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25/04/2022

Le second tour des Présidentielles dans le 10e arrondisement.

Avec 89,05 % des voix, Emmanuel Macron remporte la majorité des voix du 10ème arrondissement.

C'est l'arrondissement qui a le plus voté pour Emmanuel Macron.

22/04/2022

Faisons barrage à la coalition de l'extrême gauche et de l'extrême centre.

Faisons barrage à la coalition de l'extrême gauche et de l'extrême centre.

La France est dans un état lamentable en raison de la montée inexorable de l'islamisme, de l'insécurité, de la dette, de la dépense publique et du déficit de sa balance commerciale. Tout ceci ayant été largement aggravé pendant le quinquennat de M. Macron.

Si M. Macron est élu, ce qui est très probable en raison de la coalition du centre, de l'extrême gauche et de l'immense majorité des médias, il ne le sera que par 20 % des Français, face aux 80 % qui n'auront pas voté pour lui ou qui l'auront fait par défaut!

17/04/2022

Les approximations de M. Dupont-Moretti

Monsieur Dupont-Moretti dit , sur BFMTV le 16 avril 2022, en croyant embarrasser Madame Le Pen :

"Le 14, elle nous dit: 'Référendum peine de mort'. (...) Le lendemain sur votre antenne elle dit: 'le référendum n'est pas possible pour des raisons constitutionnelles'. Enfin madame, ça fait 5 ans que vous travaillez votre programme", attaque Éric Dupond-Moretti."

C'est une attaque infondée de la part de ce ministre car il n'y a aucune incohérence dans ce discours de la candidate : le référendum ne sera possible qu'après révision constitutionnelle. Elle ne dit pas autre chose et M. Dupont-Moretti est d'une mauvaise foi sidérante et méprise les Français par ses approximations.

De quoi faire envie de voter pour Madame Le Pen...

15/04/2022

Une lettre de l'ASAF à propos d'Emmanuel Macron...

À propos des soldats français en Algérie,
un président ne devrait pas dire cela[1] !

 

Dans sa longue quête mémorielle destinée à réaliser une impossible réconciliation entre la France et l’Algérie, le président de la République a ajouté une étape le mercredi 26 janvier 2022 à l’Elysée.

Rappelez-vous, ce véritable chemin de croix avait commencé en février 2017 à Alger, lorsque Emmanuel Macron, candidat à l’élection présidentielle, avait déclaré sur un média algérien que la colonisation avait été un « crime contre l’humanité », que la France « devait présenter ses excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avions commis ces gestes ». 

Puis, le Président commanda à l’historien Benjamin Stora un rapport destiné à apaiser les mémoires rivales entre la France et l’Algérie autour de la guerre. Ce document, remis le 20 janvier 2021, proposait très modestement de dresser des « passerelles sur des sujets toujours sensibles » (disparus de la guerre, séquelles des essais nucléaires, partage des archives, coopération éditoriale, réhabilitation de figures historiques…). Mais, à sa lecture, il apparaît très nettement que la majorité des pas en avant attendus le sont de la France.

Le 26 janvier, la cible visée était les rapatriés d’Algérie qui, depuis l’accession à la présidence de monsieur Macron, estimaient n’avoir reçu de lui aucun message de soutien ou de sympathie. Le palliatif à ces manquements passés a consisté à revenir sur la fusillade de la rue d’Isly à Alger, dans laquelle des dizaines de partisans de l’Algérie française furent tués par l’armée le 26  mars 1962. Le Président décrivit alors cet événement tragique en soulignant que  « les soldats français, déployés à contre-emploi, mal commandés, ont tiré sur des Français ». « Ce massacre du 26 mars 1962 est impardonnable pour la République » ajouta monsieur Macron.

 Il est vrai que pour faire bon poids et dans le cadre du « en même temps » qui lui est coutumier, le Président condamna aussi les massacres perpétués à Oran par des Algériens, le 5 juillet 1962, qui firent entre plusieurs centaines et deux mille victimes parmi lesquelles des femmes et des enfants.

