

Seybah_Dagoma_portrait-1-200x200.jpgLes militants des 3e et 10e arrondissements de Paris ont désigné Madame Seybah DAGOMA comme candidate aux Législatives de juin 2017. C'est intelligent et démocratique...

Pour le parti Les Républicains, comme du temps de l'UMP, ce sont les pontes du parti qui désigneront le candidat, contre l'avis des militants locaux avec le résultat que l'on sait, puisque les statuts des Républicains sont copiés sur ceux de l'UMP...