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01/05/2022

Non au retour des djiadistes en France !

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Quoi de plus touchant qu’un enfant qui pleure, un petit ange à cajoler ? Mais votre sang se glace, quand vous le voyez décharger froidement son arme dans la tête d’un otage.

Madame, Monsieur,
 
Le danger djihadiste a été occulté dans les médias de propagande l’année dernière.

Mais depuis quelques semaines, une vaste campagne de manipulation émotionnelle se déploie : des soutiens aux djihadistes poussent à nouveau pour le retour des djihadistes en France.
 
En février, c’est même un sénateur communiste et un député centriste qui font pression.
Ils poussent pour que les enfants djihadistes soient amenés en France. Ils ne reculent devant aucun procédé pour vous remuer les tripes et susciter votre pitié : « Ils sont innocents ! »
 
Qui pourrait rester insensible face à un enfant en détresse ?
 
Sauf que ces idéologues « oublient » des détails sordides, mais essentiels...
Et ils mettent en place une véritable bombe à retardement.
 
Ces parlementaires le savent pourtant bien.
 
Car dès 2017, le patron de la DGSI les avait prévenus : les enfants de djihadistes sont formés militairement dès le plus jeune âge, de manière intensive.
À 4 ou 5 ans, ce sont déjà des soldats.
Pire, des machines à tuer.
 
« Leur endoctrinement et leur entraînement en font des bombes humaines. »
 
Des vidéos montrent que ces « enfants » savent déjà égorger.
Ou vider un chargeur dans la tête d’un prisonnier.
À 5 ans.
 
D’autres vidéos répugnantes montrent que les djihadistes leur donnent des têtes tranchées pour jouer au foot.
 
Il y a 5 ans, la vidéo « Sur les traces de mon père », diffusée par l’État islamique, montre deux enfants djihadistes « français » qui exécutent des prisonniers :
« Si mon père était en vie, je lui demanderais une faveur : rentrer en France pour faire une opération martyre. »
 
La même année, la vidéo « Mon père a dit » montre quatre enfants de moins de dix ans, équipés de caméras greffées sur le corps et d’armes de poing pour un grand jeu du chat et de la souris.
La règle ?
Dans un immeuble désaffecté, trouver les prisonniers menottés dans le dos, mais pouvant encore courir.
Ces « enfants » djihadistes abattent un à un les prisonniers, sans remords.
 
Ces « enfants » ne jouent pas aux Legos.
Ils démontent et remontent des kalachnikovs.
Ils dégoupillent des grenades.
 
Dès 2 ans, ils visionnent des exécutions et en redemandent, toujours selon le patron de la DGSI à l’Assemblée nationale : ils « se roulent par terre parce qu’ils n’ont pas pu regarder leurs vidéos de décapitation, qu’ils sont habitués à voir toute la journée ».
 
Au même âge, ils manient déjà le poignard pour décapiter leur peluche !
À 2 ans !
 
Leur quotidien, c’est d’apprendre à se cacher pour attendre le bon moment et abattre « l’infidèle ».
C'est-à-dire le Français.
 
À côté, les racailles, qui pourrissent la vie des Français au quotidien, qui brûlent des voitures, caillassent les pompiers et tabassent à mort le premier venu passeraient presque pour des enfants de chœur !
 
Voilà les « enfants » que ces idéologues veulent faire venir en France, en jouant de la corde sensible et en se drapant « d’humanisme ».
 
Et leur pression psychologique ne s’arrête pas là, puisqu’ils veulent évidemment les faire rentrer avec leur « maman »…
 
C’est la technique classique du « pied dans la porte » qu’on connaît déjà avec le « regroupement familial » sur l’immigration.
Ils jouent sur l’émotion (les enfants) en cachant l’essentiel (faire entrer des terroristes en France).
 
Quoi de plus touchant, qu’une maman avec son enfant ?
 
