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15/05/2022

Non à l'écologie-doctrine !

A l'attention du candidat EELV/NUPES du 10e :

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12/05/2022

Les candidats déclarés pour les législatives 2022 dans le 10e

Candidatures déclarées pour les élections législatives du 12 et 19 juin 2022 :

  • LR : Pierre Maurin, conseiller du 9e arrondissement, cadre dans le secteur des ressources humaines
  • LREM : Élise Fajgeles, députée de la circonscription de juin 2017 à avril 2019
  • LO : Monique Dabat, cheminote
    Suppléant : Éric Challal, cheminot (binôme)
  • NUPES (EELV) : Julien Bayou, conseiller régional d’Île-de-France de l’opposition, secrétaire national d’EELV
  • PA : Jean Ballon (détails à venir)

Résultats 1er tour 2017 : Benjamin Griveaux – LREM (43,6%), Seybah Dagoma – PS (12,5%), Julien Bayou – EELV (12,4%), Layla Yakoub – LFI (11,9%), Déborah Pawlik – LR-UDI (8%), Marie Fontaine – FN (2,8%), Didier Le Reste – PCF (1,8%), Bruno Blum – PA (1,1%), Thomas Watanabe-Vermorel – PP (1%), […]
Résultats 2nd tour 2017 : Benjamin Griveaux – LREM (56,3%), Seybah Dagoma – PS (43,7%)

10/05/2022

Soutenons notre police !

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04/05/2022

Le candidat LR à Paris 10e est connu

Il s'agit de Pierre MAURIN, qui est conseiller d'arrondissement dans le 9e.

01/05/2022

Non au retour des djiadistes en France !

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Quoi de plus touchant qu’un enfant qui pleure, un petit ange à cajoler ? Mais votre sang se glace, quand vous le voyez décharger froidement son arme dans la tête d’un otage.

Madame, Monsieur,
 
Le danger djihadiste a été occulté dans les médias de propagande l’année dernière.

Mais depuis quelques semaines, une vaste campagne de manipulation émotionnelle se déploie : des soutiens aux djihadistes poussent à nouveau pour le retour des djihadistes en France.
 
En février, c’est même un sénateur communiste et un député centriste qui font pression.
Ils poussent pour que les enfants djihadistes soient amenés en France. Ils ne reculent devant aucun procédé pour vous remuer les tripes et susciter votre pitié : « Ils sont innocents ! »
 
Qui pourrait rester insensible face à un enfant en détresse ?
 
Sauf que ces idéologues « oublient » des détails sordides, mais essentiels...
Et ils mettent en place une véritable bombe à retardement.
 
Ces parlementaires le savent pourtant bien.
 
Car dès 2017, le patron de la DGSI les avait prévenus : les enfants de djihadistes sont formés militairement dès le plus jeune âge, de manière intensive.
À 4 ou 5 ans, ce sont déjà des soldats.
Pire, des machines à tuer.
 
« Leur endoctrinement et leur entraînement en font des bombes humaines. »
 
Des vidéos montrent que ces « enfants » savent déjà égorger.
Ou vider un chargeur dans la tête d’un prisonnier.
À 5 ans.
 
D’autres vidéos répugnantes montrent que les djihadistes leur donnent des têtes tranchées pour jouer au foot.
 
Il y a 5 ans, la vidéo « Sur les traces de mon père », diffusée par l’État islamique, montre deux enfants djihadistes « français » qui exécutent des prisonniers :
« Si mon père était en vie, je lui demanderais une faveur : rentrer en France pour faire une opération martyre. »
 
La même année, la vidéo « Mon père a dit » montre quatre enfants de moins de dix ans, équipés de caméras greffées sur le corps et d’armes de poing pour un grand jeu du chat et de la souris.
La règle ?
Dans un immeuble désaffecté, trouver les prisonniers menottés dans le dos, mais pouvant encore courir.
Ces « enfants » djihadistes abattent un à un les prisonniers, sans remords.
 
Ces « enfants » ne jouent pas aux Legos.
Ils démontent et remontent des kalachnikovs.
Ils dégoupillent des grenades.
 
Dès 2 ans, ils visionnent des exécutions et en redemandent, toujours selon le patron de la DGSI à l’Assemblée nationale : ils « se roulent par terre parce qu’ils n’ont pas pu regarder leurs vidéos de décapitation, qu’ils sont habitués à voir toute la journée ».
 
