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16/05/2015

mardi 26 mai : réflexion sur les Conseils de quartier

La Mairie du 10e envisage de modifier le fonctionnement des réunions de quartier et propose aux personnes intéressées de faire part de leurs idées le

MARDI 26 MAI
à 19 heures en salle des mariages,
à la mairie du 10e

Vous pouvez aussi faire parvenir vos remarques et suggestions en envoyant un courriel à demolocale10@paris.fr ou à agirpour le10e@yahoo.fr

 C’est le samedi 13 juin que le nouveau fonctionnement de ces Conseils sera rendu public.

Nettoyage du 10e le 23 mai !

Nous vous transmettons cette information relative à l'opération de nettoyage organisée par la Ville de Paris (sans doute parce que les Régionales approchent).

Pour le 10e l’opération aura lieu samedi 23 mai dans le bas de la rue du Faubourg Saint-Denis.
Le point de rendez-vous est à l’angle de la rue de Metz, et l’opération aura lieu de 10h30 à 13h.

  

14/05/2015

samedi 16 et dimanche 17 mai : inauguration de la médiathèque Françoise Sagan

 Nous vous relayons, pour info, le programme du weekend d’ouverture de la médiathèque Françoise Sagan.

  Pour ce weekend d’ouverture au public, l'équipe de la médiathèque a imaginé, en partenariat avec institutions et associations du quartier, un programme foisonnant et familial, avec des animations gratuites et festives pour tous les publics : contes, concerts, lectures, animations photos et numériques, etc.

 En exclusivité, une exposition sur Françoise Sagan est organisée, dans la salle d'exposition au rez-de-chaussée. L'exposition est gratuite et dure jusqu'en septembre.

Voici le programme du week-end :

 ·         http://www.mairie10.paris.fr/mairie10/document?id=16123&id_attribute=11110h Parcours "Le 10e en 10 étapes" : Rendez-vous au Couvent des Récollet (150-154 rue du Faubourg Saint-Martin) pour un parcours à énigmes qui mobilisera bon nombre de lieux culturels du quartier (galeries d’art, librairies, associations…). De la cuisine indienne à un manoir hanté, c’est une autre facette du 10e arrondissement que nous vous inviterons à découvrir, grâce à une promenade ludique, parsemée d’anecdotes historiques, qui guidera vos pas jusqu’à la médiathèque. Destinée à tous, enfants et adultes, amis et familles, cette balade matinale s’achèvera vers 12h30. (Hors les murs)

 ·         10h Pendant que ceux qui le souhaitent participent au parcours dans le quartier, les portes de la médiathèque seront ouvertes. Vous pourrez visiter les lieux et profiter, dans le jardin méditerranéen, de deux concerts donnés par des élèves et professeurs du Conservatoire Hector Berlioz : percussions de 10h30 à 11h15 et quintette à vents de 11h15 à 12h. (Jardin intérieur)

 ·         10h-12h Photocabine "Les prisonniers de Saint-Lazare". Saviez vous que la médiathèque était autrefois... une prison ? Et oui, la médiathèque occupe le site du Clos Saint-Lazare qui fut tour à tour une léproserie, un prieuré, un hôpital et une prison pour femmes. Venez vous faire prendre en photo à la manière d'un prisonnier et repartez avec votre photo ! (4ème étage)

 ·         13h La chorale du Conseil des seniors du 10e nous livrera son interprétation de la célèbre chanson "A Saint-Lazare" d'Aristide Bruant, qui a pour cadre l'ancienne prison Saint-Lazare. (Jardin intérieur)

 

·         13h30 "Bibliocanon", petite surprise proposée par le Conservatoire Hector Berlioz, dans la salle d'animation au rez-de-chaussée. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée)

 ·         14h-18h : "Passé présent - une expérience virtuelle". Venez participer à un voyage dans le temps et découvrir la médiathèque telle qu'elle était il y a 100 ans. Grâce à la technique d'incrustation sur fond vert, vous serez immergé dans la chambre d'une prisonnière du début du siècle dernier. (@telier multimédia, 2ème étage)

 ·         14h-16h Photocabine "Les prisonniers de Saint-Lazare" (4ème étage)

 ·         14h-14h10 Percussions corporelles, par les élèves du Conservatoire Hector Berlioz (Espace BD, 2e étage)

 ·         14h30-15h Contes tissés, métissés et tressés par la conteuse Muriel Bloch, avec la complicité musicale de Joao Motta. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée)

