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28/08/2020

Non à l'ensauvagement de la France !

Réactions des élus LR de Paris face aux violences à Paris en marge du match PSG-Bayern : Rachida DATI, Agnès EVREN, Jeanne D'HAUTESERRE

Sécurité : Mettons fin à l’impunité

Tristes images que celles d’un Paris saccagé par des bandes de casseurs. Notre opposition, conduite par Rachida Dati, a été la seule à dénoncer le silence assourdissant de la Maire de Paris et l’impuissance de l’Etat. Le retour à l’autorité de l’Etat devient aujourd’hui une question de civilisation. La gauche moralisatrice a trouvé trop d’excuses à ceux dont la seule ambition est de détruire est de défier les forces de l’ordre, dont nous tenons à saluer le travail courageux. Nous en avons assez de cet angélisme déconnecté de la réalité que vivent les Français chaque jour.

Nous demandons d’assumer enfin ses responsabilités et de mettre fin à l’impunité dont bénéficie les délinquants. Nous exigeons une doctrine de maintien de l’ordre qui donne aux policiers et gendarmes les moyens de mettre les délinquants hors d’état de nuire, ainsi qu’une réponse pénale sévère et dont les peines soient réellement exécutées. Ceux qui violent la loi doivent être appréhendés, jugés et mis sous les verrous, il n’existe aucune autre réponse.

25/08/2020

Encore du n'importe quoi, Madame Pécresse!

La ligne de bus 46 ne dessert plus la gare du Nord, c'est selon la région ILE-DE-FRANCE gérée par Madame Pécresse "pour améliorer vos déplacements quotidiens" ! Pire, l'explication avancée est que cela permet de "réduire le trafic rue du Faubourg-Saint-Denis".

Donc enlevons des bus pour fluidifier le trafic!

De qui se moque-t-on?

28/07/2020

Décès de Claude-Gérard MARCUS

Marcus.jpgClaude-Gérard Marcus, ancien député du 10e arrondissement de Paris est mort

Notre ancien député, Claude-Gérard Marcus, est décédé des suites d’une maladie qui le rongeait depuis plusieurs années, vendredi 24 juillet 2020. Il avait 87 ans. Il avait toujours été présent aux côtés des militants. AGIR POUR LE 10E l’a connu à l’UMP puis au parti LES REPUBLICAINS.

Ses obsèques ont lieu ce mardi 28 juillet 2020 à 16h au cimetière du Père Lachaise.

Nous étions une trentaine à lui rendre hommage en compagnie du   sénateur Rémi FERAUD et de membres d'AGIR POUR LE 10e.

claude-gérard marcus

05/07/2020

L'Algérie attend des excuses de la France pour la colonisation de l'Algérie !!!

Pour rester dans le domaine de l'absurde, il faudrait aussi que l'Algérie attende des excuses des Arabes pour l'avoir colonisée et des Turcs et des Romains etc...

Et, pendant qu'on y est, la France devrait demander des excuses aux Francs et aux Romains et à tous les autres peuples qui se sont installés en Gaulle !!

Les peuples de la Terre peuvent attendre longtemps...

N'est-ce pas un certain Macron qui a affirmé que la colonisation était un crime contre l'humanité ?

Tous les peuples de la Terre sont des criminels?

30/06/2020

Un mot de Rachida Dati

Au lendemain du second tour d'une élection municipale qui s'est déroulée dans un contexte sans précédent, ma première pensée va vers vous, mes premiers soutiens, militants et adhérents LR de Paris.
Je tenais à vous remercier très chaleureusement pour votre engagement sans faille à mes côtés et aux côtés des têtes de liste d'arrondissement tout au long de cette campagne si particulière.
Malgré les difficultés  qui ont jalonné ces derniers mois, votre enthousiasme et votre énergie n'ont jamais faibli et ont participé à créer cette dynamique dont certains ne pensaient plus la droite parisienne capable.

Grâce à vous et avec toute mon équipe, j'ai abordé cette campagne avec authenticité, enthousiasme, passion, avec le refus de la fatalité et de toute forme de déterminisme.
Je l’ai menée dans la clarté et la constance, sans renier mon histoire ni trahir mes convictions. J’ai mis mon énergie à convaincre les Parisiens quand tant d’autres me demandaient de convaincre les appareils.

J’ai emmené avec moi toute une nouvelle génération qui avait l’envie et l’énergie de changer Paris rompant avec les rancoeurs et les divisions qui ont affaibli et fait perdre la droite parisienne depuis 2001.
Nous sommes allés voir ceux que plus personne ne va voir. Ceux qui ne votent plus. Ceux qui ne croient plus en la politique. Ceux qui ont abandonné à force d’être abandonnés.
 
Ensemble, avec tous mes colistiers, nous avons redressé la droite à Paris. Nous n’avons pas rendu vie à un parti, nous avons rendu vie à des valeurs. Nous n’avons pas rendu vie à une ligne, nous avons rendu vie à une espérance.
 
