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12/04/2022

On ne peut voter pour celui qui a mis la France en dépôt de bilan depuis 5 ans !

Comme l'a dit Valérie Pécresse :

Emmanuel Macron a exercé le pouvoir de façon solitaire et verticale en affichant un mépris évident pour les corps intermédiaires et les Français.

Notre économie décroche par rapport à nos voisins, nos finances publiques sont au rouge vif, l’insécurité s’aggrave et l’immigration atteint des records. Désormais candidat, Emmanuel Macron promet tout ce qu’il n’a pas fait pendant son mandat. Comment croire qu’il fera dans les cinq prochaines années tout ce qu’il s’est montré incapable de faire depuis cinq ans ?

Sous de nombreux aspects, son bilan apparaît comme un dépôt de bilan. En cinq ans, Emmanuel Macron a dépensé sans compter. Avant même la crise sanitaire, les dépenses publiques augmentaient plus vite que sous le quinquennat de François Hollande. Sans mener la moindre réforme structurelle de l’Etat, Emmanuel Macron a cru pouvoir acheter la paix sociale à coups de chèques à crédit. La dette publique a augmenté deux fois plus vite qu’en Allemagne. Cet argent prétendument magique se payera d’une manière ou d’une autre. Cette montagne de dettes laissée à nos enfants est une faute morale et un danger pour notre souveraineté.

Nos concitoyens étouffent et nos entreprises sont asphyxiées car la France est toujours la championne d’Europe de la pression fiscale et sociale sur les entreprises et les ménages. Les prélèvements obligatoires ont franchi la barre des 1 000 milliards d’euros sous le quinquennat d’Emmanuel Macron. Les retraités en ont été les premières victimes avec la hausse massive de CSG et la désindexation de leurs pensions.

Nos entreprises croulent sous les charges et les normes : le coût de la complexité du Droit en France est évalué à 3 points de PIB. Candidat, Emmanuel Macron se fait le chantre de la réindustrialisation et de la souveraineté. Président, il a laissé la compétitivité des entreprises se dégrader et notre déficit commercial atteindre un record jamais vu en Europe.

Le coût de la vie explose, notamment la facture d’énergie qui a augmenté de plus de 360 euros durant le quinquennat. Nous n’oublions pas qu’avant les crises successives, Emmanuel Macron a commencé son mandat par augmenter massivement les taxes sur le gaz, le fioul, le diesel et l’essence.

Le plus grave angle mort de sa politique fut la sécurité. Emmanuel Macron et son gouvernement n’ont pas su protéger les Français. L’insécurité n’est pas un sentiment, mais une réalité qui nous explose en plein visage. En cinq ans, les violences contre les dépositaires de l’autorité publique ont augmenté de 20 %, les coups et blessures volontaires ont augmenté de plus d’un tiers, les tentatives d’homicide ont augmenté de 40 %… Les sanctions sont trop peu appliquées et la justice, noyée, laisse trop de délinquants dans l’impunité. Candidat, Emmanuel Macron dit vouloir “poursuivre ses investissements sécuritaires”. Président, il n’a construit que 2 000 places de prison sur les 15 000 promises, a osé reprendre à son compte les termes odieux de « violences policières » et a interdit les courtes peines de prison.

Depuis cinq ans, l’immigration atteint des sommets et l’assimilation est en panne. Alors qu’un record de près d’1,3 million de titres de séjour ont été délivrés pendant le quinquennat, Emmanuel Macron a été incapable de faire respecter la loi et de protéger nos frontières : moins d’une décision d’expulsion sur dix est appliquée alors qu’il promettait d’en appliquer 100%. Il a étendu la réunification familiale aux frères et sœurs de réfugiés et n’a rien fait pour endiguer les flux d’immigration légale et illégale. Il ne veut pas voir que cette immigration massive, doublée d’une intégration ratée, fracture notre pays.

Au niveau européen, Emmanuel Macron a multiplié les rêves fédéralistes restés lettre morte : convergence fiscale et sociale, budget autonome de la zone euro, armée européenne… Pire, la souveraineté européenne alimentaire a même reculé, faute d’avoir suffisamment défendu nos agriculteurs à Bruxelles.

