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Hier, à peine 4 Parisiens sur 100 ont pris part au vote organisé par Anne HIDALGO et plus d’un tiers de ces votants ont rejeté sa proposition. L’immense majorité des électeurs de la capitale a donc exprimé son rejet, soit en s’abstenant massivement, soit en votant contre. Même en mettant en avant des thèmes censés séduire sa clientèle électorale – végétalisation, piétonnisation –, elle n’a pas réussi à mobiliser, plafonnant à 4,06 % des inscrits, à peine mieux que son score désastreux à la présidentielle.
Ce simulacre de démocratie participative est une humiliation cuisante ! Une mascarade qui tourne au fiasco !
Les Parisiens en ont assez des manœuvres d’Anne HIDALGO. Après la votation sur les trottinettes et le triplement des tarifs de stationnement pour les voitures familiales, voici une nouvelle consultation biaisée. Mais cette fois, les Parisiens ne se sont pas laissés duper par les mirages de la novlangue municipale : ils ont compris que ces pseudo-votations ne sont que des écrans de fumée destinés à masquer la gestion catastrophique de la ville et à sauver ce qui reste d’une légitimité en lambeaux.
Car le projet soumis au vote est une véritable provocation :
➡️ 500 rues de plus fermées à la circulation, sans aucune transparence sur lesquelles.
➡️ 10 000 places de stationnement supprimées, alors que les automobilistes parisiens sont déjà étranglés.
➡️ Une facture de 250 millions d’euros pour un projet flou, alors que la Ville est en pleine faillite.
➡️ Aucune étude d’impact sur la circulation, le bruit ou le commerce.
Et HIDALGO ose faire financer ce coup de com’ électoral par les Parisiens eux-mêmes : 400 000 euros d’argent public gaspillés pour une votation jouée d’avance, soit 100 000 euros le point de participation et plus de 7 euros par vote exprimé !
Trop, c’est trop. Hier, les Parisiens lui ont envoyé une mandale en guise de réponse. Elle doit maintenant entendre ce message et renoncer à son projet.
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