Nous avons pris des engagements avec les Parisiens. Nous les tiendrons.

Je félicite Jean-Pierre LECOQ, Jeanne d’HAUTESERRE, Agnès EVREN et Philippe GOUJON, Francis SZPINER et Geoffroy BOULARD qui ont été élus maires dimanche soir.
Je tiens à féliciter avec autant de force tous les colistiers qui ont obtenu de nombreux sièges d’opposition dans des arrondissements où la droite avait disparu depuis des années. J’y vois la confirmation qu'en plaçant la proximité au coeur de notre action, nous avons su regagner la confiance des citoyens. Et je remercie profondément tous les Parisiens qui nous ont accordé leur confiance.
 
Le scrutin de dimanche a été marqué par une abstention inédite pour un scrutin municipal à Paris.
Elle n’est pas la faute des Français, elle est de la responsabilité de ceux qui gouvernent et ont gouverné, localement et nationalement. Ceux qui la déplorent aujourd'hui sont ceux-là mêmes qui se complaisent dans cette situation qui leur permet des tacites réélections.
Loin de me décourager, cette abstention me conforte dans mon engagement politique et ma détermination à agir.
En effet, ce rejet du vote conduit une part croissante de Français à s’exprimer par les manifestations, les affrontements et les contestations. Ce dangereux cocktail nécessite une réaction forte de l’autorité et une défense sans concession et sans faiblesse des valeurs de la République et de ses principes. Il s'agit là de l'essence même de mon combat politique.

J’ai toujours tenu mes engagements en alliant action et proximité.  Forts de près 60 élus au Conseil de Paris, alors qu'il n'en restait que 25 au groupe, nous ne serons pas de ceux qui tournent le dos à ceux qui nous ont élus. Mes candidats élus ce dimanche resteront aux côtés des Parisiens, au quotidien, dans tous les arrondissements.
Le changement était possible à Paris. La République en Marche a préféré la victoire d’Anne Hidalgo, dont elle avait pourtant critiqué le bilan pendant des mois. Nous avions enclenché la dynamique du changement mais cette stratégie d’échec individuel d’Agnès BUZYN a découragé et déstabilisé de très nombreux électeurs.
La mandature qui débute va nous permettre de les reconquérir.
Ces mois de campagne nous ont permis de montrer ce que pouvait être la droite quand elle parle à tous les électeurs, à tous les quartiers, à toutes les familles. Cette droite-là, qui sait écouter, qui ne se renie pas, qui affirme ses valeurs, cette droite-là peut à nouveau incarner une espérance.

Avec vous, militants et adhérents LR de Paris, c’est ce visage de la droite, que nous continuerons inlassablement à porter, avec une énergie et une détermination renouvelée.

Vous pouvez compter sur nous.

Fidèlement,

Rachida DATI

Comment arrêter leur folie ?

La majorité socialo-écolo-communiste n'est même pas encore reconduite qu'elle a décidé de PIETONNISER le canal Saint-Martin !

Encore plus d'embouteillage! Encore plus de limitation de vitesse pour les bus! Encore plus de problèmes pour les véhicules d'urgence : ambulances, pompiers, policiers, etc!

Encore moins de possibilités d'utiliser sa voiture individuelle pour ceux qui ne peuvent pas (pour de multiples raisons) voyager en vélo!

Encore plus de contraintes et moins de liberté!

Encore plus de Parisiens qui vont quitter leur ville pour la laisser aux mains des fous!

 

29/06/2020

Résultat des Municipales de 2020 dans le 10e arrondissement

Résultats des Municipales dans le 10e arrondissement de Paris :

- liste socialistes-écologistes-communistes : 67,94 %

- liste Les Républicains et alliés : 21,53 %

- liste En Marche et alliés : 10,53 %

La liste Les Républicains remporte un siège de conseiller d'arrondissement. La Liste socialistes et alliés remporte vingt sièges (conseillers de Paris et conseillers d'arrondissement).

Réjouissons nous !

Avec le maintien d’un conseil municipal composé de socialistes, écologistes et autres élus de gauche à Paris, nos entreprises vont à nouveau prospérer et l’emploi se développer, la saleté va quitter nos rues et la circulation des voitures des commerciaux, médecins, artisans et autres ambulanciers va enfin être fluidifiée. Sans oublier la possibilité de se faire livrer les nombreux achats que nous faisons de plus en plus à distance grâce à Internet. Les vélos, trottinettes et autres engins non motorisés vont libérer les trottoirs. La dette colossale de la ville va enfin pouvoir se résorber. Les constructions qui densifient la ville et contribuent au mal vivre et à la pollution vont enfin cesser. Les habitants vont revenir…

28/06/2020

A la manifestation en soutien aux forces de l'ordre...