Nos campagnes et nos agriculteurs sont confrontés à d’immenses défis dont le gouvernement n’a pas pris la mesure. C’est sous Emmanuel Macron que la France a connu son premier déficit agricole depuis 1945. Son gouvernement a laissé tomber nos agriculteurs alors que nous importons déjà 20% de notre alimentation quotidienne et 40% de nos fruits et légumes.

La crise sanitaire a révélé l’appauvrissement et les failles structurelles de notre système de santé. A coups de mensonges ou de retards sur les masques, les tests et les vaccins, le gouvernement d’Emmanuel Macron a failli. L’accès aux soins a été gravement compromis et jamais les déserts médicaux n’ont été aussi étendus qu’aujourd’hui. Les personnels de santé tiennent à bout de bras un système à bout de souffle.

Dans la droite ligne de François Hollande, Emmanuel Macron a consciencieusement détricoté la politique familiale. Prestation d’accueil du jeune enfant, complément libre choix d’activité, désindexation des allocations familiales… : tous les piliers de notre politique familiale, pourtant admirée dans le monde, ont été rabotés et fragilisés. Conséquence : la natalité s’est effondrée en France.

Enfin, en matière énergétique et environnementale, les revirements incessants, l’inflation législative et les décisions démagogiques sans fondement scientifique auront été la marque de fabrique de la politique d’Emmanuel Macron. Président, il a repris les objectifs absurdes de François Hollande visant à affaiblir notre filière nucléaire historique en dépit de notre souveraineté énergétique. Candidat, il promet l’exact inverse de ce qu’il a fait.

Voilà la réalité du bilan d’Emmanuel Macron qu’il fera tout pour dissimuler. Ce bref livre noir est une contribution au débat démocratique indispensable que nous devons avoir sur ces cinq dernières années et sur les prochaines. Les 10 et 24 avril prochains, se jouera une élection capitale pour notre pays. Les Français auront à choisir s’ils souhaitent que cette politique de l’impuissance publique perdure. Ils auront à se choisir un avenir.

Valérie Pécresse, qui, désormais, apporte son suffrage à M. Macron...

22/03/2022

Le lourd bilan d'Emmanuel Macron

Emmanuel Macron a exercé le pouvoir de façon solitaire et verticale en affichant un mépris évident pour les corps intermédiaires et les Français.

Notre économie décroche par rapport à nos voisins, nos finances publiques sont au rouge vif, l’insécurité s’aggrave et l’immigration atteint des records. Désormais candidat, Emmanuel Macron promet tout ce qu’il n’a pas fait pendant son mandat. Comment croire qu’il fera dans les cinq prochaines années tout ce qu’il s’est montré incapable de faire depuis cinq ans ?

Sous de nombreux aspects, son bilan apparaît comme un dépôt de bilan. En cinq ans, Emmanuel Macron a dépensé sans compter. Avant même la crise sanitaire, les dépenses publiques augmentaient plus vite que sous le quinquennat de François Hollande. Sans mener la moindre réforme structurelle de l’Etat, Emmanuel Macron a cru pouvoir acheter la paix sociale à coups de chèques à crédit. La dette publique a augmenté deux fois plus vite qu’en Allemagne. Cet argent prétendument magique se payera d’une manière ou d’une autre. Cette montagne de dettes laissée à nos enfants est une faute morale et un danger pour notre souveraineté.

Nos concitoyens étouffent et nos entreprises sont asphyxiées car la France est toujours la championne d’Europe de la pression fiscale et sociale sur les entreprises et les ménages. Les prélèvements obligatoires ont franchi la barre des 1 000 milliards d’euros sous le quinquennat d’Emmanuel Macron. Les retraités en ont été les premières victimes avec la hausse massive de CSG et la désindexation de leurs pensions.

Nos entreprises croulent sous les charges et les normes : le coût de la complexité du Droit en France est évalué à 3 points de PIB. Candidat, Emmanuel Macron se fait le chantre de la réindustrialisation et de la souveraineté. Président, il a laissé la compétitivité des entreprises se dégrader et notre déficit commercial atteindre un record jamais vu en Europe.

