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13/06/2020

Avec nos policiers...

"Je suis en colère que des mecs, comme par exemple Omar Sy et Camélia Jordana, se retrouvent en tête de cortège pour énerver tous les Français à cause de la police française, qui serait violente et raciste. Moi, je dis non ! Il y a des co****** partout. Dans tous les corps de métiers, il y a des co******. Mais je vous garantis une chose, il y a 98% des flics et des gendarmes qui se lèvent le matin pour faire respecter les lois de la République. Je les admire beaucoup pour ça parce qu’on crache sur leurs bagnoles, parce qu’on les caillasse. Il y a des endroits où ils ne peuvent même pas aller. Parfois, on les tabasse et parfois, on les tue."

Jean-Marie BIGARD

11/06/2020

Une note envoyée par le sénateur Philippe Dominati

 
Le Gouvernement
doit baisser la TVA !
 

 En Angleterre la baisse de la Tva lors de la crise de 2008 2009 a provoqué une hausse de 0,5 % du PIB national. La Chancelière allemande vient de prendre la décision de baisser la TVA de 2,5 points pour la porter à 16% afin de soutenir le pouvoir d’achat et ce jusqu’au 31 décembre de cette année. Elle ne semble pas particulièrement à gauche ni particulièrement inapte en économie.

Bercy qui nous vante régulièrement la convergence européenne en matière de taxe et notamment avec l’Allemagne devrait faire preuve de cohérence en envisageant cette solution qui aurait l’avantage de profiter à tous les français.

Je proposerai d’ailleurs un amendement en ce sens dans le projet de loi rectificatif.

Sénat
15 rue de Vaugirard – 75291 Paris Cedex 06
01 42 34 47 65

 
Philippe Dominati, Sénateur de Paris
 

 

08/06/2020

DATI pour PARIS !

Chers amis,

Nous sommes partis de rien, sans investiture, sans parti, sans élus. Personne ne croyait en nous. Nous avons commencé notre campagne dans les quartiers populaires, là où personne ne voulait aller. Là où la droite, les responsables politiques en général n'allaient plus depuis des années. Nous sortions des élections européennes et tout le monde nous disait : ne perdez pas votre temps, commencez par consolider votre socle de 8 %. Ils ne comprenaient pas ce que l'on faisait. Ils ne comprenaient pas ce qui nous anime, ce qui m'anime.

Certains ont voulu me caricaturer. Mais ceux-là mêmes qui me caricaturaient sont ceux qui n'osent pas se promener dans les rues sans officiers de sécurité. Ce sont ceux qui disent qu'il ne faut pas aller tracter porte de Vanves, « parce que ça ne vote pas pour nous », comme l'a écrit sur une boucle de messagerie la secrétaire d'État à l'Égalité, oui, entendez bien, à l'Égalité entre les femmes et les hommes. Ce sont ceux qui se disent progressistes et refusent de reconnaître la méritocratie quand elle est sous leurs yeux.

Disons-le, à moins d'un mois de ce scrutin municipal, le mépris frappe en premier lieu les Parisiens qui concentrent toutes les difficultés sociales, économiques et d'insécurité.

Disons-le que d'autres, qui se croient déjà réélus, bloquent, par calcul électoral, l'accès à Paris des travailleurs pauvres qui s'occupent de leurs parents, de leurs enfants, et font leur ménage.

Nous sommes allés dans tous les quartiers de Paris de l'ouest à l'est, du nord au sud. Nous n'avons méprisé personne. Nous avons parlé à tous.

Partout, nous avons vu des Parisiens écœurés. Écœurés de ne pas être écoutés, écœurés des contraintes, écœurés de ne pas être considérés. Et leur écœurement s'est transformé en abstention.

Quand les habitants de Paris abandonnent, ceux qui s'y présentent considèrent qu'ils peuvent tout se permettre.

Se permettre de déserter leur ministère en pleine crise sanitaire tout « en sachant que les élections n'auraient pas lieu ».

Se permettre de refuser le rassemblement pour devenir élue, toucher son indemnité et se mettre à l'abri, quitte à favoriser la réélection d'une des maires les plus impopulaires de France.

