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07/08/2016

Des économies à faire plutôt que des impôts...

 
CPAM PLUS FORT QU’À LA SNCF
-:-
C'est encore mieux qu'à la SNCF !
Minute de silence à la CPAM
À ce niveau, on ne se moque plus, on admire.
C’est de l’Art !
En rire... peut-être pas, mais sourire moqueur, malgré les circonstances...
L’affiche HALLUCINANTE de l’Assurance Maladie pour la minute de silence…
 
Sûrement LA photo de l’année, photo prise, à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie
(CPAM) du Cantal à Aurillac.
L’affiche qui annonce la fermeture de l’agence de 11h45 à 13h15 pour « procéder à une
minute de silence ».
CPAM.jpg

31/07/2016

les propositions d'Alain Juppé contre le terrorisme islamiste

Alain Juppé pour la France

Chers amis, 

Alain Juppé a mené hier sa première conférence de presse sur son plan anti-terrorisme. 

Il ne faut plus nier la réalité qui s’impose : découvrez dès maintenant les propositions d'Alain Juppé pour gagner la guerre contre le radicalisme islamique.


La France a plus que jamais besoin d’un Etat Fort qui mobilise tous les moyens nécessaires, qu’ils soient juridiques, financiers ou opérationnels. 

Partagez ce lien par mail et sur les réseaux sociaux pour diffuser les propositions d'Alain Juppé contre le terrorisme qui nous frappe de plus en plus violemment : www.alainjuppe2017.fr/agir-terrorisme.

À bientôt,

L'équipe nationale
Alain Juppé 2017
www.alainjuppe2017.fr

29/07/2016

Non, ça ne va pas mieux

L'activité économique a stagné au deuxième trimestre en France, le produit intérieur brut (PIB) restant stable alors qu'il était attendu en hausse de 0,3%.

Le chômage continue sa marche en avant (même si on ne compte que les chômeurs de catégorie A de Métropole, comme le font tous les journalistes).

Non, ça ne va pas mieux.

Et ça n'ira pas mieux tant que l'ultra socialisme restera au pouvoir...

27/07/2016

Le Président Hollande a raison...

... de demander à la Nation de "faire bloc" suite aux infâmes et lâches attentats islamistes.

Mais "bloc" autour de quoi ? Certainement pas autour d'un exécutif qui sur la question de la sécurité, comme sur les autres questions, ne semble vraiment pas à la hauteur.

Il faut en effet "faire bloc" mais autour de nos valeurs, de notre identité, de notre civilisation, de notre esprit de liberté, de notre démocratie, de tout ce pour quoi nos ancêtres se sont battus.

L'infolettre du sénateur Dominati

La session extraordinaire du Sénat s'est achevée par le débat sur la reconduction de l'état d'urgence, alors même que le président de la République avait annoncé qu'il n'avait plus de raison d'être. Ma collègue, sénatrice des Alpes-Maritimes, Dominique ESTROSI-SASSONE, a exprimé avec une forte émotion notre chagrin, notre solidarité et surtout notre colère. C'est peu dire que cet attentat ma, comme à tous les Français, soulevé le cœur.
 
Au-delà de la légitime indignation, de la pensée émue que nous avons pour les victimes et leurs familles et du soutien infaillible que nous exprimons à l'égard des forces de secours et de sécurité, cest de la colère que nous ressentons. Je pense, comme beaucoup de Français, que depuis les attentats de janvier 2015 et de novembre derniers, toutes les leçons n'ont pas été tirées.
 
Si le Sénat a accepté de proroger une nouvelle fois l'état d'urgence, pour 6 mois cette fois, c'est avec la volonté de l'assortir de mesures pragmatiques destinées à lutter plus efficacement contre le terrorisme : facilitation de la fermeture de lieux de culte salafistes, extension des pouvoirs de contrôle du préfet, suppression de l'automaticité des réductions de peine. Reste que cette nouvelle prolongation de l'état d'urgence n'est pas sans présenter un effet trompe-l’œil.
 