Le coût de la vie explose, notamment la facture d’énergie qui a augmenté de plus de 360 euros durant le quinquennat. Nous n’oublions pas qu’avant les crises successives, Emmanuel Macron a commencé son mandat par augmenter massivement les taxes sur le gaz, le fioul, le diesel et l’essence.

Le plus grave angle mort de sa politique fut la sécurité. Emmanuel Macron et son gouvernement n’ont pas su protéger les Français. L’insécurité n’est pas un sentiment, mais une réalité qui nous explose en plein visage. En cinq ans, les violences contre les dépositaires de l’autorité publique ont augmenté de 20 %, les coups et blessures volontaires ont augmenté de plus d’un tiers, les tentatives d’homicide ont augmenté de 40 %… Les sanctions sont trop peu appliquées et la justice, noyée, laisse trop de délinquants dans l’impunité. Candidat, Emmanuel Macron dit vouloir “poursuivre ses investissements sécuritaires”. Président, il n’a construit que 2 000 places de prison sur les 15 000 promises, a osé reprendre à son compte les termes odieux de « violences policières » et a interdit les courtes peines de prison.

Depuis cinq ans, l’immigration atteint des sommets et l’assimilation est en panne. Alors qu’un record de près d’1,3 million de titres de séjour ont été délivrés pendant le quinquennat, Emmanuel Macron a été incapable de faire respecter la loi et de protéger nos frontières : moins d’une décision d’expulsion sur dix est appliquée alors qu’il promettait d’en appliquer 100%. Il a étendu la réunification familiale aux frères et sœurs de réfugiés et n’a rien fait pour endiguer les flux d’immigration légale et illégale. Il ne veut pas voir que cette immigration massive, doublée d’une intégration ratée, fracture notre pays.

Au niveau européen, Emmanuel Macron a multiplié les rêves fédéralistes restés lettre morte : convergence fiscale et sociale, budget autonome de la zone euro, armée européenne… Pire, la souveraineté européenne alimentaire a même reculé, faute d’avoir suffisamment défendu nos agriculteurs à Bruxelles.

Nos campagnes et nos agriculteurs sont confrontés à d’immenses défis dont le gouvernement n’a pas pris la mesure. C’est sous Emmanuel Macron que la France a connu son premier déficit agricole depuis 1945. Son gouvernement a laissé tomber nos agriculteurs alors que nous importons déjà 20% de notre alimentation quotidienne et 40% de nos fruits et légumes.

La crise sanitaire a révélé l’appauvrissement et les failles structurelles de notre système de santé. A coups de mensonges ou de retards sur les masques, les tests et les vaccins, le gouvernement d’Emmanuel Macron a failli. L’accès aux soins a été gravement compromis et jamais les déserts médicaux n’ont été aussi étendus qu’aujourd’hui. Les personnels de santé tiennent à bout de bras un système à bout de souffle.

Dans la droite ligne de François Hollande, Emmanuel Macron a consciencieusement détricoté la politique familiale. Prestation d’accueil du jeune enfant, complément libre choix d’activité, désindexation des allocations familiales… : tous les piliers de notre politique familiale, pourtant admirée dans le monde, ont été rabotés et fragilisés. Conséquence : la natalité s’est effondrée en France.

Enfin, en matière énergétique et environnementale, les revirements incessants, l’inflation législative et les décisions démagogiques sans fondement scientifique auront été la marque de fabrique de la politique d’Emmanuel Macron. Président, il a repris les objectifs absurdes de François Hollande visant à affaiblir notre filière nucléaire historique en dépit de notre souveraineté énergétique. Candidat, il promet l’exact inverse de ce qu’il a fait.

Voilà la réalité du bilan d’Emmanuel Macron qu’il fera tout pour dissimuler. Ce bref livre noir est une contribution au débat démocratique indispensable que nous devons avoir sur ces cinq dernières années et sur les prochaines. Les 10 et 24 avril prochains, se jouera une élection capitale pour notre pays. Les Français auront à choisir s’ils souhaitent que cette politique de l’impuissance publique perdure. Ils auront à se choisir un avenir.