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25/06/2020

Une analyse intéressante de H18 sur l'ahurissante Convention pour le Climat

Pendant que la France tente de se remettre très doucement de son confinement sanitaire puis économique, le gouvernement, lui, continue sur sa lancée maniaco-écologique : la convention citoyenne pour la taxe et les interdictions à prétextes climatiques va bientôt s’achever et après elle viendra le temps des décisions musclées auquel le président Macron réfléchit déjà avec gourmandise.

Pensez donc : c’est qu’il va y avoir du méga-pain sur la giga-planche avec toutes ces propositions écoloïdes dont le but affiché (rétrécir l’énergie disponible par Français) va durablement grignoter le pouvoir d’achat des citoyens, leur capacité à se mouvoir, se chauffer, se vêtir et se nourrir.

Et il ne semble effleurer l’esprit d’aucun folliculaire germanopratin, d’aucune rédaction journaliste parisienne ou assimilée, que ces palpitants projets de repli intérieur ne correspondent finalement qu’assez peu aux aspirations réelles d’une majeure partie du peuple.

Il faut en effet être bien aveugle pour ne pas voir, ou bien borné pour ne pas vouloir regarder, ce qui se joue devant nous : alors que la France traverse un nouvel épisode de déconfiture économique, politique et social majeur, le pouvoir semble coincé dans un rail  l’emmenant résolument sur des sujets parfaitement perpendiculaires aux préoccupations du moment.

Avec un sens du timing qui laisse un peu ébahi, tout indique en effet qu’Emmanuel Macron et sa clique continuent de dérouler leur tactique politicienne pour achever de détourner et récupérer le mouvement des Gilets jaunes alors que l’actualité imposerait non seulement d’en tenir compte d’une façon diamétralement opposée, mais de prendre aussi en considération la nouvelle donne actuelle, brûlante.

Ainsi, l’émergence des Gilets jaunes doit tout au ras-le-bol et à la frustration que la France périphérique doit supporter devant l’arrogance des élites parisiennes qui ne comprennent rien des contraintes de la province. Sur les dix dernières années, ce sont en effet les villes petites et moyennes qui ont vu leur population augmenter, les villes comme Paris voyant les citadins les quitter. Les politiques nationales, pilotées par des citadins de métropoles pour des citadins de métropoles commencent à coûter fort cher aux citadins des villes périphériques et font sortir de leurs gonds les campagnards, les banlieusards et les navetteurs.

Ainsi, les problèmes de sécurité dans certains quartiers voire certaines villes, la criminalité et la délinquance en hausse constante depuis dix ans, les incivilités de plus en plus violentes sont autant de problèmes qui semblent bien plus préoccupants pour toute cette population dont une petite partie s’est retrouvée sur des ronds-points à l’hiver 2018-2019.

Ainsi, les hausses délirantes de taxes et d’impôts, les charges sociales étouffantes, la bureaucratie aussi tatillonne qu’encombrante (et mortifère depuis la crise sanitaire) sont autant de soucis que tous les salariés, les chefs d’entreprise, les indépendants, les professions libérales, les artisans et les commerçants doivent supporter depuis des années, et qui sont des motifs récurrents de grognes, en plus d’être des raisons solides d’un chômage persistant et d’une pauvreté indéboulonnable de pans entiers du pays.

Tout ceci est aggravé par la crise récente : les inscriptions à Pôle Emploi explosent et ne vont pas se résorber de si vite ; le sentiment d’insécurité est si concret dans certaines villes que cela en devient un tantinet caricatural ; la misère s’étend dans le pays au point que des associations caritatives spécialisées dans l’aide aux pays du tiers-monde jugent nécessaire d’agir en France

Et alors que ce marasme est quelque peu couvert par les braillements d’enfants gâtés de la République et autres repris de justice en manque de virginité judiciaire dont le but semble être une réécriture grotesque d’une Histoire qu’ils ne connaissent même pas, le président décide donc de continuer à nous faire avaler la soupe écolo, coûte que coûte, vaille que vaille. Apparemment, pour Macron et sa fine équipe de clowns, il semble bien plus important de taxer les voitures, interdire les herbicides et imposer le bio hors de prix plutôt que faire revenir l’ordre dans nos cités, baisser les dépenses de l’État et avoir des administrations un minimum efficaces pour les 1000 milliards d’euros de prélèvements annuels.

Manifestement, on va devoir se brosser longtemps pour avoir une Convention Citoyenne sur la Pression Fiscale, un grand Grenelle de la Sécurité intérieure ou un retour à l’ordre du jour du régalien, le cœur de métier de l’État (sur le papier constitutionnel en tout cas)…

Devant ce constat, devant ce quasi-autisme ou cette obstination ahurissante à enfin prendre en compte les vrais problèmes du pays, on en vient à se demander si ces manœuvres d’écologisme outrancier du président Macron ne visent pas précisément à décrédibiliser le mouvement écologiste ou à le récupérer habilement.