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20/04/2016

Alain Juppé réagit à l'intervntion du président Hollande...

François Hollande ne comprend pas les entrepreneurs

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C’est la réaction d’Alain Juppé à l’issue de l’émission du chef de l’État sur France 2 de jeudi dernier. Pour notre candidat : « François Hollande n’a pas compris ce qu’attendait de lui la jeune femme chef d’entreprise : la volonté de faire sauter les freins à l’embauche qui dissuadent les entreprises, et surtout les PME, de recruter alors qu’elles auraient besoin de le faire ».

17/04/2016

Place de la République...

Ça y est, comme nous l'avions annoncé, l'"aménagement" de la place de la République, c'est-à-dire son bétonnage, l'a transformé en source de nuisances : embouteillages, interdiction de passer pour les bus un week-end sur trois, nuisances sonores pour les 3e, 10e et 11e arrondissements, rallongement des trajets pour les habitants du 10e et pollutions subséquentes, dégradations de la place et des commerces alentours, affaissement des sous-sols occupés par la RATP, et, désormais repaire de casseurs dans les faits mais aussi dans la "pensée". N'a-t-on pas vu l'économiste Lordon se faire applaudir pour avoir dit : "nous sommes rassemblés ce soir pour imaginer la catastrophe, apportons leur la catastrophe".

16/04/2016

L'info-lettre du sénateur de Paris, Dominati

 

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Libérez nos entreprises !

Il y a quelques jours, la Délégation sénatoriale aux entreprises organisait la première "Journée des entreprises". L'occasion pour les membres de la délégation de recueillir les témoignages volontaires de chefs d'entreprises qui, malgré des obstacles toujours plus nombreux, refusent de voir la France glisser sur la pente du déclin économique.

Le ton de cette journée, sans concession mais toujours lucide, aura permis de souligner les différents freins qui minent la compétitivité de nos entreprises : normes et seuils sociaux écrasants, fiscalité inintelligible et parfois même confiscatoire, système scolaire inadapté avec, en filigrane, le problème de l'apprentissage.

La connaissance des réalités économiques et sociales des entreprises oblige la droite, à l'approche de l'élection présidentielle, à formuler des solutions concrètes, pour permettre de restaurer rapidement un climat favorable aux entreprises. Une politique franchement libérale débridant le travail, l'innovation, l'esprit d'entreprise, afin de pouvoir in fine relancer l'investissement. L'enjeu est de taille car, en cas d'alternance, nous ne pourrons pas nous contenter d'appliquer des recettes du passé qui n'ont pu éviter la stagnation et le chômage.

Réformer les seuils sociaux

Premier obstacle : les effets de seuils, qui rendent aujourd'hui inadapté le dialogue social dans l'entreprise. Identifié de longue date, cet obstacle na malheureusement pas été levé par la loi Rebsamen à l'été dernier, pas plus que par la loi Macron. Les amendements que nous avions en ce sens votés furent rejetés par le ministre Macron lors de l'examen de sa loi.

C'est un fait que dévoilent de nombreuses études : le nombre d'entreprises chute abruptement à proximité des seuils de 10, 20 et 50 salariés. Parmi les entreprises françaises dont leffectif se situe entre 40 et 100 salariés, près de 40% sont concentrées en-dessous du seuil de 50 employés… Incontestablement, les coûts additionnels quimplique le franchissement de ce seuil social introduisent une distorsion de la taille des entreprises nuisibles à la compétitivité de notre économie. Il est maintenant nécessaire de relever les différents seuils, ou plus simplement de les supprimer.

Bien entendu, d'autres mesures s'imposent pour faciliter la vie de nos entreprises : outre le relèvement du temps de travail et une plus grande liberté dévolue aux chefs d'entreprises, conformément au principe de subsidiarité, il est urgent de diminuer les contraintes administrations et réglementaires de toutes sortes, la France comptant pas moins de 400.000 normes, 10.500 lois et 127.000 décrets.

Simplifier la fiscalité

On le sait, François Hollande a lamentablement échoué à faire reculer le chômage. À un an de l’élection présidentielle, l’exécutif n’a donc pas d’autre choix que de maquiller les chiffres, n’hésitant pas à sortir des statistiques officielles un grand nombre de chômeurs. Leur méthode, consistant en un vaste mélange de dépenses publiques via notamment la création demplois publics et des fameux "emplois aidés" aura produit le résultat que lon connaît : 700.000 chômeurs supplémentaire depuis lélection de François Hollande.

La transformation du CICE en baisse de charges sociales, annoncée au début de lannée, illustre à merveille limprovisation qui a constamment dominé dans ce quinquennat. Les solutions pour alléger la pénalisation fiscale qui pèse sur nos entreprises et nos investisseurs sont pourtant connues : diminution drastique des charges sociales, suppression de l'ISF, abaissement du taux de l'impôt sur les sociétés, aujourd'hui supérieur à 33%, alors que le Royaume-Uni vient d'abaisser le sien à 15%.

J'attends des différents candidats engagés dans la primaire des solutions audacieuses et rapides. La droite semble enfin prête à rompre avec une stratégie qui, pendant longtemps, l'aura enfermée dans une logique défensive face au discours fiscal dominant de la gauche.

Valoriser l’apprentissage

Autre obstacle pointé du doigt à l'occasion de cette Journée des entreprises : le système français d'apprentissage et de formation professionnelle. Comme la souligné mon collègue Serge Dassault, l'apprentissage pourrait être un formidable levier d'insertion professionnelle pour la jeunesse. à l'heure où 150.000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans formation, il importe de repenser de fond en comble ce système. La question de la suppression du collège unique, évoquée à l'occasion de cette journée, ne doit pas être éludée.