Se permettre de se considérer comme déjà réélue et de continuer à imposer son dogmatisme, alors que l'on a fait un score de premier tour parmi les plus bas de France pour une maire sortante et que, sondage après sondage, le camp des mécontents reste majoritaire à Paris.

Paris est en train de devenir comme certaines villes de banlieue où les maires sont élus avec 10 % du corps électoral. La France se fracture de tous les côtés, s'atomise, s'archipellise. Et Paris n'est pas épargné !

Alors, chaque jour, chaque heure, chaque minute, nous allons continuer à porter notre projet pour Paris.

La dynamique que nous avons construite, nous ne la devons qu'aux Parisiens et qu’à VOUS.

MERCI.

Vous le savez, il y a une majorité de Parisiens qui ne veut plus de Mme Hidalgo.

Je compte sur vous pour nous aider à les convaincre que la seule candidature capable de porter une alternance à Paris, c'est celle des listes Dati Pour Paris.

Continuons, ne lâchons rien !
Rachida Dati
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05/06/2020

Procurations...

Notre candidate Rachida Dati a annoncé le lancement d'un site internet inédit en France : www.votonsdati.paris.
 
Ne pouvant se résoudre à l’absence de simplification du système de procurations, notre candidate à la Mairie de Paris Rachida Dati se distingue des autres candidats en offrant un outil technologique au service de la démocratie.
 
Le 2nd tour des élections municipales se tenant dans un contexte sanitaire inédit, nous souhaitons que la voix des plus fragiles puisse s’exprimer.
 
Ce logiciel mettra en lien tout électeur en incapacité d’aller voter avec un porteur de procuration de vote pour la candidate LR.
 
Après avoir connecté les mandants avec leur mandataire, ce logiciel remplira automatiquement le document administratif CERFA à signer au commissariat. Plus d'erreur possible, plus de temps à perdre, plus d'angoisse pour trouver un mandataire proche et de confiance...
 
Alors, faites-le savoir et partagez-le pour que TOUS LES PARISIENS puissent s'exprimer ce 28 juin 2020 pour changer de majorité à Paris !
 
Agnès Evren
Présidente de la Federation lR de Paris

28/05/2020

Décès de Claude GOASGUEN

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C'est avec tristesse que nous apprenons le décès du député LR de la 14e circonscription de Paris, Claude GOASGUEN. C'était un homme libre...

24/05/2020

Une lettre de Rachida Dati au premier Ministre

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Une lettre de Rachida Dati au premier Ministre

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Un communiqué du Centre National des Indépendants (CNIP)

cnipBruno NORTH, président national du CNIP, associé aux Républicains, a diffusé le communiqué suivant :

