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22/07/2014

La justice ne doit pas être exemplaire, elle doit être juste...

Savez-vous qu'une femme a été condamnée 9 mois de prison ferme et 50 000 euros d'amende avant-hier pour avoir comparé Christiane Taubira à un singe ?

Évidemment, cette femme devait être condamnée pour cette comparaison douteuse et indigne.

Le problème est que, en temps normal, pour être condamné à 9 mois ferme, il faut :

  -   forcer un barrage et blesser sept policiers (Ouest-France, 1er juillet 2014),

  -   tabasser sa femme jusqu'à lui briser les côtes et agresser un unijambiste à l'aide d'une massue à pics (L'Observateur du Valenciennois, 9 mai 2011),

  -   donner un coup de tête à un cheminot (Le Parisien, 21 janvier 2014),

  -   agresser un chauffeur de bus et un passant (Le Phare dunkerquois, 28 décembre 2012),

  -   attaquer une famille et menacer de mort des policiers sous l'emprise d'alcool et de cannabis, en état de récidive (Ouest-France, 14 février 2013),

  -   tirer des coups de feu sur quelqu'un (L'Observateur du Douaisis, le 29 octobre 2011),

  -   être président local de SOS racisme, militant anti-violence, et défigurer sa compagne à coups de pied au visage, "avec acharnement", jusqu'à lui déchausser quatre dents, lui fracturer le nez, la couvrir de sang des pieds à la tête (la Voix du Nord, le 9 août 2012),

  -   se livrer à une séance de torture raciste sur un étudiant blanc (agression, séquestration, vol) (Metro, 20 juin 2013)1.


Mais, la vérité est pire encore.

Très récemment, le tribunal correctionnel de Verdun a condamné un homme à six mois de prison ferme pour le viol de sa propre fille âgée de moins de trois ans.

Six mois de prison ferme, c'est également la peine infligée à un homme condamné à Nice en janvier dernier pour le viol d'une jeune femme handicapée.

Ces exemples montrent que notre justice n'est pas la même pour tous.

C'est un véritable « deux poids, deux mesures » qui est en place.

21/07/2014

Des émeutes à Barbès !

A la lisière du 10e arrondissement nos concitoyens ont été terriblement choqués de voir des émeutiers  à Barbès attaquer les forces de l'ordre, détruire voitures et mobilier urbain et agresser des bâtiments juifs.

Le gouvernement a eu tout à fait raison de faire preuve de fermeté et d'interdire ces manifestations de voyous.

09/07/2014

L'info-lettre de dominique Dominati

 

Dominati.gif

 

J’ai eu l’occasion à plusieurs reprises d’exprimer que Paris, depuis qu’il y a un maire, est une ville où l’action municipale est de plus en plus déterminante. Les Parisiens sont parmi les électeurs les plus blasés par les vedettes nationales. Ils veulent qu’on s’occupe d’eux et ne souhaitent pas être instrumentalisés pour des ambitions personnelles.

J’ai exposé à ce comité stratégique, les trois raisons qui ont conduit notre formation politique à l’échec.

L’illusion des alliances

La première raison, c’est que nous n’avons pas laissé aux électeurs de droite le choix de la diversité. Nous avons noué une alliance avec nos partenaires dès le premier tour, faisant ainsi illusion et n’ayant plus de marge de progression pour le second tour. Cette stratégie a eu un prix. Malgré le gain du 9ème arrondissement et plusieurs succès à la proportionnelle dans les arrondissements de l’Est Parisien, notre groupe reste à effectif quasi-constant alors que celui de nos alliés est multiplié par deux et celui du MODEM de François BAYROU par six. Anne HIDALGO a fait exactement l’inverse, la même tactique que lors des succès précédents de la gauche, parce qu’elle sait que le Parisien est par nature frondeur et méfiant vis-à-vis de la pensée unique.