Le vrai débat sur la politique sécuritaire du gouvernement n’a pas eu lieu. Le vote sur l'état d'urgence, qui n'est qu'un ensemble de moyens mis à la disposition de nos forces de sécurité, ne traite pas le fond du problème. Aussi, l'union nationale qui prévaut pour les victimes et leurs familles, et qui est naturelle à l'égard des forces de l'ordre, ne peut s'imposer à l'égard d'un gouvernement qui nous fait douter sur sa capacité à contrer la menace terroriste.

 

Que faisons-nous exactement au Proche-Orient ?

 
Tout dabord, si nous sommes « en guerre », comme ne cesse de marteler le pouvoir, c'est parce que la France respecte ses alliances et intervient en Syrie depuis 2014. Cela suppose que nous ayons bien identifié la nature de l'ennemi. Or l'immense majorité des Français ignore qui se cache derrière lÉtat islamique et quels sont ses plus hauts dignitaires. Si cette situation fut compréhensible au lendemain de l'attentat contre Charlie Hebdo, elle est anormale dix-huit mois après.

C'est le rôle de l'exécutif de nous indiquer, pas à pas, les résultats des raids menés par l'aviation française contre les bastions de l'État islamique, quitte d'ailleurs à ce que ces résultats ne soient pas probants. Il y a là un devoir d'information du gouvernement vis-à-vis de nos concitoyens. Au lieu de cela règne le plus grand flou, alimentant par là le climat de défiance. Dix-huit mois après, les Français ne savent toujours pas quels sont les principaux chefs des terroristes, ni quels sont leurs véritables alliés, pas plus qu'ils ne savent quels sont nos buts de guerre. Si les Américains ont mis des années à traquer Ben Laden, au moins connaissaient-ils l'objectif de leur armée.
 
Quoiqu'il en soit, je suis convaincu que la paix en France dépend de notre victoire au Proche-Orient. Il importe d'agir en priorité sur les causes avant d'agir sur les conséquences.
 
Le président de la République nous a engagés, mais il ne se donne pas les moyens d'agir avec efficacité. Si l'on peut comprendre que des troupes occidentales ne doivent pas intervenir au sol en Syrie, que fait notre diplomatie pour exiger une intervention terrestre de nos alliés arabes alentours ? Que fait notre diplomatie pour accroître l'efficacité de notre armée aux côtés des troupes russes, plus actives que les nôtres ? Que fait notre diplomatie suite au recul américain vis-à-vis d'Assad ?
 
Sur chacun de ces sujets, le mutisme du pouvoir alimente la défiance !

 

Une polémique stérile sur les effectifs de Police comme seule réponse

 
L'autre incompréhension, cyniquement alimentée par l'exécutif, tient aux effectifs des forces de sécurité. Le ministre de l'Intérieur répète inlassablement que la droite a supprimé 12 500 postes en cinq ans, tandis que le gouvernement socialiste en aurait, lui, créé 9 000. Depuis dix-huit mois, le discours n’a pas varié, comme si l'action passée le paralysait pour prendre de nouvelles décisions.

Dabord, il faut comparer ce qui est comparable. La situation n'était pas la même. Mieux vaut moins d'effectifs et pas d'attentats que plus d'effectifs et sept attentats qui, avec plus de 250 victimes, ont endeuillé notre pays. Mais plus grave, ces chiffres sont faux. Alors qu'en 2011, dernière année pleine du mandat de Nicolas Sarkozy, l'effectif des policiers et gendarmes atteignait 240 298 unités, on en dénombrait 239 430 en 2015, soit 868 de moins.


Sil est vrai qu'un effort est fait pour renforcer les effectifs, la prise de conscience fut très tardive puisqu'il a fallu attendre les attentats du 13 novembre 2015 pour réagir. La veille, le budget du ministère de l'Intérieur déposé sur le bureau du Sénat après son adoption à l'Assemblée nationale prévoyait même une baisse, suite à un amendement gouvernemental. L'alibi sur les effectifs est stérile, car les variations que l'on évoque ne représente à peine 1 à 2 % des effectifs composés de 250 000 agents œuvrant pour notre sécurité.
 
Faut-il rappeler que la France compte, avec un agent pour 248 habitants, les effectifs de police les plus importants d'Europe ? Ce qui est en cause ici, ce ne sont pas les hommes sur le terrain, dont la qualité ne se dément pas, mais les structures de commandement et de coordination. Depuis le début des attentats, aucune mesure majeure en matière d’organisation n'est venue modifier notre dispositif. Le ministre se déclare régulièrement satisfait du fonctionnement de son ministère. Le scepticisme que provoque cette assurance alimente, là encore, la défiance !

