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30/06/2016

Un meeting d'Alain Juppé

Pour participer cliquer ci-dessous :

17/06/2016

Ensemble, ce 18 juin !

18 juin.jpgEnsemble, nous nous souviendrons ce samedi 18 juin de l'appel du général de Gaulle  à la poursuite du combat contre le nazisme alors que de nombreux hommes politiques de 1940 s'étaient résignés. Bien sûr la commémoration du passé ne doit pas être l'alibi pour une non-confrontation avec les problèmes du présent. Mais les commémorations sont structurellement nécessaires pour tenter d'éviter que le Mal se reproduise. C'est une obligation de cohésion sociale et un moment de résilience collectif auxquels tous devraient participer.

15/06/2016

La Lettre du sénateur Dominati

 
 

Les Britanniques redessinent l'Europe
 

Le débat entre pro- et anti-Brexit s'intensifie à mesure que l'échéance se rapproche. A quelques jours du référendum sur le possible retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne, consultation prévue le 23 juin, l'issue semble incertaine. Les derniers sondages donnent 43% pour le camp du Brexit et 41% pour celui du maintien dans l'UE, avec en conséquence un assez large panel d'indécis.

 

On connaît les relations tumultueuses du Royaume-Uni avec la construction européenne. Favorables depuis toujours à l'économie de marché, les Britanniques ont fini par rejoindre, avec l'aval de la France, la Communauté économique en européenne (CEE) en 1973. Mais, culturellement hostiles au centralisme, en particulier juridique, ils n'ont eu de cesse de manifester leur défiance à l'encontre d'un processus d'intégration et d'une réglementation européenne jugés trop contraignants.

 
Un référendum lourd d'enjeux
 

Que se passera-t-il si les Britanniques décident de se retirer de l'UE ? Les prédilections des uns et des autres sont je crois à prendre avec des pincettes, tant il difficile d'évaluer avec précision les conséquences d'un retrait.
 
Une chose est sûre : le demi-milliard d'Européens que compte le marché intérieur offre aujourd'hui des débouchés extrêmement précieux aux services et produits britanniques. Près de la moitié des exportations du Royaume-Uni concerne l'UE. Il existe donc là un réel danger si, confronté hors de l'UE à des droits de douane, le pays ne parvenait pas à maintenir un même niveau de performances commerciales. De la même façon, Londres pourrait perdre les débouchés que lui offre sa première place européenne de capitale financière, secteur qui dans sa totalité représente 11% de la richesse nationale britannique !
 
Attractivité commerciale, stabilité monétaire et financière, capacité d'investissement et, par ricochet, conséquences sur le niveau de chômage : les effets d'une sortie isolée du Royaume-Uni sur l'activité économique me paraissent à tous points de vue risqués.
 
Les enjeux dépassent de beaucoup le seul cas britannique. Partout l'euroscepticisme gagne du terrain sous l'effet cumulé de l'impuissance de l'Europe à juguler le déclin économique et à enrayer l'afflux migratoire. On l'a vu notamment en Grèce, en Hongrie ou, plus récemment encore, en Autriche. Les concessions obtenues de l'UE par le gouvernement de David Cameron et sur lesquelles aura finalement à se prononcer le peuple britannique fournissent à mes yeux l'occasion inédite de réfléchir à la direction que nous souhaitons infléchir à la construction européenne.
 
Face aux démagogues attitrés, il nous faut avoir le courage de répondre à cette question : comment l'Europe, qui apparaissait hier comme la solution à presque tous les maux, en est-elle venue à être perçue comme un problème supplémentaire venant s'ajouter aux autres ?

 
Le syndrome de l'UE ? Son jacobinisme !
 

J'aborde le sujet ô combien sensible de l'Europe avec d'autant plus de lucidité que je me suis moi-même toujours défini politiquement comme Européen. Mais, en l'occurrence, la lucidité commande de reconnaître la crise de légitimité sans précédent que traverse aujourd'hui l'UE. Beaucoup de choses lui sont reprochées, non sans quelque raison : une multiplication des réglementations et des contraintes, une attitude jusqu'au-boutiste dans des domaines qui en vertu de la subsidiarité ne devraient pas la concerner, une logique punitive perçue comme illégitime et paralysante.
 