En France, des parents de djihadistes militent pour le retour de leur « enfant » de 25 ou 30 ans. Évidemment, ils jouent aussi le coup des pleurs... pour vous imposer des terroristes islamiques en France
 
Que pensent-ils des massacres du Bataclan et de la promenade des Anglais à Nice ?
Et de tous les autres attentats islamiques contre des Français ?
 
Pour ajouter à l’émotion, une dizaine de djihadistes femmes parties de France et détenues en Syrie ont entrepris de faire une grève de la faim.
 
Et ça marche ! Les médias de propagande en ont fait leur beurre. Ils s’apitoient... Ils versent leur larme... Et ils pressent le gouvernement d’agir…
 
… Car ils ont la mémoire courte.
 
En effet, ces femmes sont aussi djihadistes que leurs maris qui :
  • torturaient leurs victimes,
  • brûlaient vivants des chrétiens ou des kurdes dans des cages, 
  • décapitaient à tout-va, 
  • forçaient les prisonniers à creuser leurs propres tombes, 
  • égorgeaient publiquement femmes et hommes, 
  • jetaient les homosexuels du sommet des immeubles, 
  • traînaient les cadavres de pauvres victimes derrière les voitures…
Vous voulez ça près de chez vous ?
 
Début mars 2019, une équipe de télévision anglaise a recueilli les « témoignages glaçants » de centaines de djihadistes dans le camp d’al-Hol en Syrie.
 
Le point commun entre toutes les femmes : « toutes continuent à défendre Daech » finit par reconnaître BFMTV en commentant ce reportage.
 
Six fois mariée à un djihadiste, Yasmina Haj Omar s’en félicite : « Ça m’allait parce que je suivais la parole du prophète. À chaque fois qu’un homme mourait en martyr, j’en épousais un autre ».
 
« Mon fils grandira un jour et deviendra un djihadiste » lance en turc une femme djihadiste à l’AFP.
« Je souhaite le retour du califat islamique et son expansion aux quatre coins du monde » renchérit une autre.
 
La menace se précise : la poursuite de la guerre sur notre propre sol par le retour des djihadistes. Après la défaite militaire de « Daech », « Nous viendrons chez vous » promettait ainsi une femme djihadiste.
 
Cette promesse, des idéologues sur notre propre sol tentent à nouveau de la réaliser. C’est de la folie pure.
 
La France est déjà le pays le plus touché par les attentats islamiques en Europe.
 
Il faut absolument contrer cette tentative politique et médiatique.
 
Damoclès est la seule association à s’opposer efficacement au retour des djihadistes.
 
À l'heure où je vous écris, la pétition NON au retour des « djihadistes français » en France ! va bientôt dépasser les 200 000 signataires.
 
Cette même pétition a déjà fait reculer le gouvernement en 2019.
La position qu’il tient aujourd’hui, c’est celle que les Damoclésiens ont imposée !
 
Mais aujourd’hui, il est mis sous pression par les idéologues et par les médias de propagande qui voudraient faire pénétrer les 160 djihadistes « français » sur notre sol.
 
Cette pétition peut encore contenir la menace, si nous la faisons atteindre rapidement les 300 000 signataires.
 
Pour cela, je vous demande de signer la pétition en cliquant ici ou sur le bouton ci-dessous :
 
Nous sommes toujours en guerre.
Et des fous furieux veulent faire venir l’ennemi sur notre sol !

Signez la pétition.

Bien sûr, il est indispensable que vous partagiez cet email pour mobiliser vos proches.

PS. Des naïfs voudraient croire qu’on pourrait « récupérer » les djihadistes…
La vérité, c’est qu’à ce jour AUCUNE déradicalisation n’a marché, malgré des investissements de MILLIONS d’euros.
Déjà qu’on n’arrive pas à traiter le problème des racailles…
Les djihadistes sont des ennemis qui veulent une seule chose : continuer leur guerre contre vous, vos proches et tout ce que vous représentez, en France.

Signez la pétition et diffusez ce message massivement. Il faut contrer l’opération de propagande de ces idéologues fous furieux.

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