Mais revenons à la rue d’Isly. Alors que le cessez-le-feu ouvrant la voie à l'indépendance de l'Algérie a été proclamé le 18 mars, plusieurs milliers de partisans de l'Algérie française sont appelés par l'OAS (Organisation armée secrète) à se diriger le 26 mars vers le quartier de Bab-el-Oued, refuge de membres de l'OAS, afin de forcer les barrages installés par l'armée française après plusieurs meurtres de jeunes du contingent par cette organisation. Ils sont invités à s'y rendre « sans armes » et « drapeau en tête », alors que la manifestation est interdite par le préfet.

À partir de là, différentes versions circuleront. Cependant,  selon l'une d'elles, certes contestée notamment par des familles des victimes, ce sont des tirs visant les militaires depuis une fenêtre ou un toit, rue d'Isly, qui enclenchent en retour, de la part des tirailleurs gardant le barrage, la fusillade vers la foule paniquée.

Quoi qu’il en soit, il n’est pas admissible que 60 ans plus tard, un président de la République, chef des Armées, porte dans un discours politique un tel jugement sur la façon dont les soldats étaient alors commandés. Est-il utile de rappeler que les soldats « mal commandés » d’alors, étaient, comme ceux d’aujourd’hui, sous les ordres du pouvoir politique ? Faire porter le chapeau aux militaires est une coutume dans notre République dès lors que cela permet d’épargner les responsables politiques. C’est le même procédé qui a été utilisé pour fustiger les « fusilleurs pour l’exemple » de la Grande Guerre.

Le préfet avait interdit la manifestation. Le préfet, c’est le représentant local de l’État et c’est donc l’État qui, en premier lieu, a failli en ayant été incapable de faire exécuter ses directives. Alors que les historiens eux-mêmes ne sont pas d’accord sur les circonstances du drame et sur le nombre de victimes, n’aurait-il pas été préférable, plutôt que d’asséner un jugement péremptoire, d’annoncer la création d’une commission d’enquête pour faire la lumière sur toutes les zones d’ombre de cette sinistre journée ?

De même, sur le 5 juillet 1962 à Oran, le Président est passé un peu vite. Il aurait pu exiger de l’Algérie l’ouverture de ses archives sur cette tragédie, la reconnaissance par celle-ci de l’existence de charniers, près d’Oran, qui renferment des centaines de corps de victimes françaises de même que leur restitution en vue de leur identification. Il faut arrêter de donner des gages à l’Algérie en espérant un retour qui n’arrivera jamais.

Quant aux rapatriés d’Algérie, leurs responsables estiment que  « M. Macron a reconnu le plus simple, l’aspect mémoriel, mais n’a pas franchi le pas de l’indemnisation », évoquant une revendication toujours présente chez certaines associations en dépit de compensations financières déjà versées mais critiquées comme « partielles ». Ainsi, l’utilisation de l’armée comme bouc émissaire afin de gagner les bonnes grâces des pieds-noirs apparaît vaine. La phraséologie macronienne débouche donc sur un double échec : ses relations avec les rapatriés ne se sont pas franchement réchauffées depuis le 26 janvier pas plus que celles avec les militaires.

« Le chemin tortueux de la repentance ne peut que s’enliser dans les sables mouvants[2]. »

 

La RÉDACTION de l’ASAF
www.asafrance.fr

 

[1] Un président ne devrait pas dire ça..., sous-titré Les secrets d'un quinquennat, est un livre des journalistes d'investigation Gérard Davet et Fabrice Lhomme, publié le 12 octobre 2016 par les éditions Stock.

[2] Expression utilisée par Barbara Lefebvre dans Le Figaro Vox du 27 janvier 2020.

 

12/04/2022

On ne peut voter pour celui qui a mis la France en dépôt de bilan depuis 5 ans !

Comme l'a dit Valérie Pécresse :

Emmanuel Macron a exercé le pouvoir de façon solitaire et verticale en affichant un mépris évident pour les corps intermédiaires et les Français.

Notre économie décroche par rapport à nos voisins, nos finances publiques sont au rouge vif, l’insécurité s’aggrave et l’immigration atteint des records. Désormais candidat, Emmanuel Macron promet tout ce qu’il n’a pas fait pendant son mandat. Comment croire qu’il fera dans les cinq prochaines années tout ce qu’il s’est montré incapable de faire depuis cinq ans ?

