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31/12/2018

Les transports gratuits à Paris ?

Interviewée dans le Journal du Dimanche du 30 décembre 2018, Anne Hidalgo voit dans la gratuité des transports "une des solutions face à la crise qui traverse notre pays".

Démagogie de l'ultra socialisme...

La Maire de Paris n'a décidément rien compris.

Elle n'a pas encore compris qu'on ne respecte que ce qui a un coût. Si les transports deviennent gratuits, les bus et métros vont vite se dégrader.

D'ailleurs, ils sont déjà gratuits pour au moins 40 % des voyageurs. Ceux qui sautent les portiques à l'entrée des stations ou qui omettent de valider leurs titres de transport.

Et qui va payer? Des impôts en plus, comme d'habitude...

30/12/2018

NON au référendeum d'initiative citoyenne (ou populaire)

Quelques agitateurs d'extrême gauche relayés par la plupart des médias ont mis en avant cette revendication d'une poignée de manifestants absolument pas représentatifs des Gilets jaunes dont nous ne soutenons le mouvement que quant il s 'agit d'arrêter la hausse des impôts.

Non au RIC !

Non à la démagogie !

Ce qu'il faut, c'est redonner la parole aux électeurs en modifiant le mode de scrutin afin de le rendre plus proportionnel et tenir compte des bulletins blancs et nuls.

Non il n'y a pas trop de députés ou de sénateurs! Il faut au contraire qu'il y en ait beaucoup afin qu'ils soient près de ceux qui les ont élus et qu'il soient réellement représentatifs du peuple. Il faut aussi modifier la loi afin que les fonctionnaires ne puissent pas être élus s'ils peuvent retrouver leur emploi ensuite car il y a rupture d'égalité entre candidats. Et il faut encourager les ouvriers et employés à pouvoir être candidats et élus sans qu'ils perdent leur emploi ou les patrons à pouvoir l'être sans mettre en péril leur entreprise...

Non, les députés et les sénateurs ne sont pas trop payés !

Oui il faut préserver le Sénat !

Non aux soit-disant réformes constitutionnelles de M. Macron qui vont succéder aux autres réformes constitutionnelles stupides qui ont interdit le cumul des mandats, qui ont réduit la durée du mandat présidentiel et qui ont provoqué l'élection des députés dans la foulée des présidentielles.

Oui à une réforme constitutionnelle qui abolit ces réformes stupides qui ont éloigné les Français du sens de la démocratie...

Oui il faut réduire le train de vie de L’État par de vraies réformes et non par les réformettes de M. Macron.

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28/12/2018

Ca circule sur le net et qui peut le contester?

Cher monsieur le tribunal,

J'ai pris connaissance, il y a quelques jours, de votre décision d'interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.

Quelle mouche vous a donc piqué ?

 Vous avez fait des études, je suppose.. Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin " Natalis" qui veut dire Naissance. Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous. La naissance dont il est question est celle d'un certain Jésus de Nazareth né il y a un peu plus de 2000 ans. je dis ça parce qu'étant donné que vous n'avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noel n'est pas l'anniversaire de la naissance du Père Noël ( je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous ) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l'andouillette tout en interdisant la consommation d'andouillette le jour de la fête de l'andouillette.

La crèche c'est ce qu'on appelle une tradition. Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n'est parce qu'il est le fruit d'une tradition ?

Vous êtes un briseur de rêves, Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens. La crèche c'est Noël et Noël c'est la crèche. La crèche c'est aussi l'histoire d'une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C'est un signe d'espoir pour tous les sans logement. La crèche c'est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C'est un signe d'espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations et de conflit au Moyen Orient. La crèche c'est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez vous beaucoup d'agriculteurs qui rigolent en cette période de crise? La crèche c'est un bœuf, symbole de la condition laborieuse de l'homme. Enfin, la crèche, c'est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en 2013 pour rejoindre le Tribunal administratif de Nantes et ne semble pas en être revenu.

Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur le Tribunal, à l'expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël.

Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : noël

15/12/2018

Ca traîne sur le net et c'est bien écrit...

Monsieur le Président,

  La vanité rend aveugle et sourd.

  Eussiez-vous un QI XXXL, la vanité anéantirait les capacités de vos neurones.

  Mais bien sûr, vous n’êtes pas concerné.

  Quand on accepte le sobriquet de Jupiter, on se sent planer au-dessus du vulgum pécus, d’autant que Jupiter est le dieu romain le plus puissant du panthéon. Mais Jupiter est aussi, à 95 %, formé de gaz.

C’est dire qu’il n’a quasiment aucune consistance.