L’insuffisance du projet

La seconde raison provient sans doute de notre projet municipal. Il est frappant de constater comment les électeurs parisiens ont assimilé nos propositions lorsqu’elles provenaient des maires d’arrondissement de droite et de conseillers UMP argumentant sur des problématiques de quartier et comment ces mêmes électeurs n’ont pas cru à la crédibilité de notre projet pour Paris. Moins de trois mois après ce scrutin, pas une seule proposition émanant de notre plateforme électorale n’a marqué nos concitoyens. Nous n’avons pas fait de campagne municipale, car nous avons fait une campagne de communication axée uniquement sur la personnalité de notre candidate.

L’échec du vedettariat

C’est la troisième raison de notre échec. Si Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET s’est dépensée sans compter dans ce combat face à Anne HIDALGO, elle n’a pas su convaincre de la sincérité de son engagement envers les Parisiens. La première adjointe de Bertrand DELANOE, qui au bout de deux mandatures, ne pouvait prétendre à revendiquer une influence déterminante dans le faible bilan de la municipalité sortante, n’a jamais été mise en difficulté sur les dossiers parisiens, dans son apparente proximité avec les électeurs (sauf dans le XVe arrondissement) et même sur le plan du charisme nécessaire à une candidature de ce niveau. La plus forte résistance de la gauche a lieu dans le quatorzième arrondissement alors que l’on pouvait penser qu’elle aurait lieu dans des arrondissements plus à gauche. Il n’est pas interdit de faire preuve d’habileté dans la gestion d’une équipe surtout dans un combat difficile. Florence BERTHOUT l’a démontré en sauvant le 5ème arrondissement, trouvant un accord là où Nathalie n’appelait qu’à la défaite. Dans toute la France, la gauche a perdu le soutien de l’électorat populaire et à Paris la droite n’a pas su ou n’a pas voulu le retrouver.

Un Parisien pour le Grand Paris

Ces réflexions peuvent sembler inopportunes et trop proches du scrutin, beaucoup souhaitent que l’on prenne le temps de tirer les conséquences pourtant inéluctables de cette situation. Mais le temps presse, car le gouvernement va proposer au Parlement une nouvelle lecture en octobre du projet de loi sur la métropole du Grand Paris. C’est une nouvelle structure due à l’impulsion que Nicolas SARKOZY avait donné au concept du Grand Paris. La présidence de cet organisme doit aller à un candidat de droite après la débâcle de la gauche en région parisienne. Paris doit être défendu dans ce débat. Nous devons d’urgence désigner une personnalité qui incarne à la fois la confiance des électeurs, la compétence et l’avenir. Je propose que nous envisagions la candidature d’un maire d’arrondissement dans cette instance pour nous représenter, pour que les Parisiens, à droite, aient aussi le sentiment d’être défendus. Il y a urgence.

08/07/2014

Décidemment nous avions raison de penser que l'UMP était dirigée par des gens qui se moquaient des militants.

Chaque jour ou presque on apprend que les dirigeants de l'UMP qui rechignaient à payer le loyer de la permanence du 10e arrondissement et à rembourser les frais du délégué de la circonscription ont dilapidé l'argent des adhérents de toutes les manières imaginables : de PYGMALION à l'affaire du salaire ahurissant d'un collaborateur de Copé...

Décidément ces gens ont fait beaucoup de mal aux idées qu'ils étaient censés défendre.

 

 

Vous avez remarqué ?

Vous avez remarqué que sur le fronton des mairies socialistes et des écoles à Paris la banderole "des papiers pour les sans-papiers" a disparu.

Ce qui était vrai dans l'opposition ne l'est plus quand on arrive aux affaires ?

Si seulement en politique les positions étaient moins polémiques, moins tranchées et plus raisonnables !

Cela est valable aussi bien pour la droite que pour la gauche...

 

01/07/2014

Le 3 juillet : conférence d'Histoire et Vie du 10e

ATTENTION !
nous vous prions de noter la nouvelle adresse mail d’HV10 :hv10@hv10.org 
 
l’adresse mail : hv10@club-internet.fr sera bientôt définitivement close. 
 
HV10 vous rappelle la tenue de sa dernière conférence avant les vacances d’été
 
Les fabricants et les détaillants de jouets dans le 10e
 
par Pascal Pontremoli,
Jeudi 3 juillet à 19h, mairie du 10e , entrée libre
 

Conf jeu