 ·         15h15-16h Lecture de l'album pour enfants L'argent, par l'atelier socio-linguistique du centre social et culturel Le Pari's des Faubourgs, accompagné de Marie Desplechin. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée)

 ·         16h-16h50 Concert de guitares, par les élèves du Conservatoire Hector Berlioz. (Espace BD, 2e étage) 

 ·         16h30-17h Contes tissés, métissés et tressés par la conteuse Muriel Bloch, avec la complicité musicale de Joao Motta. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée)

 ·         17h30-18h Contes tissés, métissés et tressés par la conteuse Muriel Bloch, avec la complicité musicale de Joao Motta. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée)

 

DIMANCHE 17 MAI, DE 13H A 18H

 

·         13h30 Suivez la fanfare Melotecon à travers la rue du Faubourg Saint-Denis et ses multiples passages, jusqu'à la médiathèque Françoise Sagan ! (Hors les murs)

 ·         13h-15h Photocabine "Les prisonniers de Saint-Lazare". (4ème étage) 

 ·         14h-14h20 Interlude danse, par les élèves du Conservatoire Hector Berlioz. (2ème étage)

 ·         14h-18h  Démonstration "Leap motion". Venez participer  à expérience audiovisuelle interactive. A l'aide du Leap motion, plongez dans un univers poétique et coloré ou chaque mouvement de vos doigts transforme votre monde virtuel. (@telier multimédia, 2ème étage)

 ·         14h30-15h Contes improvisés à tous les étages, par la conteuse Nathalie Leone et sa troupe. (Coin des histoires au 1er étage, Salle de lecture au 2ème étage et mezzanine au 3ème étage)

 ·         15h-15h45 Lecture par l'écrivain Sylvain Pruhomme d'extraits de ses œuvres Africaine Queen et Les grands, suivie d'une discussion avec le public. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée)

 ·         15h30-16h Contes improvisés à tous les étages, par la conteuse Nathalie Leone et sa troupe. (Coin des histoires au 1er étage, Salle de lecture au 2ème étage et mezzanine au 3ème étage)

 ·         16h-17h Séance contée pour petits et grands, par la conteuse Nathalie Leone. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée)

 ·         16h-16h20 Interlude danse, par les élèves du Conservatoire Hector Berlioz. (2ème étage)

 ·         17h15-18h Spectacle musical "Dialogue avec l'ange", par le Conservatoire Hector Berlioz. (Salle d'animation, Rez-de-chaussée) 

 ·         17h30-18h Contes improvisés à tous les étages, par la conteuse Nathalie Leone et sa troupe. (Coin des histoires au 1er étage, Salle de lecture au 2ème étage et mezzanine au 3ème étage)

   Adresse

8 rue Léon Schwartzenberg
Métro : Gare de l’Est

11/05/2015

On continue de faire n'importe quoi au gouvernement...

 

Le "n'importe quoi" est toujours d'actualité en matière de formation des salariés.

Le Cercle des Echos, auquel nous adhérons, a transmis ce très intéressant article de M. Cozin.

Les pouvoirs publics, après avoir inventé un improbable et inutilisable Compte Personnel de Formation, récidivent avec l'annonce d'un nouveau système d'information, le Compte Personnel d'Activité. Aussitôt né aussitôt démodé le CPF (qui n'est que 3 mois) est en sursis et les dispositifs inutiles semblent devoir être multiplié au risque de paralyser la formation professionnelle.

Trois petits mois et le CPF s'éloigne déjà

Le CPF aura donc fait illusion durant trois petits mois, le temps d'annuler les Droits à la Formation (DIF) des salariés du privé tout en enlisant (pour des années peut-être) la formation professionnelle dans la complexité, la perplexité et la défiance.

Le "pilier" de la réforme de 2014 (dixit Michel Sapin), celui qui devait tout à la fois permettre de former les chômeurs et de relancer la formation des jeunes et des moins qualifiés était un coup de bluff, l’avant-dernière cartouche de pouvoirs publics qui ont perdu tout sens de la mesure, du possible et de la pertinence sociale.

Le CPF et la réforme, de la petite monnaie qui aura juste servi lors des marchandages sociaux du début 2013 

Les pouvoirs publics ressemblent à un commerçant qui, ne parvenant plus à vendre ses produits, multiplie les promotions et les opérations spéciales pour attirer un chaland devenu inquiet ou dubitatif.