Au même âge, ils manient déjà le poignard pour décapiter leur peluche !
À 2 ans !
 
Leur quotidien, c’est d’apprendre à se cacher pour attendre le bon moment et abattre « l’infidèle ».
C'est-à-dire le Français.
 
À côté, les racailles, qui pourrissent la vie des Français au quotidien, qui brûlent des voitures, caillassent les pompiers et tabassent à mort le premier venu passeraient presque pour des enfants de chœur !
 
Voilà les « enfants » que ces idéologues veulent faire venir en France, en jouant de la corde sensible et en se drapant « d’humanisme ».
 
Et leur pression psychologique ne s’arrête pas là, puisqu’ils veulent évidemment les faire rentrer avec leur « maman »…
 
C’est la technique classique du « pied dans la porte » qu’on connaît déjà avec le « regroupement familial » sur l’immigration.
Ils jouent sur l’émotion (les enfants) en cachant l’essentiel (faire entrer des terroristes en France).
 
Quoi de plus touchant, qu’une maman avec son enfant ?
 
En France, des parents de djihadistes militent pour le retour de leur « enfant » de 25 ou 30 ans. Évidemment, ils jouent aussi le coup des pleurs... pour vous imposer des terroristes islamiques en France
 
Que pensent-ils des massacres du Bataclan et de la promenade des Anglais à Nice ?
Et de tous les autres attentats islamiques contre des Français ?
 
Pour ajouter à l’émotion, une dizaine de djihadistes femmes parties de France et détenues en Syrie ont entrepris de faire une grève de la faim.
 
Et ça marche ! Les médias de propagande en ont fait leur beurre. Ils s’apitoient... Ils versent leur larme... Et ils pressent le gouvernement d’agir…
 
… Car ils ont la mémoire courte.
 
En effet, ces femmes sont aussi djihadistes que leurs maris qui :
  • torturaient leurs victimes,
  • brûlaient vivants des chrétiens ou des kurdes dans des cages, 
  • décapitaient à tout-va, 
  • forçaient les prisonniers à creuser leurs propres tombes, 
  • égorgeaient publiquement femmes et hommes, 
  • jetaient les homosexuels du sommet des immeubles, 
  • traînaient les cadavres de pauvres victimes derrière les voitures…
Vous voulez ça près de chez vous ?
 
Début mars 2019, une équipe de télévision anglaise a recueilli les « témoignages glaçants » de centaines de djihadistes dans le camp d’al-Hol en Syrie.
 
Le point commun entre toutes les femmes : « toutes continuent à défendre Daech » finit par reconnaître BFMTV en commentant ce reportage.
 
Six fois mariée à un djihadiste, Yasmina Haj Omar s’en félicite : « Ça m’allait parce que je suivais la parole du prophète. À chaque fois qu’un homme mourait en martyr, j’en épousais un autre ».
 
« Mon fils grandira un jour et deviendra un djihadiste » lance en turc une femme djihadiste à l’AFP.
« Je souhaite le retour du califat islamique et son expansion aux quatre coins du monde » renchérit une autre.
 
La menace se précise : la poursuite de la guerre sur notre propre sol par le retour des djihadistes. Après la défaite militaire de « Daech », « Nous viendrons chez vous » promettait ainsi une femme djihadiste.
 
Cette promesse, des idéologues sur notre propre sol tentent à nouveau de la réaliser. C’est de la folie pure.
 
La France est déjà le pays le plus touché par les attentats islamiques en Europe.
 
Il faut absolument contrer cette tentative politique et médiatique.
 
Damoclès est la seule association à s’opposer efficacement au retour des djihadistes.
 
À l'heure où je vous écris, la pétition NON au retour des « djihadistes français » en France ! va bientôt dépasser les 200 000 signataires.
 
Cette même pétition a déjà fait reculer le gouvernement en 2019.
La position qu’il tient aujourd’hui, c’est celle que les Damoclésiens ont imposée !
 
Mais aujourd’hui, il est mis sous pression par les idéologues et par les médias de propagande qui voudraient faire pénétrer les 160 djihadistes « français » sur notre sol.
 
Cette pétition peut encore contenir la menace, si nous la faisons atteindre rapidement les 300 000 signataires.
 