25/11/2020

Sortir de l'Absurdistan...

Voici les chiffres en Europe et aux Etats-Unis au 22 novembre 2020 du pourcentage de morts du COVID 19 en fonction du nombre de cas :

Italie : 3,5 %

Espagne : 2,7 %

France : 2,3 %

Etats-Unis : 2,1 %

Allemagne : 1,5 %

Portugal : 1,5 %

Pays-Bas : 1,3 %

Suisse : 1,2 %

Autriche : 1%

Slovaquie : 0,7 %

Il est donc faux de prétendre que c'est partout pareil. Nous sommes bien en Absurdistant, comme chez nos voisins latins...

Un exemple ? : pas plus de 30 fidèles dans une cathédrale...

Pourquoi la France ne fait pas comme la Slovaquie? Certains journalistes à la télévision disent bonnement : "c'est parce que la Slovaquie est un pays plus petit". En quoi est-ce une raison ? Et d'ailleurs, la Slovaquie compte deux fois moins de fonctionnaires rapportée à sa population. On aurait donc pu mobiliser encore plus facilement l'appareil d'Etat pour tester, soigner et confiner sérieusement...

Contrairement à ce qu'a décidé M. Macron, avec l'absurde sort réservé à nos restaurants et cafés, le dé-confinement doit être total et immédiat avec bien sûr des mesures adaptées et contrôlées.

Il ne s'agit plus de choisir entre le sanitaire et l'économie et la santé psychique des Français. Ils 'agit de restaurer d'urgence la liberté, l'égalité et la fraternité...

 

 

16/04/2020

Décidemment, M. Macron cultive son incompétence et son inconséquence

Confiner les vieux?

Quelle idée stupide ! C'est la partie de la population qui a le plus besoin de contacts humains... C'est la partie de la population la plus disponible dans les associations et dans les familles. Qui va garder les petits enfants? Qui va distribuer les colis aux SDF? Qui va les enterrer puisque M. Macron veut les faire mourir à petit feux.

Qui a eu cette idée stupide et non véritablement étayée médicalement? Le fameux Comité Scientifique qui biberonne M. Macron et qui avait dit que les masques n'étaient pas utiles et qu'il était bien de maintenir le premier tour des Municipales...

Vite, se débarrasser de M. Macron et de ses Marcheurs...

01/04/2020

Décidemment, M. Macron cultive son incompétence et son inconséquence

Confiner les vieux?

Quelle idée stupide ! C'est la partie de la population qui a le plus besoin de contacts humains... C'est la partie de la population la plus disponible dans les associations et dans les familles. Qui va garder les petits enfants? Qui va distribuer les colis aux SDF? Qui va les enterrer puisque M. Macron veut les faire mourir à petit feux.

Qui a eu cette idée stupide et non véritablement étayée médicalement? Le fameux Comité Scientifique qui biberonne M. Macron et qui avait dit que les masques n'étaient pas utiles et qu'il était bien de maintenir le premier tour des Municipales...

Vite, se débarrasser de M. Macron et de ses Marcheurs...

02/11/2018

Oui à l'Europe, non à Macron

drapeu européen.pngOui à la construction européenne. Oui au fédéralisme européen. Oui à l'Euro.

Non à M. Macron qui détruit l'Europe par ses initiatives tendant à diviser les Français, comme son désastreux clip anti pédagogique vient de le montrer.

27/08/2018

A quoi bon cotiser pour sa retraite?

A quoi bon cotiser pour sa retraite?

Le gouvernement actuel au prétexte totalement fallacieux d'encourager ceux qui travaillent veut encore ponctionner les retraites.

Ce gouvernement "oublie" que les retraités sont d'anciens travailleurs, voire même encore des travailleurs, qu'ils ont cotisé pour cela et surtout qu'ils contribuent au pouvoir d'achat des actifs de multiples façons : dons, prises en charges diverses, hébergements, héritages, etc...

Le Premier ministre vient de l'annoncer  : les retraites ne seront revalorisées que de 0,3% en 2019 et en 2020, alors que l'inflation pourrait dépasser les 2% chaque année. C'est donc de nouvelles baisses qui sont programmées !