Sous de nombreux aspects, son bilan apparaît comme un dépôt de bilan. En cinq ans, Emmanuel Macron a dépensé sans compter. Avant même la crise sanitaire, les dépenses publiques augmentaient plus vite que sous le quinquennat de François Hollande. Sans mener la moindre réforme structurelle de l’Etat, Emmanuel Macron a cru pouvoir acheter la paix sociale à coups de chèques à crédit. La dette publique a augmenté deux fois plus vite qu’en Allemagne. Cet argent prétendument magique se payera d’une manière ou d’une autre. Cette montagne de dettes laissée à nos enfants est une faute morale et un danger pour notre souveraineté.

Nos concitoyens étouffent et nos entreprises sont asphyxiées car la France est toujours la championne d’Europe de la pression fiscale et sociale sur les entreprises et les ménages. Les prélèvements obligatoires ont franchi la barre des 1 000 milliards d’euros sous le quinquennat d’Emmanuel Macron. Les retraités en ont été les premières victimes avec la hausse massive de CSG et la désindexation de leurs pensions.

Nos entreprises croulent sous les charges et les normes : le coût de la complexité du Droit en France est évalué à 3 points de PIB. Candidat, Emmanuel Macron se fait le chantre de la réindustrialisation et de la souveraineté. Président, il a laissé la compétitivité des entreprises se dégrader et notre déficit commercial atteindre un record jamais vu en Europe.

Le coût de la vie explose, notamment la facture d’énergie qui a augmenté de plus de 360 euros durant le quinquennat. Nous n’oublions pas qu’avant les crises successives, Emmanuel Macron a commencé son mandat par augmenter massivement les taxes sur le gaz, le fioul, le diesel et l’essence.

Le plus grave angle mort de sa politique fut la sécurité. Emmanuel Macron et son gouvernement n’ont pas su protéger les Français. L’insécurité n’est pas un sentiment, mais une réalité qui nous explose en plein visage. En cinq ans, les violences contre les dépositaires de l’autorité publique ont augmenté de 20 %, les coups et blessures volontaires ont augmenté de plus d’un tiers, les tentatives d’homicide ont augmenté de 40 %… Les sanctions sont trop peu appliquées et la justice, noyée, laisse trop de délinquants dans l’impunité. Candidat, Emmanuel Macron dit vouloir “poursuivre ses investissements sécuritaires”. Président, il n’a construit que 2 000 places de prison sur les 15 000 promises, a osé reprendre à son compte les termes odieux de « violences policières » et a interdit les courtes peines de prison.

Depuis cinq ans, l’immigration atteint des sommets et l’assimilation est en panne. Alors qu’un record de près d’1,3 million de titres de séjour ont été délivrés pendant le quinquennat, Emmanuel Macron a été incapable de faire respecter la loi et de protéger nos frontières : moins d’une décision d’expulsion sur dix est appliquée alors qu’il promettait d’en appliquer 100%. Il a étendu la réunification familiale aux frères et sœurs de réfugiés et n’a rien fait pour endiguer les flux d’immigration légale et illégale. Il ne veut pas voir que cette immigration massive, doublée d’une intégration ratée, fracture notre pays.

Au niveau européen, Emmanuel Macron a multiplié les rêves fédéralistes restés lettre morte : convergence fiscale et sociale, budget autonome de la zone euro, armée européenne… Pire, la souveraineté européenne alimentaire a même reculé, faute d’avoir suffisamment défendu nos agriculteurs à Bruxelles.

Nos campagnes et nos agriculteurs sont confrontés à d’immenses défis dont le gouvernement n’a pas pris la mesure. C’est sous Emmanuel Macron que la France a connu son premier déficit agricole depuis 1945. Son gouvernement a laissé tomber nos agriculteurs alors que nous importons déjà 20% de notre alimentation quotidienne et 40% de nos fruits et légumes.

La crise sanitaire a révélé l’appauvrissement et les failles structurelles de notre système de santé. A coups de mensonges ou de retards sur les masques, les tests et les vaccins, le gouvernement d’Emmanuel Macron a failli. L’accès aux soins a été gravement compromis et jamais les déserts médicaux n’ont été aussi étendus qu’aujourd’hui. Les personnels de santé tiennent à bout de bras un système à bout de souffle.