Pour cela, je vous demande de signer la pétition en cliquant ici ou sur le bouton ci-dessous :
 
Nous sommes toujours en guerre.
Et des fous furieux veulent faire venir l’ennemi sur notre sol !

Signez la pétition.

Bien sûr, il est indispensable que vous partagiez cet email pour mobiliser vos proches.

PS. Des naïfs voudraient croire qu’on pourrait « récupérer » les djihadistes…
La vérité, c’est qu’à ce jour AUCUNE déradicalisation n’a marché, malgré des investissements de MILLIONS d’euros.
Déjà qu’on n’arrive pas à traiter le problème des racailles…
Les djihadistes sont des ennemis qui veulent une seule chose : continuer leur guerre contre vous, vos proches et tout ce que vous représentez, en France.

Signez la pétition et diffusez ce message massivement. Il faut contrer l’opération de propagande de ces idéologues fous furieux.

25/04/2022

Le second tour des Présidentielles dans le 10e arrondisement.

Avec 89,05 % des voix, Emmanuel Macron remporte la majorité des voix du 10ème arrondissement.

C'est l'arrondissement qui a le plus voté pour Emmanuel Macron.

22/04/2022

Faisons barrage à la coalition de l'extrême gauche et de l'extrême centre.

Faisons barrage à la coalition de l'extrême gauche et de l'extrême centre.

La France est dans un état lamentable en raison de la montée inexorable de l'islamisme, de l'insécurité, de la dette, de la dépense publique et du déficit de sa balance commerciale. Tout ceci ayant été largement aggravé pendant le quinquennat de M. Macron.

Si M. Macron est élu, ce qui est très probable en raison de la coalition du centre, de l'extrême gauche et de l'immense majorité des médias, il ne le sera que par 20 % des Français, face aux 80 % qui n'auront pas voté pour lui ou qui l'auront fait par défaut!

17/04/2022

Les approximations de M. Dupont-Moretti

Monsieur Dupont-Moretti dit , sur BFMTV le 16 avril 2022, en croyant embarrasser Madame Le Pen :

"Le 14, elle nous dit: 'Référendum peine de mort'. (...) Le lendemain sur votre antenne elle dit: 'le référendum n'est pas possible pour des raisons constitutionnelles'. Enfin madame, ça fait 5 ans que vous travaillez votre programme", attaque Éric Dupond-Moretti."

C'est une attaque infondée de la part de ce ministre car il n'y a aucune incohérence dans ce discours de la candidate : le référendum ne sera possible qu'après révision constitutionnelle. Elle ne dit pas autre chose et M. Dupont-Moretti est d'une mauvaise foi sidérante et méprise les Français par ses approximations.

De quoi faire envie de voter pour Madame Le Pen...

15/04/2022

Une lettre de l'ASAF à propos d'Emmanuel Macron...

À propos des soldats français en Algérie,
un président ne devrait pas dire cela[1] !

 

Dans sa longue quête mémorielle destinée à réaliser une impossible réconciliation entre la France et l’Algérie, le président de la République a ajouté une étape le mercredi 26 janvier 2022 à l’Elysée.

Rappelez-vous, ce véritable chemin de croix avait commencé en février 2017 à Alger, lorsque Emmanuel Macron, candidat à l’élection présidentielle, avait déclaré sur un média algérien que la colonisation avait été un « crime contre l’humanité », que la France « devait présenter ses excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avions commis ces gestes ». 

Puis, le Président commanda à l’historien Benjamin Stora un rapport destiné à apaiser les mémoires rivales entre la France et l’Algérie autour de la guerre. Ce document, remis le 20 janvier 2021, proposait très modestement de dresser des « passerelles sur des sujets toujours sensibles » (disparus de la guerre, séquelles des essais nucléaires, partage des archives, coopération éditoriale, réhabilitation de figures historiques…). Mais, à sa lecture, il apparaît très nettement que la majorité des pas en avant attendus le sont de la France.

Le 26 janvier, la cible visée était les rapatriés d’Algérie qui, depuis l’accession à la présidence de monsieur Macron, estimaient n’avoir reçu de lui aucun message de soutien ou de sympathie. Le palliatif à ces manquements passés a consisté à revenir sur la fusillade de la rue d’Isly à Alger, dans laquelle des dizaines de partisans de l’Algérie française furent tués par l’armée le 26  mars 1962. Le Président décrivit alors cet événement tragique en soulignant que  « les soldats français, déployés à contre-emploi, mal commandés, ont tiré sur des Français ». « Ce massacre du 26 mars 1962 est impardonnable pour la République » ajouta monsieur Macron.