 

S'ils convergent, les avis ne provoquent pas moins la désunion…

 
Pourtant, nombreux sont les parlementaires, toutes tendances confondues, qui en respectant les formes ont fait part au ministre de leurs interrogations. Les questions d'actualité depuis dix-huit mois en sont l'illustration. Le PNR, ce fichier concernant les voyageurs du transport aérien, n'est toujours pas en place... c'est la faute à L'Europe ! Le Parlement a voté dans l'urgence une loi pour la sécurité dans les transports en commun en mars, mais les décrets d'application ne sont toujours pas publiés… c'est la faute au Conseil d'État ! Que dire du renseignement intérieur ? Avant l'attentat du Bataclan, j’ai présenté à la commission des finances 10 préconisations dans mon rapport sur le renseignement intérieur, aucune n’a été étudiée bien qu'il fut adopté à l'unanimité. Plusieurs hommes politiques de premier plan ont souhaité une réflexion sur notre organisation dans ce domaine. Il y a quelques jours, la commission d'enquête de l'Assemblée nationale présidée par Georges FENECH, à laquelle ont contribué mes collègues parisiens Philippe GOUJON et Pierre LELLOUCHE, et dont le rapporteur était socialiste, est arrivé aux mêmes conclusions. Ces 40 propositions furent de la même façon balayées d'un revers de la main, au point de provoquer l'indignation des familles des victimes et d'alimenter une fois de plus la défiance !
 

 

26/07/2016

ILS ONT ASSASINE UN PRETRE, LES SALAUDS

Bien sûr, il ne faut surtout pas faire d'amalgames entre islamistes et musulmans. Mais il faut quand même que ces derniers s'interrogent sur la façon de contrer ceux qui se servent ainsi de leur culture et de leur foi.

Et surtout ne pas suivre le cardinal André Vingt-Trois qui a tenu des propos imbéciles dans l'homélie prononcée en hommage au père Jacques Hamel sur la déviance des mœurs, allusion à son "combat" contre le mariage pour tous. Des propos  qui n'avaient absolument pas leur place à l'heure où la France, unie, pleurait la mort de Jacques Hamel.

 

23/07/2016

La tournée d'été de Bruno Le Maire

tournee_ete_2016.jpg

Cela fait désormais 3 ans que Bruno Le Maire poursuit inlassablement son tour de France pour venir échanger avec vous, avec déjà plus de 400 déplacements au compteur. …
Et il n’est pas près de s’arrêter !

Du 16 au 26 août, Bruno Le Maire poursuit sa tournée d’été sur les côtes de l’Atlantique et de la Méditerranée !

Venez échanger avec lui autour d’un verre et lui poser toutes les questions que vous souhaitez :

• Mardi 16 août à Mimizan - 18h30, parking de la salle du Forum à Mimizan-Bourg , 2 avenue de la gare. Je m’inscris !

• Mercredi 17 août à Arcachon - 18h30, salle des Ambassadeurs, palais des Congrès , boulevard Veyrier Montagnères. Je m’inscris !

• Jeudi 18 août à Royan - 18h30, Palais des Congrès , 2 avenue des Congrès. Je m’inscris !

• Vendredi 19 août au Pouliguen - 18h, Parking de la salle Marcel Baudry - 8 rue du Maréchal Joffre. Je m’inscris !

• Samedi 20 août à Quiberon - 12h30, pique-nique au Parvis du Palais des Congrès, Place de Beg Er Vil. Je m’inscris !

• Lundi 22 août au Canet-en-Roussillon - 18h30, place Méditerranée. Je m’inscris !

• Mardi 23 août au Agde - 18h30, Grau d’Agde - boulevard du Front de mer. Je m’inscris !

• Mercredi 24 août à Aigues-Mortes - 18h30, Place du Château - Tour de Constance. Je m’inscris !

• Jeudi 25 août à Saint-Raphaël - 18h30, Jardin Beau Rivage, boulevard Raymond Poincaré. Je m’inscris !

• Vendredi 26 août à Saint-Laurent du Var - 18h, Centre Nautique de St-Laurent-du-Var, 416 avenue Donadeï. Je m’inscris !