Quand on pense que M. Macron s'était engagé sur le niveau des pensions pendant la durée de son quinquennat...

Monsieur Philippe a annoncé en même temps la FIN DE L'INDEXATION, ce qui signifie qu'elles pourront encore baisser en 2021, 22, 23..., autant qu'il plaira...

De toutes les façons possibles, et notamment par son bulletin de vote, il est logique de s'opposer à cette nouvelle atteinte au pouvoir d'achat des cotisants. Cette nouvelle atteinte vient d'ailleurs s'ajouter à celles de la hausse non compensée de la CSG et au blocage antérieur des retraites.

 

17/07/2018

De fortes paroles de Jean-Louis Debré...

"Vous ne pouvez pas demander aux Français --et il a raison de le demander le président de la République -- de faire des efforts, de faire en sorte que les APL on les diminue, très bien. Et en même temps acheter pour un demi-million de vaisselle pour l'Elysée"

Vous ne pouvez pas vous adresser aux Français en disant 'allez on va réduire un certain nombre de prestations' et en même temps vous faire construire une piscine à Brégançon (lieu de vacances du couple présidentiel),  aucun président de la République ne l'a fait"

Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : macron

23/02/2018

Le gouvernement Macron veut, sans raison, la mort des bilans de compétence privés qui ont pourtant démontré leur utilité !

NON à la disparition des centres de Bilans de Compétences privés !

OUI à un Bilan de Compétences de qualité !

Depuis plus de 4 ans, le Bilan de Compétences, créé par la Loi de 1991 est dans la tourmente : grand oublié de la réforme de la formation de 2014, il n’est redevenu finançable dans le cadre du Compte Personnel de Formation (CPF) que depuis le 1er janvier 2017,  notamment grâce à l’action de l’ASCBC (Association Syndicale des Centres de Bilans de Compétences).

Les années 2015 et 2016 ont donc été extrêmement difficiles pour de nombreux centres de bilans privés et beaucoup ont disparu.

Le COPANEF travaille depuis octobre 2017, sans l’assentiment des centres de bilans, à une refonte du bilan de compétences (2 formats de 16 ou 24 heures, accroissement de la lourdeur administrative, contrôle qualité accru,…) qui va entrainer une baisse drastique du montant de la prise en charge du bilan de compétences par les OPCA et les OPACIF.

Alors que le montant de la prise en charge du bilan n’a pas évolué depuis 25 ans, il serait réduit à 1350 euros pour 16 heures et à 1700 euros pour 24 heures ! Avec un montant qui serait le même pour tous les OPCA et OPACIF.  Alors que le coût moyen d’un Bilan de compétences, notamment en Ile de France est à minima de 1850 euros (charges incompressibles sans aucune marge et paiement des consultants) !

Autant dire qu’à ce tarif-là, les centres de bilans privés disparaîtront ! Et avec eux une certaine idée du Bilan de compétences (qualité, expertise, professionnalisme, proximité, disponibilité, compréhension du marché du travail et des évolutions des métiers).

Au moment où  le Président de la République et son gouvernement travaillent à une nouvelle réforme de la formation professionnelle et mettent en avant la volonté de développer un accompagnement de qualité, l’ASCBC dénonce le risque de disparition des centres de bilans privés qui ne pourront plus assurer leurs charges et seront obligés de licencier leurs consultants. Pour les bénéficiaires du bilan, ce sera un choix restreint de centres de bilans et un bilan de moindre qualité.

L’ASCBC demande donc un montant de financement du Bilan de compétences par les OPCA et OPACIF d’au moins 2000 euros.

L’ASCBC invite donc tous les sympathisants du Bilan de Compétences (centres de bilans, bénéficiaires du bilan de compétences qu’ils soient salariés ou demandeurs d’emplois, entreprises,…) à signer cette pétition et à la diffuser le plus largement possible pour faire pression sur les pouvoirs publics et les partenaires sociaux.

Levallois, le 22 février 2018

ASCBC (Association Syndicale des Centres de Bilans de Compétences)

62 rue Danton, 92300 Levallois.

Mail : ascbc©orange.fr               http://www.ascbc.fr/