 Il est vrai que pour faire bon poids et dans le cadre du « en même temps » qui lui est coutumier, le Président condamna aussi les massacres perpétués à Oran par des Algériens, le 5 juillet 1962, qui firent entre plusieurs centaines et deux mille victimes parmi lesquelles des femmes et des enfants.

Mais revenons à la rue d’Isly. Alors que le cessez-le-feu ouvrant la voie à l'indépendance de l'Algérie a été proclamé le 18 mars, plusieurs milliers de partisans de l'Algérie française sont appelés par l'OAS (Organisation armée secrète) à se diriger le 26 mars vers le quartier de Bab-el-Oued, refuge de membres de l'OAS, afin de forcer les barrages installés par l'armée française après plusieurs meurtres de jeunes du contingent par cette organisation. Ils sont invités à s'y rendre « sans armes » et « drapeau en tête », alors que la manifestation est interdite par le préfet.

À partir de là, différentes versions circuleront. Cependant,  selon l'une d'elles, certes contestée notamment par des familles des victimes, ce sont des tirs visant les militaires depuis une fenêtre ou un toit, rue d'Isly, qui enclenchent en retour, de la part des tirailleurs gardant le barrage, la fusillade vers la foule paniquée.

Quoi qu’il en soit, il n’est pas admissible que 60 ans plus tard, un président de la République, chef des Armées, porte dans un discours politique un tel jugement sur la façon dont les soldats étaient alors commandés. Est-il utile de rappeler que les soldats « mal commandés » d’alors, étaient, comme ceux d’aujourd’hui, sous les ordres du pouvoir politique ? Faire porter le chapeau aux militaires est une coutume dans notre République dès lors que cela permet d’épargner les responsables politiques. C’est le même procédé qui a été utilisé pour fustiger les « fusilleurs pour l’exemple » de la Grande Guerre.

Le préfet avait interdit la manifestation. Le préfet, c’est le représentant local de l’État et c’est donc l’État qui, en premier lieu, a failli en ayant été incapable de faire exécuter ses directives. Alors que les historiens eux-mêmes ne sont pas d’accord sur les circonstances du drame et sur le nombre de victimes, n’aurait-il pas été préférable, plutôt que d’asséner un jugement péremptoire, d’annoncer la création d’une commission d’enquête pour faire la lumière sur toutes les zones d’ombre de cette sinistre journée ?

De même, sur le 5 juillet 1962 à Oran, le Président est passé un peu vite. Il aurait pu exiger de l’Algérie l’ouverture de ses archives sur cette tragédie, la reconnaissance par celle-ci de l’existence de charniers, près d’Oran, qui renferment des centaines de corps de victimes françaises de même que leur restitution en vue de leur identification. Il faut arrêter de donner des gages à l’Algérie en espérant un retour qui n’arrivera jamais.

Quant aux rapatriés d’Algérie, leurs responsables estiment que  « M. Macron a reconnu le plus simple, l’aspect mémoriel, mais n’a pas franchi le pas de l’indemnisation », évoquant une revendication toujours présente chez certaines associations en dépit de compensations financières déjà versées mais critiquées comme « partielles ». Ainsi, l’utilisation de l’armée comme bouc émissaire afin de gagner les bonnes grâces des pieds-noirs apparaît vaine. La phraséologie macronienne débouche donc sur un double échec : ses relations avec les rapatriés ne se sont pas franchement réchauffées depuis le 26 janvier pas plus que celles avec les militaires.

« Le chemin tortueux de la repentance ne peut que s’enliser dans les sables mouvants[2]. »

 

La RÉDACTION de l’ASAF
www.asafrance.fr

 

[1] Un président ne devrait pas dire ça..., sous-titré Les secrets d'un quinquennat, est un livre des journalistes d'investigation Gérard Davet et Fabrice Lhomme, publié le 12 octobre 2016 par les éditions Stock.

[2] Expression utilisée par Barbara Lefebvre dans Le Figaro Vox du 27 janvier 2020.