La dénonciation rituelle, par les extrémistes de gauche comme de droite, d'une « Europe ultralibérale » est dans ces conditions un pur mensonge. Par son bureaucratisme opaque, son omnicompétence forcenée et son centralisme parfois autoritaire, l'Europe bruxelloise apparaît au contraire calqué sur le modèle interventionniste et jacobin… attentatoire aux libertés ! De sorte que s'ajoute souvent à la technocratie de l'Etat celle de l'Europe, au plus grand dam des Français et des Européens.

 
L'immense défi
 

Malgré les désillusions qu'a pu entraîner jusqu'ici la construction européenne, l'Europe politique ne reste pas moins nécessaire. Pourquoi ? D'abord pour faire contrepoids aux Etats-Unis et à l'émergence de nouvelles puissances tels que la Chine, l'Inde ou le Brésil. Mais aussi pour des raisons culturelles et historiques, les peuples européens ayant été trop longtemps déchirés par des conflits et des rivalités qu'il serait dangereux de raviver. Si difficile à trouver, l'équilibre entre l'autonomie et l'union reste un perpétuel objectif.
 
De ce point de vue, l'incurie de la présidence Hollande est effarante ! Que retiendrons-nous, en mai prochain, de l'action de François Hollande sur la scène européenne ? Rien. Quelle initiative a-t-il prise concernant la redéfinition de l'espace Schengen et la lutte contre le terrorisme ou le déferlement migratoire ? Aucune. Où en est le couple franco-allemand ? Nulle part.  Heureusement qu'il y eut ses participations aux commémorations pour rappeler l'Europe au bon souvenir de nos compatriotes… Disons-le franchement : c'est sur le terrain de l'Europe que la présidence Hollande fut le plus préjudiciable à la France. Au plus grand bénéfice des eurosceptiques, qui ont eu beau jeu d'exploiter les faiblesses de l'UE et le mutisme français.
 
Quelle que soit l'issue du référendum, la droite devra renouveler son projet européen en l'assortissant d'une finalité précise, notamment géographique. Comment, à cet effet, ne pas évoquer le brûlant dossier turc ? L'entrée dans l'UE d'un pays de 75 millions d'habitants, à laquelle la majorité des Français et des Européens sont opposés, signerait peut-être irrévocablement la mort de l'Europe politique.

La teneur des projets présentés par les principaux candidats à la primaire de la droite est, à cet égard, plutôt réjouissante. Tous semblent déterminés à redéfinir un espace sécuritaire seul garant des libertés, à réactiver le couple franco-allemand et à procéder aux nécessaires ajustements institutionnels. La droite semble enfin prête à relancer demain le beau projet européen !

 

 

Après l'horrible attentat islmamiste de Magnanville : les réactions de MM Juppé et Lemaire

Alain Juppé sur RTL : "Il est urgent de rétablir l'ordre et l'autorité"

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Je veux dire ma profonde émotion et ma révolte face au meurtre d'un commandant de police et de sa femme, hier soir dans les Yvelines.

Ma 1ère pensée va à leur petit garçon de 3 ans et leurs familles.

Je veux témoigner de tout mon soutien aux policiers et à toutes les forces de sécurité qui sont engagées depuis des mois dans la lutte contre le terrorisme, pour notre protection à tous et au péril de leur vie.

Face à la menace islamiste, il est indispensable de renforcer les moyens juridiques et techniques de nos forces de police et de renseignement afin d'assurer une surveillance de tous les individus liés au jihadisme, surtout après une condamnation pour terrorisme.

Nous devons également redoubler d'efforts pour éliminer définitivement l'Etat islamique, dans le cadre d'une coalition internationale renforcée.

Le combat contre le terrorisme est un combat culturel, pour nos valeurs de liberté et de respect de la vie.
Notre Nation gagnera contre le fanatisme !


Bruno Le Maire : Nous ne pourrons plus rien faire en France à moins de changer la classe politique !

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11/06/2016

Quand la Mairie va-telle enfin se décider à rendre la voirie aux autos?

aménagements gare du nordParmi les expressions de la désinformation utilisés par les ultra-socialistes, il en est une qui revient régulièrement dans les médias : "il faut rendre". Et de préciser toujours : "il faut rendre telle place, telle rue, telle portion de la voirie aux piétons". Comme si ces salauds d'automobilistes leur avaient pris quelque chose.

C'est ainsi que les ahurissantes décisions urbanistiques de la Mairie de Paris continuent à faire des ravages, à accentuer pollutions diverses et nuisances sonores et à ralentir tous ceux qui utilisent un véhicule pour de bonnes raisons (livreurs, artisans, commerciaux, médecins et autres professionnels qui constituent l'immense majorité des automobilistes parisiens).