 Et c’est bien ce à quoi vous nous avez confrontés, en proclamant sans cesse, avec une autorité jupitérienne, tout et son contraire, ou en traitant un jour avec morgue, du bas de votre grandeur, le chef suprême des Armées de France, ou en abreuvant quasi chaque jour le peuple français, du haut de votre humilité tartufienne, de mesures indigestes et irrationnelles, jusqu’au paroxysme de l’insupportable.

 Le navire France sous le contrôle de Jupiter devient un bateau qui tourne sur lui-même quand les vents sont contraires.

 ENTENDEZ-VOUS, DANS NOS CAMPAGNES, LE BRUIT DES MULTIPLES MOUTONS ENRAGÉS ?

Oh oui, vous l’entendez, mais vous n’en avez cure !

Vous croyez encore et toujours pouvoir tout contrôler alors que tout vous échappe, et - on le voit - la panique commence à s’emparer de l’Elysée.

 Si vous n’étiez pas Jupiter, cette usine à gaz, vous comprendriez qu’une étincelle suffit désormais pour embraser une France en colère.

 J’étais dans les premiers rangs des manifs de mai 68 alors que vous n’étiez même pas né, je sais comment ce pays peut sortir en un instant de son endormissement, qui n’est qu’apparent malgré les doses gargantuesques de soporifiques que ses médias lui font absorber chaque jour.

 Si vous n’étiez pas jupitérien, vous auriez sans doute la décence, le bon sens et l’intelligence de descendre de votre trône, et de démissionner avant qu’il ne soit trop tard, pour laisser à ce pays une chance de respirer et de se redresser.

 Je suis chrétienne, j’ai 77 ans, je devrais faire partie de la majorité silencieuse parce que censée être de date périmée. Mais voilà, je suis une Française en colère.

 En colère car vous saccagez mon pays, un pays que j’aime, tandis que vous en piétinez les racines et les valeurs, et que vous prenez le peuple français pour un troupeau de moutons bons à tondre, et qui ne sait que bêler bêtement, ou pleurnicher.

 Vous ne connaissez ni la France, ni les Français. Quand on les tond de trop près, jusqu’à leur arracher la peau, ils sont capables, en une minute, de se transformer en taureaux furieux qui chargent en renversant tout sur leur passage.

 Monsieur le Président Macron, je le sens, je le sais, si vous persistez à vous accrocher à un trône qui ne vous appartient pas et dont vous vous êtes emparé à coup de coups fourrés, ce sont des milliers de Français qui pourraient périr dans la guerre la plus cruelle et la plus horrible qui soit : la guerre civile.

  Vous avez bien piétiné l‘armée : elle ne vous suivra pas, d’autant plus que vous lui avez ôté les moyens de défendre la France (vos prédécesseurs avaient déjà bien entamé cette tâche) et que vous l’avez insultée.

  La police ?  Elle ne vous suivra pas : elle est excédée des ordres et contre-ordres de la Gauche depuis des décennies, excédée d’être privée de moyens logistiques, excédée d’être enrayée dans ses capacités d’action par une réglementation si tordue que souvent c’est le policier qui est intervenu contre un délinquant dangereux que l’on sanctionne, tandis que le criminel est relaxé.

Elle est excédée de servir de chair à canon à la racaille que vous chérissez tellement que vous en venez à la serrer dans vos bras avec des yeux enamourés quand même ses ressortissants vous font un "doigt d’honneur".

 La racaille des banlieues pour vous défendre ? Elle est passée maîtresse dans l’art de se servir de votre "humanisme" candide pour tout vous soutirer - vos prédécesseurs les ont déjà bien conditionnés.

 L’immigration islamique que vous dorlotez au détriment des Français, parce qu’elle représente un électorat potentiel et une "population de remplacement" ? Elle vous considère, tout comme n’importe quel Français, comme un fétu de paille à balayer, pour pouvoir instaurer ses lois, ses coutumes barbares, sa religion moyenâgeuse, ses restrictions alimentaires, son sexisme, son racisme, sa polygamie, et tous les autres préceptes anti démocratiques de la charia et des hadiths.

 Je pourrais continuer longtemps, mais je ne veux pas que cela ressemble à un réquisitoire.

Je veux juste vous adresser une supplique :

 Monsieur le Président Macron, par amour de la France, je vous en conjure, partez !

 C’est une vieille Française qui vous parle, une vieille Française contrainte de conduire pour survivre puisqu’elle est en rase campagne et qu’il faut bien aller chercher son pain quotidiennement, une vieille Française dont le fuel dont elle se chauffe a augmenté de 40% en quelques mois, et qui subit une csg en courant ascensionnel perpétuel, tandis que sa retraite plane désespérément au-dessous du seuil de survie.

