Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/05/2023

A propos de l'immigration

immigration.jpg

02/05/2023

IL FAUT UN FRONT REPUBLICAIN CONTRE L'EXTREME GAUCHE !

Après les propos scandaleux de dirigeants des partis qui composent la NUPES, il faut un front républicain !

Le président de LFI incite à la haine et ne condamne pas les scandaleuses violences contre la police et contre les commerces et les bâtiments publics de ce lundi 1er mai 2023.  Il est soutenu par nombre de dirigeants de gauche. Ou va notre République? Ou va notre démocratie? Ces gens-là veulent-ils vraiment un régime bolchévique en France?

IL FAUT UN FRONT RÉPUBLICAIN CONTRE LE FASCISME DE GAUCHE !

27/04/2023

Une lettre d'Eric CIOTTI adressée au ministre PAP NDIAYE...

« Monsieur le ministre, laissez l’école libre en paix ! »

L’école de la République s’effondre et le ministre regarde ailleurs. Depuis quelques jours, l’école libre est prise pour cible par le ministre de l’Éducation nationale qui la caricature en sanctuaire des inégalités sociales et la destine à devenir un nouveau champ d’expérimentation de sa politique de mixité. Une politique aussi artificielle dans ses principes que dans ses résultats. Dans le contexte politique et social qui est le nôtre, la France a-t-elle besoin de pareille querelle? Déclencher une nouvelle guerre scolaire par pure idéologie serait une faute.

Au-delà de l’inopportunité flagrante, Pap Ndiaye se fourvoie en abordant la question scolaire par le seul prisme des inégalités et redouble la gravité de son erreur en accusant l’école libre d’en être la cause, proposant dès lors de rogner les libertés fondatrices de son identité.

Le ministre connaît-il seulement l’enseignement privé qu’il attaque? En connaît-il la diversité, au-delà des grands établissements parisiens où il scolarise d’ailleurs ses enfants? Ses déclarations semblent ainsi méconnaître le rôle important qu’il joue dans l’enseignement technologique et professionnel, notamment au sein des filières agricoles où la majorité des établissements sont privés.

Plutôt que de s’inquiéter de la mixité sociale des écoles privées, Pap Ndiaye devrait se préoccuper davantage du déclin tragique de notre niveau scolaire: 15 % des élèves de 6e ne savent ni lire ni écrire et ce sont près de 23 % des adolescents français qui n’atteignent pas les compétences minimales en compréhension de l’écrit, en mathématiques ou en sciences. Personne n’est d’ailleurs dupe de la motivation réelle des attaques contre l’école libre, dérivatifs malhabiles à la réalité peu glorieuse d’une Éducation nationale qui s’effondre à force d’abandons successifs et d’errements idéologiques.

L’idéologie égalitariste portée par le ministre n’est pas une solution et ne peut qu’abîmer l’école. Dans le grand flou des politiques éducatives d’Emmanuel Macron, on a longtemps - et désespérément - cherché une constante et une vision: on craint aujourd’hui de devoir la trouver dans les déclarations de Pap Ndiaye, partisan assumé des déconstructions diverses et variées du wokisme décomplexé. Une inquiétude que ne peuvent qu’aviver les atteintes à la laïcité qui se multiplient et contre lesquelles le ministre semble dramatiquement impuissant, si ce n’est complaisant.

L’éducation de nos enfants n’a pas à être un domaine d’expériences idéologiques. Nous devons revenir à un principe simple et pragmatique: la promesse d’égalité de l’école de la République n’est pas une promesse de parfaite mixité sociale mais une promesse d’homogénéité des conditions d’enseignement. Nos enfants ne réussissent pas en fonction des origines sociales de leurs camarades de classe mais grâce au cadre qui leur est donné pour développer leurs talents.

Que vous soyez riche ou pauvre, la République doit vous offrir des professeurs compétents et des classes paisibles. C’est cette promesse d’égalité qui a été rompue et les indices de mixité sociale compilés par les algorithmes du ministère - d’ailleurs souvent contestés - passent ainsi à côté de la véritable injustice.

La véritable injustice, ce n’est pas l’inégalité sociale mais l’inégalité scolaire, celle qui existe entre des établissements où la discipline n’est pas un vain mot et ceux où le désordre est devenu la règle. Et l’égal accès de tous à des écoles, des collèges et des lycées qui garantissent de bonnes conditions d’études est la première égalité à restaurer.

Ce n’est pas en s’ingérant dans la gestion des écoles privées que l’école publique sera relevée. Ce n’est pas en déconstruisant l’une qu’on reconstruira l’autre: Pap Ndiaye veut déshabiller Pierre sans habiller Paul.