Dans la droite ligne de François Hollande, Emmanuel Macron a consciencieusement détricoté la politique familiale. Prestation d’accueil du jeune enfant, complément libre choix d’activité, désindexation des allocations familiales… : tous les piliers de notre politique familiale, pourtant admirée dans le monde, ont été rabotés et fragilisés. Conséquence : la natalité s’est effondrée en France.

Enfin, en matière énergétique et environnementale, les revirements incessants, l’inflation législative et les décisions démagogiques sans fondement scientifique auront été la marque de fabrique de la politique d’Emmanuel Macron. Président, il a repris les objectifs absurdes de François Hollande visant à affaiblir notre filière nucléaire historique en dépit de notre souveraineté énergétique. Candidat, il promet l’exact inverse de ce qu’il a fait.

Voilà la réalité du bilan d’Emmanuel Macron qu’il fera tout pour dissimuler. Ce bref livre noir est une contribution au débat démocratique indispensable que nous devons avoir sur ces cinq dernières années et sur les prochaines. Les 10 et 24 avril prochains, se jouera une élection capitale pour notre pays. Les Français auront à choisir s’ils souhaitent que cette politique de l’impuissance publique perdure. Ils auront à se choisir un avenir.

Valérie Pécresse, qui, désormais, apporte son suffrage à M. Macron...

11/04/2022

1er tour des Présidentielles dans le 10e

21,5 % d'abstentions et 1,2 % de blancs et nuls.

Mélenchon : 38,4 %

Macron : 31,5 %

Jadot : 10,4%

Zémour : 5,2 %

Le Pen : 4,2 %

Pécresse : 3,3 %

Hidalgo : 2,7 %

Autres : 4,3%

TOTAL GAUCHE : 55,1%

TOTAL DROITE : 13,4 %

TOTAL CENTRE : 31,5 %

08/04/2022

Présidentielles : il faut faire barrage à l'extrème gauche !

Vote républicain : au premier comme au second tour, il faut faire barrage à l'extrême gauche

22/03/2022

Le lourd bilan d'Emmanuel Macron

Emmanuel Macron a exercé le pouvoir de façon solitaire et verticale en affichant un mépris évident pour les corps intermédiaires et les Français.

Notre économie décroche par rapport à nos voisins, nos finances publiques sont au rouge vif, l’insécurité s’aggrave et l’immigration atteint des records. Désormais candidat, Emmanuel Macron promet tout ce qu’il n’a pas fait pendant son mandat. Comment croire qu’il fera dans les cinq prochaines années tout ce qu’il s’est montré incapable de faire depuis cinq ans ?

Sous de nombreux aspects, son bilan apparaît comme un dépôt de bilan. En cinq ans, Emmanuel Macron a dépensé sans compter. Avant même la crise sanitaire, les dépenses publiques augmentaient plus vite que sous le quinquennat de François Hollande. Sans mener la moindre réforme structurelle de l’Etat, Emmanuel Macron a cru pouvoir acheter la paix sociale à coups de chèques à crédit. La dette publique a augmenté deux fois plus vite qu’en Allemagne. Cet argent prétendument magique se payera d’une manière ou d’une autre. Cette montagne de dettes laissée à nos enfants est une faute morale et un danger pour notre souveraineté.

Nos concitoyens étouffent et nos entreprises sont asphyxiées car la France est toujours la championne d’Europe de la pression fiscale et sociale sur les entreprises et les ménages. Les prélèvements obligatoires ont franchi la barre des 1 000 milliards d’euros sous le quinquennat d’Emmanuel Macron. Les retraités en ont été les premières victimes avec la hausse massive de CSG et la désindexation de leurs pensions.

Nos entreprises croulent sous les charges et les normes : le coût de la complexité du Droit en France est évalué à 3 points de PIB. Candidat, Emmanuel Macron se fait le chantre de la réindustrialisation et de la souveraineté. Président, il a laissé la compétitivité des entreprises se dégrader et notre déficit commercial atteindre un record jamais vu en Europe.