 Pourtant, ce n’est pas pour moi que je suis en colère, je suis en colère pour ce que vous faites à la France, pour le seul profit d’une caste avide et méprisante, et pour la plus grande satisfaction de hordes d’envahisseurs dont une grande partie est composée de malfaisants et de terroristes.

   J’ai mal à la France, SVP, PARTEZ  

13/12/2018

Ou en sont Les Républicains dans le 10e ?

LE PARTI LES RÉPUBLICAINS N'A PLUS AUCUN ÉLU DANS LE 10E ARRONDISSEMENT.

A la demande d'un certain nombre d'amis d'AGIR POUR LE 10E, voici l'état des lieux pour l'ex-UMP dans notre arrondissement :

DEPUTES : 0

CONSEILLERS DE PARIS : 0 (la seule élue, Déborah Pawlik a rejoint en octobre 2018 LA REPUBLIQUE EN MARCHE)

CONSEILLERS D'ARRONDISSEMENT : 0 (après la démission de Martine CERDAN et le décès de Frédéric BOUSCARLE en mai de cette année).

DELEGUE D'ARRONDISSEMENT (ce qui était du temps de l'UMP, délégué de circonscription) : Laurent de MONNERON, cadre de banque

MEMBRES DU COMITE D'ARRONDISSEMENT (ex comité de circonscription) : outre Laurent de MONNERON, Jacky MAJDA (au titre des nouveaux adhérents, exUDI et ex-MODEM)

25/11/2018

Deux façons de parler des gilets jaunes...

La presse : violente explosion sur les Champs, un journaliste agressé, des blessés, une avenue à nettoyer, des vitrines brisées...

La réalité : malgré le froid et la pluie, malgré les mises en garde et la diabolisation par M. Castaner et son parti LaREM, malgré les interpellations et les condamnations, malgré la présence de casseurs, de courageux citoyens ont manifesté leur mécontentement de la politique de M. Macron et de ses sbires.

23/11/2018

Place de la République le 9 décembre à 10h !

Loi 1905.png

Un étrange communiqué du ministre de l'intérieur...

Étrange communiqué du ministre de l'intérieur qui indique que "la réponse judiciaire sera intraitable". C'est donc le ministre de l'intérieur qui préjuge des jugements des magistrats? :

Castaner.jpg

19/11/2018

Le n'importe quoi écologique de la Maire de Paris...

RESPIRER
 
(Anne Hidalgo ; Editions de l’Observatoire ; septembre 2018)
 
 
Sous ce titre presque médical la maire de Paris expose le « premier des grands défis de la Ville de Paris » : permettre aux Parisiens de mieux respirer. L’intention paraît bonne.  « Nous respirons chaque jour les particules fines que rejettent les moteurs diesel » affirme-t-elle.
 
 Sous un tel titre, on pourrait s’attendre à ce que l’ancienne inspectrice du travail fournisse des détails techniques et juridiques : la façon dont les particules fines entrent dans les voies respiratoires et le sang, des statistiques sur les maladies engendrées, les différentes normes édictées par l’Union européenne et l’Organisation mondiale de la Santé, l’application de ces normes, les moyens permettant de les respecter, etc.
 
 Il n’en est rien. Anne Hidalgo ignore ces détails. Elle ignore que depuis le 1er janvier 2011 toutes les voitures diesel vendues en France sont munies d’un filtre à particules. Si bien que ces voitures n’émettent pas plus de particules fines que les voitures à essence, et même huit fois moins que les voitures à essence à injection directe.
 
 Elle souhaite que les automobilistes prennent le métro, mais ignore que l’air du métro contient beaucoup plus de particules fines que l’air extérieur. « Ces particules proviennent notamment du freinage, des frictions entre les roues et les rails, et entre les rames et les installations électriques. Le 4 juillet, un pic à 438 microgrammes (µg) de particules fines par mètre cube d’air a été relevé entre 19 heures et 20 heures, selon les données du réseau Squales de la RATP. Or, à l’extérieur, au même moment, la pollution n’atteignait que 27 µg/m3 de particules dites PM10, selon Airparif. Soit 16 fois moins » (Libération du 18/9/2017).
 
Anne Hidalgo n’entre pas dans les détails car elle mène un combat idéologique : contre « la dégradation aveugle d’un déferlement motorisé » et pour « le primat de la santé publique sur les intérêts privés ».
 
