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21/03/2023

M. Macron ruine la France !

La Cour des comptes vient de publier son rapport annuel dans lequel elle insiste sur le délabrement des finances publiques et promeut une utilisation de l’argent public stratégique, mieux ciblée.

 Dans son rapport annuel, la Cour des comptes tire à boulets rouges sur la politique budgétaire de l'exécutif. Et pour cause : fin 2023, la dette publique française dépassera 111 % du PIB, soit 14 points au-dessus de son niveau d’avant Covid et le déficit public représentera 5 % du PIB. A 58 % du PIB, la France a les dépenses publiques les plus élevées de la zone euro. La Cour exhorte une nouvelle fois l’exécutif à sortir « définitivement » du « quoi qu'il en coûte » présidentiel et à faire du redressement des finances publiques « une priorité nationale ». Dans une interview accordée au Figaro, Pierre Moscovici, Premier président de l’institution,  rappelle qu’il y a 3 leviers pour réduire ces déficits : une forte croissance qui n’est pas d’actualité ; la hausse de la fiscalité, ce qui est "compliqué dans un pays où les prélèvements obligatoires sont déjà très élevés et où le consentement à l’impôt est faible." Et une troisième voie, assise sur la maîtrise de la dépense publique et la qualité des engagements budgétés. Une maîtrise des dépenses que le gouvernement refuse d’envisager.  Après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine, la flambée des prix de l’énergie, il a même remis la main dans un portefeuille qui se vide si rapidement que les contribuables ne parviennent plus à le réalimenter. Les mesures de soutien aux ménages et aux entreprises, prolongées par les dépenses de relance de l’automne grèvent les comptes de l’État: en 2022, elles représentaient 37,5 milliards d’euros. Elles coûteront encore 12,5 milliards d’euros aux contribuables en 2023. A ces mesures-béquilles sont venues s’ajouter celles tamisant l’augmentation des prix de l’énergie. Le bouclier tarifaire sur l'électricité et le gaz, les remises à la pompe ou encore le chèque énergie ont représenté un coût net de près de 43 milliards d'euros sur 2 ans. Résultat, hors dépenses exceptionnelles, la hausse des dépenses publiques atteignait 3,5 % en 2022. La dérive sera encore de 0,7 % en 2023. Circonstance aggravante, cet effort budgétaire a été consenti dans un contexte de forte inflation et de croissance déclinante. Après 2,6% en 2022, l'exécutif mise sur une hausse du PIB de 1% en 2023. Méthode Coué : Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, affiche des prévisions auxquelles ni le FMI, ni la Banque de France ni le consensus des économistes ne croient ! Les hypothèses retenues pour ramener le déficit sous la barre des 3% d’ici 2027 sont « trop optimistes », que ce soit en termes de croissance, d'évolution des taux d'intérêt ou de dépenses publiques, martèle la Cour des comptes. Si l'une de ces hypothèses s’avérait caduque, « l'objectif d'inflexion du taux d'endettement à l'horizon 2027 ne serait pas atteint » et la dette pourrait filer jusqu'à… 115% du PIB, prévient-elle. En janvier, Bercy a annoncé un examen annuel des dépenses publiques destiné à identifier des gisements d'économies en dépensant l’argent public de manière stratégique, ciblée et plus « intelligente ». De façon plus structurelle, la performance de la dépense publique dans certains domaines, comme la santé, le logement ou encore l’éducation, doit faire l’objet d’une évaluation systématique, souligne la Cour. La décentralisation fait partie des domaines d’intervention glouton en argent public sur lequel l’État devrait évaluer son action. Le verdict de la Cour est sans appel : quarante ans après les lois Defferre, la décentralisation s’est transformée en un inextricable maquis. Loin de clarifier la donne, l’émiettement communal et la création de grandes régions ont brouillé les cartes. Censée réguler le délestage du pouvoir de l’état vers les régions, la création de multiples échelons décentralisés, dont les Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) ont généré une compétition néfaste entre ces entités. La persistance de ces compétences croisées ne renforce pas l’efficacité de l’action publique locale et c’est un facteur de surcoût, déplore la Cour. Pour l’avenir, elle préconise de rénover les relations entre collectivités, notamment en réduisant le nombre de communes et de rationaliser l’organisation des collectivités en incitant, par exemple les services décentralisés de l’État à mieux prendre en compte les compétences locales pour gagner en efficacité.

19/03/2023

La nouvelle chanson de Pierre Perret sur Paris !