A titre d'exemple, le sauvage "aménagement" (c'est aussi une expression de la novlangue socialiste), dans le 10e arrondissement, des abords de la gare du Nord qui provoque embouteillages permanents et nuisances très importantes.

09/06/2016

Envoyé par un lecteur du blog...

La France va mieux....
 
- Le siège de Technip quitte Paris pour Londres.
 
- Le siège d'Alcatel part en Finlande.
 
- Le siège de Lafarge-Holcim part en Suisse.
 
- Le siège d'Alstom part aux États-Unis.
 
Heureusement.... le siège de la CGT reste à Montreuil !!

Méfions nous du discours des médias de gauche (c'est-à-dire de presque tous les médias)

Parce que les candidats des Républicains à la primaire de novembre ont cru devoir préciser que la politique de bon sens libérale qu'ils prônaient n'étaient en rien une politique "anti-sociale", les journalistes ont immédiatement dégainé leurs vieux tromblons : "les politiques de droite ont changé leur fusil d'épaule et mettent du social dans leurs propositions"...

Cette absurde affirmation est le résultat d'une solide incompétence culturelle, historique et économique. Le libéralisme n'a jamais été contre le peuple, au contraire de l'ultra-socialisme en vogue chez ces dinosaures de la pensée.

J'emploie à dessein l'expression "ultra-socialisme" parce qu'il faut être conscient de la sémiologie utilisée par ces médias pour tenter de dévaloriser le discours du bon sens de droite par des formules toutes faites.

C'est ainsi qu'ils emploient volontiers les termes et expressions suivants pour tenter de déstabiliser sur la forme sans jamais répondre sur le fond :

- c'est un discours nauséabond,  c'est un discours polémique, ça prête à controverse, untel a fait le buzz avec ses propos qui sont difficilement acceptables, etc.

 

Libéralisme et justice sociale n'ont jamais été incompatibles

Je veux remettre de la justice dans notre pays ! 


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Je maintiens mon cap avec la même constance et je ne change pas de ligne politique : depuis le départ, je dis que je veux remettre de la justice dans notre pays. Je refuse toute course au "plus libéral que moi tu meurs" et toute purge imposée aux Français.

Ma priorité est de faire attention à ce que les dépenses sociales aillent à ceux qui en ont vraiment besoin.

Quand on distribue une allocation de rentrée scolaire, par exemple, assurons-nous que cela va bien aux enfants et que certains n'en profitent pas pour acheter à la rentrée des téléviseurs ou tout autre appareil électronique.

Je veux également supprimer l'aide médicale d'Etat car je ne trouve pas juste que des personnes en situation irrégulière ont accès à des soins dont des Français ne peuvent pas bénéficier.

 

 

08/06/2016

Suspension de la grève à la SNCF !

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Alors que les Franciliens ont déjà subi pendant plusieurs jours des inondations et que la grève dans les transports dissuade de nombreux touristes de se rendre dans notre Région, notamment pour l'Euro 2016, il est incompréhensible qu'une extrême minorité de grévistes persiste dans son action paralysante. D'ores et déjà, à l'initiative de Valérie Pécresse, plus de 70 parlementaires franciliens dont David Douillet, député et président de la Fédération Républicains Yvelines et les présidents de conseils départementaux Jean-Jacques Barbaux, président du Conseil départemental de Seine-et-Marne, Arnaud Bazin, président du Conseil Départemental du Val d'Oise, Pierre Bédier, président du Conseil Départemental des Yvelines, Patrick Devedjian, président du Conseil Départemental des Hauts-de-Seine, député et François Durovray, président du Conseil Départemental de l'Essonne ont appelé solennellement les agents grévistes de la SNCF à suspendre leur grève. Comme eux, j'appelle solennellement ces agents à suspendre leur grève qui accroît la paralysie de notre Région dans une période déjà dramatique pour les franciliens en raison des inondations.

Je les appelle à faire preuve de solidarité et de responsabilité. Alors même que 90% des agents sont mobilisés avec le plus grand dévouement nuit et jour pour rétablir le trafic et permettre au plus vite un retour à la normale, il est incompréhensible qu'une minorité mène à contretemps des revendications catégorielles.

Je signe cette pétition pour demander aux agents grévistes de faire preuve de solidarité et de responsabilité en suspendant leur grève.