22/07/2016

La réaction d'Alain Juppé à la barbarie islamiste de Nice

Alain Juppé pour la France

Non, on ne s’habituera pas.

Ni moi, ni vous,   n'est-ce pas ?

On ne s’habituera pas à voir nos familles, nos amis, nos enfants, nos forces de l’ordre tués en pleine rue, dans nos bars, nos salles de concert et nos rédactions.

Les assassins de Nice, de Paris, de Saint-Denis, de Toulouse ne sont pas simplement des “fous furieux” ou des “déséquilibrés”. Ce sont des terroristes barbares qui se réclament soldats d’un Islam radical qu’il faut oser nommer et combattre de toutes nos forces. J’ai moi-même formulé un certain nombre de propositions dans mon livre Pour un État fort.

Face au terrorisme islamiste, le fatalisme n’est pas une politique.

On doit faire plus et mieux. Il y a aujourd’hui, sur les bureaux de nos ministres, un rapport parlementaire avec 40 propositions pour améliorer les moyens de l'Etat face au terrorisme.

Alors, mettons-nous au travail ! Cliquez ici et transférez ce message si vous êtes d'accord : http://www.alainjuppe2017.fr/stop-terrorisme

Le gouvernement doit mettre en place certaines de ces mesures immédiatement :

  • Renforcer le renseignement territorial 
  • Créer une police pénitentiaire
  • Intégrer la gendarmerie dans la communauté du renseignement
  • Renforcer les instances de coordination anti-terrorisme

C’est pour cela que je me suis lancé dans l’élection présidentielle, pour un mandat seulement. Parce que, comme vous, je n’en peux plus de l’inaction, des ratés, des “habituez-vous”. Je veux agir, pour vous et avec vous.

La France est en guerre. Tirons-en les conséquences.

Êtes-vous prêts à agir avec moi ? Dites-le moi et diffusez cet e-mail à vos proches : http://www.alainjuppe2017.fr/stop-terrorisme

J’espère que comme moi, vous ressentez, au-delà de notre infinie tristesse, une totale détermination à agir.

Soyons forts.

Alain Juppé







16/07/2016

Ainsi, il serait inconvenant de critiquer les failles de notre système de sécurité ?

Alors que notre système actuel de protection n'a pu empêcher ce énième attentat islamiste, le gouvernement ne se reconnaît toujours aucune défaillance dans la sécurité qu'il doit à nos concitoyens à Nice comme ailleurs en France. Il pousse même l'outrecuidance jusqu'à dénier aux opposants le droit de constater ces défaillances.

Dans quelle démocratie vivons nous ?

Les faits démontrent pourtant à l'évidence que les mesures actuelles sont notoirement insuffisantes et que d'autres mesures sont nécessaires sans porter atteinte à nos valeurs de liberté.

On attend plutôt de nos gouvernants une analyse sérieuse de ce phénomène islamique terroriste, en liaison avec les responsables musulmans de France afin de mettre en œuvre les ripostes idéologiques qui s'imposent.

Le gouvernement actuel essaie de répondre à des évènements qu'il ne veut pas analyser au nom de sa propre idéologie angélique en préconisant plus de patrouilles de soldats dans les rues, plus de bombes en Irak... Tous les experts s'accordent pour dire que ce n'est pas la solution.

Quand on aura fait la nécessaire analyse du tragique phénomène qui conduit des personnes au cerveau faible à tuer leurs prochains alors on pourra mettre en œuvre un vrai plan de lutte, à la fois dans nos écoles, dans nos mosquées, dans la fonction publique et partout où cela sera nécessaire et engager les dépenses utiles et non électoralistes en matière de renseignement et d'effectifs de police. A cet égard, il est consternant que la gouvernement actuel fasse de la politique sur le dos des malheureuses victimes en rappelant que Nicolas Sarkozy avait réduit les effectifs de policiers. Ce qui est faux, parce qu'ils les a redéployés. Et parce qu'à l'époque il n'y avait pas eu des centaines de victimes comme depuis 2012. Et ce qui est par ailleurs contradictoire avec les propos des gouvernants actuels qui répètent à l'envie que la sécurité parfaire n'existe pas.