Sur tous ces sujets, nous serions bien inspirés de regarder chez nos voisins, où les réformes d'envergure ont déjà produit de significatifs effets. Depuis longtemps, en Allemagne, sous l'impulsion du chancelier Schröder ; outre-manche, depuis l'accélération impulsée par David Cameron dans le sillage des réformes structurelles de Tony Blair. Des réformes radicales qui ont amené le plein-emploi, le rétablissement du pouvoir d'achat et une croissance significative : 2,5% au Royaume-Uni, contre 1,1% en France. Je demeure convaincu que le salut économique de la France viendra de réformes tournées vers la liberté et la confiance laissée à l'initiative individuelle.

 
 
 



L'exemple britannique

L'un des aspects marquants de cette Journée des entreprises fut les témoignages d'entrepreneurs français installés au Royaume-Uni, et décrivant le fossé qui sépare l'attitude des pouvoirs publics à l'égard des entrepreneurs. Plusieurs participants ont en effet déploré qu'il règne en France un climat de suspicion et de défiance de l'administration vis-à-vis du monde économique, alors que l'administration britannique, elle, se met entièrement à son service. Ce climat de confiance n'est pas pour rien dans les résultats économiques du Royaume-Uni, où la croissance est la plus forte parmi l'ensemble des pays du G7, et où le chômage ne cesse de reculer (6%, contre 10% en France !). Les effets positifs observés outre-Manche montrent combien un changement radical est nécessaire en France, où les lourdeurs administratives minent trop souvent la liberté entrepreneuriale. Malheureusement, ce discours, sil n'est pas tout à fait inexistant, reste encore beaucoup trop marginal chez nous.

Alain JUPPE nous informe...

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Bruno Le Maire ce dimanche 17 avril 2016...

 

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Bruno Le Maire sera ce dimanche l'invité de Laurent Delahousse

au JT de 20h de France 2.

15/04/2016

Le 10e atteint à nouveau par la racaille...

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03/04/2016

Un gouvernement décidemment bien incompétent

 

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C'est beau d'avoir un ministre de cette qualité, non ?..
Il préfère voir mourir une bonne partie de ses concitoyens parce qu'ils votent différemment !!!!!
J'aime ce sens inné de la démocratie ! Que c'est beau !
Ça fait chaud au cœur et ça donne envie de recommencer 1789!!

25/03/2016

Infolettre de Philippe Dominati

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Retoqué

Cinq semaines après son vote à l’Assemblée nationale, le projet de révision constitutionnelle sur l’état d’urgence et la déchéance de nationalité a été soumis à l’examen du Sénat. En réaction aux attentats du 13 novembre, François Hollande a proposé au Parlement de modifier notre loi fondamentale afin d’y inscrire l’état d’urgence et la déchéance de la nationalité française pour les terroristes.

Voici maintenant quatre mois que ce projet de révision occupe l’espace médiatique. Ce sujet semble pourtant lasser bon nombre de Français, car leur bon sens les pousse à croire que les réponses à la menace terroriste sont ailleurs. Ils comprennent que ce Président au bilan si peu reluisant s’agite pour constituer autour de lui l’union nationale.

Un bricolage superflu de la Constitution

Certains perçoivent plus la manœuvre que le fond. D’autres nous interrogent sur l’utilité réelle qu’il y aurait à modifier la Constitution. Pour ma part, j’ai pu vérifier à l’occasion de ces longues heures de débat que les procédures d’état d’urgence et de déchéance de nationalité demeurent déjà inscrites dans le corpus législatif de la République. En conséquence, il n’est pas utile de changer la Constitution pour pouvoir appliquer ces deux mesures.

C’est déjà la cinquième révision de la Constitution qui m’est proposée en tant que parlementaire par un Président de la République. Or, je reste marqué par mon opposition à la révision de la Constitution voulue par le Président Jacques Chirac pour y introduire le principe de précaution. De mémoire, nous n’étions qu’une petite vingtaine de parlementaires à rejeter cette idée. Et je constate aujourd’hui, aussi bien à droite qu’à gauche, que nombreux sont ceux qui regrettent cette modification. Je rappelle ce fait pour exprimer ma réticence naturelle à toute révision hâtive et émotionnelle de la Constitution.

Une majorité disloquée

La véritable surprise politique de cette manuvre présidentielle, c’est qu’elle a disloqué sa majorité parlementaire. Pour masquer cette déchirure, le gouvernement a donc dû modifier profondément, à l’Assemblée nationale, le projet présenté par le président de la République au Congrès de Versailles. Chancelant, quelques jours seulement avant de subir une nouvelle fronde avec la loi El Khomri, le pouvoir socialiste n’envisage plus de modifier réellement la Constitution. Il ne cherche qu’à arrêter le processus constitutionnel, en faisant supporter à la droite l’échec de cette révision symbolique. C’est la tonalité du discours du Premier ministre pour souhaiter un vote axé uniquement sur le texte voulu par le groupe socialiste de l’Assemblée nationale. C’est pour cette raison que les sénateurs Républicains et centristes ont suivi le président du Sénat pour laisser une chance au processus en cours, en renvoyant à l’Assemblée nationale un texte préservant l’essentiel.

Il appartient désormais à la majorité socialiste de se soumettre à un consensus national ou de renoncer à modifier la Constitution. Par mon vote, j’ai voulu avec mes collègues faire preuve de discipline, afin d’obliger le gouvernement à prendre ses responsabilités. Mais ce texte n'a été adopté que par 176 voix pour, 161 contre et 11 abstentions, bien loin de la majorité des trois cinquièmes nécessaire. Par conséquent, cette révision constitutionnelle, de nature politicienne, est d'ores et déjà retoquée.

 

24/03/2016

Les salauds ont encore frappé !

 

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