Le coût de la vie explose, notamment la facture d’énergie qui a augmenté de plus de 360 euros durant le quinquennat. Nous n’oublions pas qu’avant les crises successives, Emmanuel Macron a commencé son mandat par augmenter massivement les taxes sur le gaz, le fioul, le diesel et l’essence.

Le plus grave angle mort de sa politique fut la sécurité. Emmanuel Macron et son gouvernement n’ont pas su protéger les Français. L’insécurité n’est pas un sentiment, mais une réalité qui nous explose en plein visage. En cinq ans, les violences contre les dépositaires de l’autorité publique ont augmenté de 20 %, les coups et blessures volontaires ont augmenté de plus d’un tiers, les tentatives d’homicide ont augmenté de 40 %… Les sanctions sont trop peu appliquées et la justice, noyée, laisse trop de délinquants dans l’impunité. Candidat, Emmanuel Macron dit vouloir “poursuivre ses investissements sécuritaires”. Président, il n’a construit que 2 000 places de prison sur les 15 000 promises, a osé reprendre à son compte les termes odieux de « violences policières » et a interdit les courtes peines de prison.

Depuis cinq ans, l’immigration atteint des sommets et l’assimilation est en panne. Alors qu’un record de près d’1,3 million de titres de séjour ont été délivrés pendant le quinquennat, Emmanuel Macron a été incapable de faire respecter la loi et de protéger nos frontières : moins d’une décision d’expulsion sur dix est appliquée alors qu’il promettait d’en appliquer 100%. Il a étendu la réunification familiale aux frères et sœurs de réfugiés et n’a rien fait pour endiguer les flux d’immigration légale et illégale. Il ne veut pas voir que cette immigration massive, doublée d’une intégration ratée, fracture notre pays.

Au niveau européen, Emmanuel Macron a multiplié les rêves fédéralistes restés lettre morte : convergence fiscale et sociale, budget autonome de la zone euro, armée européenne… Pire, la souveraineté européenne alimentaire a même reculé, faute d’avoir suffisamment défendu nos agriculteurs à Bruxelles.

Nos campagnes et nos agriculteurs sont confrontés à d’immenses défis dont le gouvernement n’a pas pris la mesure. C’est sous Emmanuel Macron que la France a connu son premier déficit agricole depuis 1945. Son gouvernement a laissé tomber nos agriculteurs alors que nous importons déjà 20% de notre alimentation quotidienne et 40% de nos fruits et légumes.

La crise sanitaire a révélé l’appauvrissement et les failles structurelles de notre système de santé. A coups de mensonges ou de retards sur les masques, les tests et les vaccins, le gouvernement d’Emmanuel Macron a failli. L’accès aux soins a été gravement compromis et jamais les déserts médicaux n’ont été aussi étendus qu’aujourd’hui. Les personnels de santé tiennent à bout de bras un système à bout de souffle.

Dans la droite ligne de François Hollande, Emmanuel Macron a consciencieusement détricoté la politique familiale. Prestation d’accueil du jeune enfant, complément libre choix d’activité, désindexation des allocations familiales… : tous les piliers de notre politique familiale, pourtant admirée dans le monde, ont été rabotés et fragilisés. Conséquence : la natalité s’est effondrée en France.

Enfin, en matière énergétique et environnementale, les revirements incessants, l’inflation législative et les décisions démagogiques sans fondement scientifique auront été la marque de fabrique de la politique d’Emmanuel Macron. Président, il a repris les objectifs absurdes de François Hollande visant à affaiblir notre filière nucléaire historique en dépit de notre souveraineté énergétique. Candidat, il promet l’exact inverse de ce qu’il a fait.

Voilà la réalité du bilan d’Emmanuel Macron qu’il fera tout pour dissimuler. Ce bref livre noir est une contribution au débat démocratique indispensable que nous devons avoir sur ces cinq dernières années et sur les prochaines. Les 10 et 24 avril prochains, se jouera une élection capitale pour notre pays. Les Français auront à choisir s’ils souhaitent que cette politique de l’impuissance publique perdure. Ils auront à se choisir un avenir.

11/03/2022

L'absurdité du dictateur nazi, Poutine...

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