Le problème majeur de notre école n’est pas dans la composition sociale des établissements privés mais dans la violence qui s’est installée dans trop d’établissements scolaires, et ce jusque dans ces campagnes autrefois paisibles. Plutôt que d’opposer artificiellement les deux secteurs constitutifs de notre modèle éducatif, Pap Ndiaye devrait travailler à les réunir autour de ce combat essentiel.

L’école a fait la République, et la République se défera sans elle: le désordre qui naît entre ses murs se retrouvera demain partout ailleurs et il est urgent d’y mettre fin. Monsieur le ministre, rangez vos statistiques, vos indicateurs, vos idéologies et vos rivalités inutiles, et redonnez à tous nos enfants la liberté d’étudier dans la sérénité et la sécurité. L’école doit redevenir un sanctuaire pour tous les enfants de France: le sanctuaire de l’avenir de notre nation.

14/04/2023

Difficile d'être plus incompétent que M. Macron !

Après avoir fait et dit n'importe quoi à propos de nos retraites, le Président de la République réitère ses propos scandaleusement opportunistes sur les relations entre la Chine et Taïwan. Il avait déjà montré la même incompétence à propos des relations entre l'agresseur russe et l'Ukraine. Que ceux qui l'ont fait élire s'en mordent les doigts.

09/04/2023

Un message d'Eric CIOTTI pour Pâques

Chers amis, 

Je souhaite à tous les chrétiens une belle et heureuse fête de Pâques.

Cette fête d’espérance et de renouveau est une intarissable source de joie pour les croyants et elle est – pour tous – un motif de réjouissances et de réunions familiales.

Depuis des siècles, elle rythme la vie de nos peuples et appartient désormais à un patrimoine partagé bien au-delà des seuls croyants. Elle nous rappelle notamment les racines chrétiennes de la civilisation européenne auxquelles nous sommes particulièrement attachés.

Mais notre regard se tourne au-delà de l’Europe et nous pensons, en ce jour de fête, à tous les chrétiens opprimés et menacés à travers le monde. Nous ne devons pas oublier que le christianisme demeure la religion la plus persécutée sur terre.

À l’initiative de Valérie Boyer, le Sénat a d’ailleurs adopté, le 8 février dernier, une résolution tendant à reconnaître le génocide assyro-chaldéen perpétré par l’empire ottoman entre 1915 et 1918, et qui coûta la vie à plus de 250.000 chrétiens du Proche-Orient, soit près d’un assyro-chaldéen sur deux. Nous avons déposé une résolution semblable à l’Assemblée nationale.

Par cette reconnaissance, la France demeurera fidèle à son histoire et à ses devoirs vis-à-vis des chrétiens d’Orient. En ce jour de Pâques, une fête qu’ils célébreront quant à eux dans une semaine, nous avons une pensée toute particulière pour ces chrétiens persécutés dans le berceau même de leur foi et faisant face – en première ligne – aux brutalités du fondamentalisme islamiste.

Puissent-ils trouver dans cette fête de Pâques la force de persévérer dans leur identité multiséculaire.

Joyeuses Pâques à tous.

Éric Ciotti
Président des Républicains

24/03/2023

Pour un retour de l’honneur et du devoir au sein de la classe politique...

‌À l’initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et
responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une
centaine de hauts-gradés et plus d’un millier d’autres militaires ont
signé l’appel ci-dessous pour un retour de l’honneur et du devoir au
sein de la classe politique.

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels
la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de
France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer
indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe,
ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles
que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la
France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous
trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre
honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui
frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un
seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les
communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme,
d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes
c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et
fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et
veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son
histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à
d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos
vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne
le détachement de multiples parcelles de la nation pour les
transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre
constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa
non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne
doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République
ne s’appliquent pas.
– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de
manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme
agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets
jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus
infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes
forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les
directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait
prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la
sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons
toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement –
comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels
agissements des spectateurs passifs.
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le
courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il
suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà.
N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens
est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la
prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames,
Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est
colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à
soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde
de la nation.
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se
répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une
explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission
périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de
sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la
guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont
vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.

Les généraux signataires :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère),
général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de
Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille,
général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général
de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général
de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S)
Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne
(2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne
(2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert
JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique
AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS
(Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE
(Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER
(Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction
Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT),
général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S)
Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard
BALASTRE (Marine Nationale).

21/03/2023

M. Macron ruine la France !

La Cour des comptes vient de publier son rapport annuel dans lequel elle insiste sur le délabrement des finances publiques et promeut une utilisation de l’argent public stratégique, mieux ciblée.