"Pauvre Paris devenu si cracra, On sait bien qui t'a fait ça. C'est les crânes de piaf dégourdis, qui bouffent des graines à la mairie. Pauvre Paris, Paris enlaidi, dans quel état ils t'ont mis ? Ils avaient promis le Nirvana et c'est la bérézina. Pauvre Paris, Paris enlaidi, toi qui fus le paradis, te voilà fringuée Waterloo, par nos gentils écolos"

26/01/2023

Décès de Cyprien LAURELLI

image Cyprien.jpgNotre ami Cyprien Laurelli est décédé.

Il était une des figures les plus connues de l'arrondissement, ancien élu, ancien responsable de l'UMP, il était le président des associations de combattants (UNC, CAFAC) dans le 10e.

Nous sommes très très tristes.

Une cérémonie en son honneur sera organisée à la Mairie du 10e ainsi qu'à l'église Saint-Joseph Artisan, rue la Fayette.

04/12/2022

La scandaleuse décision du RN et des Insoumis...

Le 1er décembre 2022, l'Assemblée Nationale a condamné l'agression de la Russie contre l'Ukraine, à l'exception de ces deux partis.

Pourquoi ce comportement typiquement égoïste et munichois? Pourquoi traiter de "belliciste" une position tout simplement normale pour qui soutient la démocratie contre la dictature, la souveraineté d'un peuple contre une agression coloniale et impérialiste et notre civilisation et notre identité contre la barbarie?

Le parti de Madame Le Pen est décidément un parti d'extrême gauche...

24/11/2022

Madame Pécresse se moque du monde.

Elle veut augmenter le "Pass Navigo" à 90 € en 2023 alors qu'un voyageur sur deux seulement paye son transport. Il suffit de se tenir devant les portillons du métro ou aux portes des bus pour constater cette tendance qui, elle aussi augmente parallèlement à l'ensauvagement de la société...

Ça  lui couterait beaucoup moins d'augmenter le nombre des contrôleurs et ça nous couterait aussi beaucoup moins à nous, pauvres usagers....

12/11/2022

Libération de Kherson...

Kherson.jpgNous soutenons encore et toujours plus nos amis ukrainiens dans leur résistance courageuse pour la liberté et la démocratie contre l'agression impérialiste et colonialiste des Russes menés par l'ex-KGB Poutine !

Une lettre de Catherine Dumas

Une lettre de Catherine Dumas, sénatrice de Paris

 

Chers amis,

A une semaine du prochain Conseil de Paris, la Maire de Paris n’a pas jugé opportun de diffuser, auprès des conseillers de Paris, le document de présentation de ses orientations budgétaires.

Cette situation, inédite, traduit une nouvelle fois le mépris d’Anne Hidalgo pour les règles démocratiques les plus élémentaires. Elle montre surtout la nécessité, comme le réclame depuis plusieurs mois les élus du groupe Changer Paris que préside Rachida Dati, de mettre la gestion de Paris sous tutelle.

C’est un fait, la Maire de Paris et les élus de sa majorité « Rouge-Rose-Verte » sont dans l’incapacité totale de boucler le budget 2023. Sans scrupule et en contradiction totale avec leurs promesses de campagne lors des élections municipales, la gauche parisienne va augmenter la taxe foncière de 52% !

A cette hausse phénoménale viendra s’ajouter une augmentation des valeurs locatives parisiennes de 7%. L’augmentation réelle sera donc supérieure à 60% et viendra s’ajouter au milliard et demi d’euros qu’Anne Hidalgo prélève en plus, chaque année, dans la poche des Parisiens, depuis huit ans qu’elle est Maire de Paris.

Et la gauche parisienne ne se contente pas seulement d’appauvrir les Parisiens, elle hypothèque également leur avenir en portant la dette municipale parisienne à dix milliards d’euros (plus de 4000€ par Parisiens). Pour mémoire, elle n’était que d’un milliard lorsque la droite a rendu les clés de l’hôtel de ville, en 2001…

Et pour quel résultat ! La ville se paupérise, elle est sale, mal entretenue. Les services publics sont désorganisés, insuffisants et les Parisiens évoluent dans une ville qu’ils ne reconnaissent plus ! Les Parisiens n’en n’ont pas pour leur argent !

Pour l’ensemble de ces raisons, lors du Conseil de Paris qui doit s’ouvrir mardi, les élus du groupe Changer Paris boycotteront la séance budgétaire et réclameront, aux côtés de Rachida Dati, un audit immédiat des finances de la ville !

Catherine Dumas

11/11/2022

La gestion aberrante de Madame Hidalgo...

Justifiant sa décision par l'inflation et la crise énergétique, la maire de Paris Anne Hidalgo s'est prononcée pour une forte revalorisation de la taxe foncière dans la capitale. Une hausse qui se cumulerait à celle des valeurs locatives cadastrales.

09/11/2022

Une lettre de Pierre Charron, sénateur de Paris