La formation ne marche pas alors, créons de nouveaux droits. Cela ne marche toujours pas alors, inventons encore d'autres dispositifs plus miraculeux que ce compte formation de 2013. La surenchère est évidente, mais la machine règlementaire est devenue folle, le social est un produit d'appel dévalué, mais le seul qui resterait en stock.

Le CPF, un fiasco en solitaire

L’État a donc tout fait seul : lancer les discussions, mettre en place d’innombrables commissions, piloter un invraisemblable et improvisé système d'informations, communiquer sur les bienfaits de services fantômes (le CPF, mais aussi le Conseil en Évolution Professionnelle).

Ne doutant plus de rien, ils s’apprêtent à torpiller leur nouveau système pour inventer encore mieux, encore plus social, encore plus sécurisant, un Compte Personnel d'Activité (CPA). Comme le faisait remarquer en début d'année le responsable formation d'une grande usine, "avec cette réforme tout salarié est désormais considéré comme un chômeur en puissance".

Cette réforme intégralement "faite maison" est déjà un échec qui bloque et annihile tout effort formation pour les entreprises comme pour les salariés, mais en haut lieu on a décidé d'aller plus loin encore, de creuser ce sillon stérile des règlementations inutiles au travail et aux travailleurs.

On ne change pas une société par décret

En 1979, le sociologue Michel Crozier (disparu en 2013) avait publié un petit ouvrage dont les pouvoirs publics feraient bien de s’inspirer : "on ne change pas une société par décret". Depuis les années 2000, avec la généralisation de l'informatique, la complexité et la diversité des besoins éducatifs, la globalisation du travail et l’accélération des changements technologiques, l’État aurait été bien inspiré de réfléchir à ce qu’il pouvait encore entreprendre sérieusement pour servir le travail, accompagner les salariés et les entreprises.

La confiance précède toujours la formation

La longue litanie des systèmes d’informations ratés et des capilotades de l’État depuis 20 ans auraient dû alerter, il n'en est rien, l'écosystème de la formation tourne à vide, mais à plein régime et même si plus grand monde ne prend au sérieux les mots alignés dans les textes de loi ou les décrets il ne faut surtout pas s'arrêter puis réfléchir.

Le modèle social dominant en France est désormais celui de la défiance, des faux-semblants et de l’incompréhension envers un État qui légifère à tout va sans plus écouter ou comprendre.

Les acteurs économiques contournent donc la loi (pas vu pas pris) ou attendent patiemment la prochaine règlementation pour ne rien entreprendre (comme à l'armée, avant d’obéir aux ordres on attend le contre-ordre).


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-131705-des-comptes-formation-comme-sil-en-pleuvait-1-le-cpf-un-compte-pour-rien-1110757.php?CziEbev1KzBhRSzc.99

Conseil de quartier Grange-aux-Belles le 19 mai

C'est le MARDI 19 MAI à 19 hrs que  se réunira le Conseil de quartier Grange-aux-Belles Terrage à l'école élémentaire 9 rue de l'Hôpital Saint-Louis.

Au programme : la propreté et l'environnement, la fête de quartier et les actualités du quartier.

09/05/2015

Encore une loi néfaste pour la France...

Yves Albarello, Patrick Balkany, Étienne Blanc, Xavier Breton, Philippe Cochet, Bernard Debré, Jean-Pierre Decool, Patrick Devedjian, Nicolas Dhuicq, Sophie Dion, Virginie Duby-Muller, Hervé Gaymard, Claude Goasguen, Jean-Pierre Gorges, Henri Guaino, Jean-Jacques Guillet, Patrick Hetzel, Laure de La Raudière, Pierre Lellouche, Dominique Le Mèner, Laurent Marcangeli, Hervé Mariton, Franck Marlin, Philippe Meunier, Jean-Claude Mignon, Yannick Moreau, Édouard Philippe, Jean-Frédéric Poisson, Bérengère Poletti, Franck Riester, Thierry Solère, Alain Suguenot, Lionel Tardy, Jean-Charles Taugourdeau, Michel Voisin.

Ce sont les seuls députés de droite qui ont voté contre la Loi Renseignement.

Qu'ils en sont remerciés. Honte à tous les autres !