Sa cible est la voiture diesel, les constructeurs de ces voitures et les automobilistes qui les utilisent. « La prochaine libération, c’est se libérer de la voiture elle-même ». Elle va plaider devant la Cour de justice européenne pour renforcer les normes d‘émissions européennes.
 
 Et surtout elle défend la politique menée à Paris : piétonisation des voies sur berges, Vélib, Autolib.
 
Elle va jusqu’à écrire que les voies sur berge sont « devenues le moyen le plus rapide de traverser Paris ! A pied, à vélo, à roller, à trottinette et tout autre moyen de circulation doux ». Les faits ne comptent pas. Comme l’a montré le rapport de novembre 2017 du « Comité régional de suivi et d’évaluation des impacts de la piétonisation des voies sur berge rive droite à Paris », il y a eu sur les quais hauts de la Seine une hausse moyenne de 67 % du trafic le matin et 30 % le soirles temps de parcours sur les quais hauts le soir ont augmenté de 65 %,  les reports de circulation sont allés jusqu’au boulevard périphérique et même au-delà puisque par exemple les temps de trajet sur l’itinéraire Boulogne – Charenton ont augmenté de 40 %,  les temps de parcours des bus ont augmenté et « le niveau de concentration de dioxyde d’azote a augmenté à la sortie de la section concernée par le projet (quartier Henri IV notamment : + 5 % à + 10 %) et le long des axes de report (+ 1 % à + 5 %) ». Anne Hidalgo ignore l’augmentation de la pollution que sa politique a causée.
 
Pour elle, l’essentiel est ailleurs.  A plusieurs reprises, elle exprime sa fierté d’être présidente de Cities 40, « qui réunit les maires des plus grandes villes du monde, représentant 600 millions d’individus ».  Elle veut montrer à ses collègues que « Paris se doit d’être différent pour ouvrir de nouvelles voies », que « Paris est pionnière dans la manière de vivre la ville autrement », que « Paris joue un rôle de moteur dans la mise en réseau des « villes-refuges » européennes », que « les Parisiens sont la conscience de la grandeur de l’humanité » ! 
 
Toute à son rêve de modèle mondial, elle néglige ses échecs, non seulement la piétonisation des voies sur berge, mais aussi Vélib, Autolib, les campements insalubres de réfugiés, l’insécurité, la prolifération des rats, la saleté de Paris, les travaux inutiles ou interminables freinant la circulation, les finances dégradées.
 
Elle reconnait cependant son erreur sur Vélib : « Je suis désolée. Nous sommes désolés.  Je demande aux Parisiens de nous pardonner cette erreur que nous avons commise ».
 
Pour Autolib, elle rejette la responsabilité de l’échec sur le groupe Bolloré, qui a demandé l’application du contrat signé en 2001, époque où Anne Hidalgo était première adjointe. Ce contrat prévoyait qu’en cas de pertes, celles-ci étaient limitées à 60 millions d’euros pour le groupe Bolloré, le reste étant à la charge des 97 communes. Or la perte prévue est de 235 millions d’euros, dont 55 % pour la ville de Paris. Comme si elle n’avait pas approuvé le contrat, Anne Hidalgo s’en offusque : « je refuse le risque financier pour les Parisiens ». C’est un peu tard pour le regretter. Certes dans son livre elle cherche maintenant un prétexte pour ne pas appliquer le contrat : « Ce contrat supposait une exécution normale de leurs obligations par les deux parties ». Or « le service s’est peu à peu dégradé : bornes de recharge en maintenance, véhicules sales, réservations annulées au dernier moment, stations pleines ou stations vides ». Le groupe Bolloré présentera surement des contre-arguments. La justice tranchera un jour. Mais on peut douter que les juges suivent l’argumentation tardive et tendancieuse d’Anne Hidalgo.
 
Quant aux campements de migrants, « la Ville de Paris a consacré 30 Millions d’euros à la prise en charge des migrants, bien au-delà de ses compétences obligatoires ». Elle reconnaît que ces campements sont insalubres. Et pourtant elle veut en ériger d’autres.
 
Elle nous fait part de nouveaux rêves de grandeur : « Briser ce périphérique hérité de l’âge de la voiture-reine » ; « rendre les transports en commun gratuits » ; une « ferme urbaine ». On est en plein délire.
 
Faire mieux respirer les Parisiens : l’intention était bonne. Mais l’enfer n’est-il pas pavé de bonnes intentions ? Une politique doit-elle être jugée sur ses intentions, ou sur ses résultats ? Et quand les résultats sont mauvais, ne faut-il pas l’arrêter ?