La crise du coronavirus a mis en évidence la grave carence de l’Etat en matière sanitaire.
Les conséquences en ont été catastrophiques, puisque :
– la France a déploré un nombre de décès représentant plus du triple de celui de l’Allemagne, pourtant davantage peuplée ;
– la France a dû procéder, pour compenser son impréparation totale en matière d’équipements sanitaires de base (dont en particulier les masques), à un confinement plus long et plus radical qui a encore creusé le fossé entre notre économie et les économies de l’Allemagne et du reste de l’Europe du nord.
Le CNIP sera en pointe dans la mise en oeuvre de l’enquête et des poursuites judiciaires visant à déterminer et à sanctionner les responsabilités dans la catastrophe sanitaire. Au-delà, il faut tirer les leçons de cette catastrophe, ce qui implique tout d’abord de poser les bonnes questions.
Le CNIP formule ainsi deux observations fondamentales :
La catastrophe sanitaire n’a pas été pour l’essentiel une question de moyens, mais une question de mauvaise répartition des moyens et d’inadaptation des procédures et des comportements.
Ainsi, on sait que la carence du système hospitalier a lourdement aggravé la crise du coronavirus dans notre pays. Mais cette carence tient beaucoup moins au nombre total de lits d’hôpitaux (6 pour 1000 habitants contre 8 en Allemagne) qu’au nombre de lits de réanimation (au début de la crise, 5 000 contre 28 000 en Allemagne). C’est l’insuffisance des capacités en réanimation qui a failli provoquer des décès encore plus massifs de malades gravement atteints. C’est donc logiquement le nombre de malades en réanimation qui a été la variable la plus cruciale scrutée par tous les observateurs.
Ainsi encore, l’application à une situation d’urgence extrême de procédures lourdes et inadaptées, telles que le lancement d’appels d’offres pour l’achat de masques, a favorisé la transformation de la crise sanitaire en catastrophe sanitaire. Y a aussi puissamment contribué l’éparpillement des centres de décision, source d’indécision et de paralysie, ainsi que l’a relevé un ancien Directeur général de la santé.
Dans le même ordre d’idées, la pénurie de produits aussi élémentaires que les masques chirurgicaux n’est pas le signe d’un sous-développement de notre pays, mais le signe des excès de la mondialisation. Il faut en particulier méditer cette erreur d’une extrême gravité qui a consisté à faire reposer l’essentiel de notre approvisionnement en équipements sanitaires sur un seul pays, la Chine, qui est
historiquement le principal foyer mondial des épidémies. A ce défi, il faudra remédier par la réindustrialisation.
La catastrophe sanitaire soulève un problème qui n’est pas uniquement d’ordre sanitaire, mais qui concerne tous les domaines dans lesquels la sécurité nationale peut être en jeu.
Une épidémie est un problème sanitaire majeur, brutal et meurtrier. Fort heureusement, il n’en va pas ainsi de la très grande majorité des risques auxquels la politique de santé publique se doit de remédier : ces problèmes sont au coeur de l’intérêt général et des missions de service public mais ils ne mettent pas en cause la sécurité nationale, en ce sens qu’ils n’entraînent pas de graves bouleversements dans la vie du pays tout entier.
Parallèlement, des crises d’une ampleur comparable ou supérieure à celle du coronavirus peuvent survenir dans différents domaines, dont le domaine militaire est celui qui vient le plus spontanément à l’esprit. La manière calamiteuse dont le gouvernement a fait face à la crise sanitaire impose que soit menée une réflexion sur les autres types de crises d’ampleur nationale susceptibles de survenir, et sur la démarche à adopter pour les surmonter avec un coût minimal en vies humaines et en dommages pour l’économie.
Nous proposons la mise en place de mesures concrètes :
Création d’une Délégation générale à la Sécurité nationale.
Cette délégation sera composée de fonctionnaires détachés et, en tant que de besoin, de spécialistes issus du secteur privé et recrutés par contrat. Elle dépendra directement du Premier ministre, compte tenu du fait que ses attributions porteront sur le champ d’action de plusieurs ministères.
Elle aura pour mission, en concertation avec les ministères et, autant que de besoin, les entreprises et autres entités pouvant jouer un rôle utile, d’élaborer des scénarios de crise d’ampleur nationale (différents types d’épidémies, guerre contre une grande puissance militaire, accident nucléaire,…) et de trouver les réponses adaptées à chacun d’eux. Elle appuiera sa réflexion sur l’organisation de simulations sur le terrain, pouvant être le cas échéant associées à des manoeuvres militaires. A cette occasion, des chaînes de commandement opérationnel, avec à leur tête un membre de la Délégation générale, seront définies pour les périodes de crise.
Elle aura aussi pour mission de déterminer quels sont les biens et services vitaux dont notre pays doit disposer pour faire face aux différents scénarios de crise, et comment lui permettre d’en disposer. Il faudra donc déterminer une politique de stockage, une politique d’importations et une politique de production nationale, pour éviter les ruptures d’approvisionnement. Cette dernière, que l’on pourrait qualifier de « réindustrialisation sécuritaire », présentera des points communs avec la politique de réindustrialisation que l’on pourrait qualifier d’économique (cf. également Réindustrialisation, agriculture, aménagement du territoire et logement : rétablir les équilibres), mais avec une différence fondamentale : l’Etat prendra en charge cette politique autant que de besoin, jouant son rôle régalien qui consiste notamment à assurer la protection de la vie des Français.
En cas de survenance d’une crise de grande ampleur, la Délégation générale prendra la direction des opérations. Ses décisions s’imposeront à la hiérarchie ordinaire des services administratifs, qui ne pourra plus intervenir que pour avis. Les règles dont la mise en oeuvre requiert de longs délais (comptabilité publique, appels d’offres…) deviendront inapplicables sous peine de sanctions pénales pour toutes les actions visant à résoudre la crise. Les agents publics défaillants seront immédiatement suspendus et remplacés, la justice statuant le cas échéant sur leur cas par la suite. Les attributions de la Délégation générale en regard de celles du Haut-commandement militaire seront à préciser dans le cadre de chacun des scénarios de crise. Seuls les préfets à l’échelle locale, les ministres à l’échelle nationale et les tribunaux statuant en référé pourront contester les décisions de la Délégation générale. Seul le Premier ministre sera habilité à les abroger ou les annuler.