Cette loi est néfaste parce qu’elle va changer nos comportements, notre manière de vivre au quotidien, notamment lorsqu’on utilise les téléphones et l’Internet. Nous allons avoir le sentiment d’être sur écoute constamment et cela va créer une psychose dans la population. Manuel Valls le Premier ministre disait « Nous sommes en guerre », et effectivement avec la loi renseignement, le stress vient d’être transmis à l’ensemble du pays. En bref, si le gouvernement voulait que la population se sente menacée, c’est réussi. Très rapidement et automatiquement, nous allons intégrer les mécanismes de l’autocensure.
Au contraire, le rôle du gouvernement est de gérer le pays et ses problématiques sans que cela ait un impact sur la population, sans provoquer un changement de nos comportements, sans modifier les habitudes, sans modifier nos libertés acquises ou notre manière de vivre au quotidien. Le gouvernement a décidé de nous lier tous à cet état d’urgence terroriste.

Loin d'être une dérive malheureuse d'une gauche au pouvoir prise de court par les circonstances exceptionnelles d'une attaque meurtrière, cette loi n'est qu'un chaînon de plus dans sa dérive vers une vision du monde qui repose sur le contrôle, la suspicion et la surveillance des gouvernés par les gouvernants. 

Pas par conviction, pas par machiavélisme, mais par raidissement réactionnaire qui puise son jus dans l'effroi devant son impuissance à mettre un terme à son propre délitement.

 

06/05/2015

La marche des Lemmings

atlantico-yahoo-2129783.jpgCe mercredi 6 mai 2015 sort "La marche des lemmings", le livre choc de Serge Federbusch, notre ex conseiller du 10e arrondissement qui explique comment le pouvoir socialiste a manipulé l’opinion au moment des attentats de janvier pour escamoter ses faillites et sa responsabilité. Et comment la manifestation monstre du 11 janvier résulte elle aussi d’un conditionnement pour dévier l’émotion populaire vers le "pas d’amalgame" en niant l’évidence des progrès du fondamentalisme musulman en France.

01/05/2015

Quand une ministre "de gauche" oublie les fondements de la République...

Portrait_Najat_Vallaud-Belkacem-crop.jpgMadame Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, est à l'origine d'une réforme des collèges qui va accentuer le déclin de l'enseignement public au profit de l'enseignement privé.

Quelle erreur de vouloir réduire la place des langues dites mortes. Le latin et le grec constituent pourtant le substrat de notre langue actuelle et permettent aux gens de comprendre le sens des mots, de se comprendre et donc d'apprendre plus facilement les autres langues vivantes.

Quelle erreur de vouloir réduire la place de l'allemand dans l'enseignement, alors que l'Allemagne est notre principal partenaire économique et que les recruteurs peinent à trouver des candidats qui parlent la langue de nos voisins, s'imaginant que l'anglais est bon à tout. Pourquoi conforter l'anglais et donner ainsi une prime dans la concurrence mondiale aux anglo-saxons, qui, eux ressentent de moins en moins l'utilité de s'imposer l'apprentissage du Français.

Quelle erreur de vouloir réduire la place de l'histoire alors que l'esprit critique de nos concitoyens ne peut se développer que si les enseignements du passé sont connus. A moins qu'on ne veuille former une nation d'esprits vides ?

De reculade en réformes inadaptées, nos gouvernants renforcent la médiocrité au lieu de faire émerger les élites de demain. Le nivellement par le bas n'a jamais été un signe de progrès. La gauche mais aussi la droite devraient comprendre que ce n'est pas ainsi que sera limitée la reproduction de l'aristocratie culturelle.

Mais qu'en sait Mme Vallaud-Belkacem qui n'a jamais travaillé dans une entreprise (comme tous ses pairs au gouvernement) et qui, à 38 ans, n'a comme seule expérience professionnelle qu'un séjour de trois ans dans un cabinet d'avocats ?

Quand des médias de gauche déraillent...

Les "Femen", ce groupuscule d'origine douteuse et dont les financements sont opaques, ont tenté de perturber le meeting autorisé d'un parti lui aussi autorisé.

La majorité des journalistes de la télévision n'ont retenu de ces méthodes fascisantes que l'intervention du service d'ordre du parti concerné pour mettre fin à cette perturbation (puisque la police n'intervenait pas).

Et ces mêmes journalistes n'ont condamné que.. l'intervention du service d'ordre !

Dans quel drôle de démocratie vit-on?

L’aversion qu'on peut avoir contre certaines des idées du Front National n'autorise pas cette inversion des valeurs. Nous n'oublions pas non plus que notre permanence de l'UMP comme nos distributeurs de tracts de l'UMP (quand nous étions membres de ce parti) ont été agressés par des militants d'extrême gauche sans qu'à l'époque, ces mêmes journalistes y trouvent quoi que ce soit à redire.

Il ne peut y avoir deux poids deux mesures pour défendre la démocratie, la liberté et.. la République !