 Dans son rapport annuel, la Cour des comptes tire à boulets rouges sur la politique budgétaire de l'exécutif. Et pour cause : fin 2023, la dette publique française dépassera 111 % du PIB, soit 14 points au-dessus de son niveau d’avant Covid et le déficit public représentera 5 % du PIB. A 58 % du PIB, la France a les dépenses publiques les plus élevées de la zone euro. La Cour exhorte une nouvelle fois l’exécutif à sortir « définitivement » du « quoi qu'il en coûte » présidentiel et à faire du redressement des finances publiques « une priorité nationale ». Dans une interview accordée au Figaro, Pierre Moscovici, Premier président de l’institution,  rappelle qu’il y a 3 leviers pour réduire ces déficits : une forte croissance qui n’est pas d’actualité ; la hausse de la fiscalité, ce qui est "compliqué dans un pays où les prélèvements obligatoires sont déjà très élevés et où le consentement à l’impôt est faible." Et une troisième voie, assise sur la maîtrise de la dépense publique et la qualité des engagements budgétés. Une maîtrise des dépenses que le gouvernement refuse d’envisager.  Après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine, la flambée des prix de l’énergie, il a même remis la main dans un portefeuille qui se vide si rapidement que les contribuables ne parviennent plus à le réalimenter. Les mesures de soutien aux ménages et aux entreprises, prolongées par les dépenses de relance de l’automne grèvent les comptes de l’État: en 2022, elles représentaient 37,5 milliards d’euros. Elles coûteront encore 12,5 milliards d’euros aux contribuables en 2023. A ces mesures-béquilles sont venues s’ajouter celles tamisant l’augmentation des prix de l’énergie. Le bouclier tarifaire sur l'électricité et le gaz, les remises à la pompe ou encore le chèque énergie ont représenté un coût net de près de 43 milliards d'euros sur 2 ans. Résultat, hors dépenses exceptionnelles, la hausse des dépenses publiques atteignait 3,5 % en 2022. La dérive sera encore de 0,7 % en 2023. Circonstance aggravante, cet effort budgétaire a été consenti dans un contexte de forte inflation et de croissance déclinante. Après 2,6% en 2022, l'exécutif mise sur une hausse du PIB de 1% en 2023. Méthode Coué : Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, affiche des prévisions auxquelles ni le FMI, ni la Banque de France ni le consensus des économistes ne croient ! Les hypothèses retenues pour ramener le déficit sous la barre des 3% d’ici 2027 sont « trop optimistes », que ce soit en termes de croissance, d'évolution des taux d'intérêt ou de dépenses publiques, martèle la Cour des comptes. Si l'une de ces hypothèses s’avérait caduque, « l'objectif d'inflexion du taux d'endettement à l'horizon 2027 ne serait pas atteint » et la dette pourrait filer jusqu'à… 115% du PIB, prévient-elle. En janvier, Bercy a annoncé un examen annuel des dépenses publiques destiné à identifier des gisements d'économies en dépensant l’argent public de manière stratégique, ciblée et plus « intelligente ». De façon plus structurelle, la performance de la dépense publique dans certains domaines, comme la santé, le logement ou encore l’éducation, doit faire l’objet d’une évaluation systématique, souligne la Cour. La décentralisation fait partie des domaines d’intervention glouton en argent public sur lequel l’État devrait évaluer son action. Le verdict de la Cour est sans appel : quarante ans après les lois Defferre, la décentralisation s’est transformée en un inextricable maquis. Loin de clarifier la donne, l’émiettement communal et la création de grandes régions ont brouillé les cartes. Censée réguler le délestage du pouvoir de l’état vers les régions, la création de multiples échelons décentralisés, dont les Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) ont généré une compétition néfaste entre ces entités. La persistance de ces compétences croisées ne renforce pas l’efficacité de l’action publique locale et c’est un facteur de surcoût, déplore la Cour. Pour l’avenir, elle préconise de rénover les relations entre collectivités, notamment en réduisant le nombre de communes et de rationaliser l’organisation des collectivités en incitant, par exemple les services décentralisés de l’État à mieux prendre en compte les compétences locales pour gagner en efficacité.

19/03/2023

La nouvelle chanson de Pierre Perret sur Paris !

"Pauvre Paris devenu si cracra, On sait bien qui t'a fait ça. C'est les crânes de piaf dégourdis, qui bouffent des graines à la mairie. Pauvre Paris, Paris enlaidi, dans quel état ils t'ont mis ? Ils avaient promis le Nirvana et c'est la bérézina. Pauvre Paris, Paris enlaidi, toi qui fus le paradis, te voilà fringuée Waterloo, par nos gentils écolos"

17/03/2023

Madame Hidalgo et son nouveau sac...

sac Hidalgo.jpg