Bruno North
Président du CNIP

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13/05/2020

Un communiqué des élus LR de Paris

Paris, le 13 mai 2020
 

Communiqué de Rachida DATI, Brigitte KUSTER, Catherine DUMAS,
Agnès EVREN, Geoffroy BOULARD, Marie-Claire CARRERE-GEE et des
élus du groupe Les Républicains et Indépendants.

 

On ne peut pas laisser mourir le commerce parisien !

Depuis le début de la crise sanitaire, Paris est confronté à une invraisemblable série de ratés. Anne HIDALGO n'a cessé de multiplier des annonces restées lettre morte : passeports d’immunité, dépistages généralisés, distribution de masques pour les Parisiens. Dernière annonce en date, le dépistage des enfants, pour lequel l’ARS n’a toujours pas donné son accord. Quant au nettoyage des rues et chaussées, du mobilier urbain ainsi que des abords des stations de métro, il aura fallu attendre l'orage pour qu'il se passe quelque chose, aucune action spécifique n'étant à l'ordre du jour.

De notre côté, nous avons entendu et consulté les commerçants, les restaurateurs, les artisans, les petits entrepreneurs et les professionnels de la culture à Paris. Si rien n'est fait, Paris perdra son cœur économique battant, ces commerces et établissements qui font le dynamisme et la réputation de Paris.

Depuis toutes ces semaines, nous demandons sans relâche à la maire de Paris d'établir un budget de crise permettant d'adopter rapidement les indispensables mesures de relance. Ces mesures d'urgence, nous les avons notamment proposées lors du dernier Conseil de Paris, le 28 avril :

- Le prolongement de la gratuité du stationnement ; 

- L’annulation des droits de voirie et des droits de terrasse ; 

- L’exonération totale de la taxe de séjour et des redevances d’occupation du domaine public ;

- L’exonération des loyers des locaux commerciaux gérés par les bailleurs sociaux de la Ville pour les mois de reprise d’activité

- La création d’un fonds municipal pour perte d’exploitation des établissements et commerces culturels ; 

- L’assouplissement des conditions d’ouverture le dimanche pour les commerces ;

- La mise en place pour les commerçants et artisans d’une garantie d’emprunt de la Ville pour les prêts de trésorerie.

Sans ses commerces, sans ses cafés, ses restaurants, Paris ne pourra pas reprendre vie. Ils ont désespérément besoin d'un plan de reprise lisible et d'un soutien massif de la Ville pour reprendre espoir. Le temps du confinement n'a pas été mis à profit pour anticiper une sortie par le haut. La Ville a déjà pris plusieurs semaines de retard dans la gestion de cette crise : il faut d’urgence rattraper le temps perdu en agissant au plus vite et en présentant un véritable budget de crise.

Un sursaut est nécessaire, il faut sortir de cette spirale de l'échec et nous voulons y contribuer au travers de ces propositions.

Nous attendons beaucoup du Conseil de Paris du 18 mai : nous ferons donc à nouveau part de nos propositions à Mme HIDALGO qui, pour l’instant, a toujours refusé de les prendre en compte.

 

Rachida DATI, Brigitte KUSTER, Catherine DUMAS,
Agnès EVREN, Geoffroy BOULARD, Marie-Claire CARRERE-GEE
et les élus du groupe Les Républicains et Indépendants