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19/02/2009

PLACE DE LA REPUBLIQUE

Pourquoi vouloir absolument faire des travaux place de la République ? C'est la 1ère question à se poser. La Municipalité socialiste a la réponse : "le potentiel de la place mérite d'être mieux exploité". Après ça, que dire ? Elle ajoute : "cet aménagement devra être conçu de manière cohérente". On en n'attendait pas moins. Mais on ne sait toujours pas pourquoi il faut "réaménager" cette place. Peut-être pour restreindre encore plus la circulation automobile au débouché de l'aberration urbanistique que représente déjà l'"aménagement" du boulevard de Magenta (+ 14 % de pollution, plus 63 % d'embouteillages). Parmi les contraintes d'aménagement dont il faudra tenir compte, la Municipalité ne mentionne pas du tout la nécessité de fluidifier la circulation automobile et donc tout le traffic nécessaire aux livreurs, dont l'activité va nécessairement augmenter avec le développement des ventes sur le Net, aux professionnels (commerciaux, entrepreneurs, artisans, ambulanciers et autres services d'urgence) et aux simples habitants. Ce qui est une contrainte pour la Municipalité, c'est "le maintien de la statue de la République" (on n'en attendait pas moins) et la nécessité d'"accueillir les grands rassemblements". Bref, faut-il vraiment toucher à cette place ? faut-il vraiment augmenter encore nos impôts pour des travaux dont la nécessité n'a pas été démontrée ?

15/02/2009

DESINFORMATION...

Dans les Infos du 10ème, journal édité par la Mairie du 10ème (cf archives du blog), le Maire affirme que le nombre d'habitants dans l'arrondissement est passé de 1999 à 2006, de 90 400 à 92 600. Il croit pouvoir ainsi faire le commentaire suivant : "Ce mouvement est positif, il témoigne de l'attractivité et du dynamisme du 10ème." Voilà un bel exemple de désinformation. Reprenons les chiffres officiels de l'INSEE. On constate d'abord que les éléments de comparaison sont faussés. Ainsi, si on compare 1990 et 1999, la population a diminué de 0,06 %. Et si on compare 2006 et 2008 (dernières estimations INSEE faites à partir des recensements de l'année passée et qui seront validés en juillet 2009), on constate que la population a, au contraire diminuée de 1%, soit 88 800 habitants. Ensuite, l'INSEE rappelle qu'il ne faut pas comparer les chiffres de 2006 et suivants avec les années antérieures car les bases statistiques ont changé : en 1999, on évaluait la population municipale, tandis qu'à partir de 2006, on évalue la population légale (avec notamment les étudiants qui ne résident pas  dans l'arrondissement, par exemple). Enfin, le Maire serait avisé de comparer les évoluations de la population active. On verrait ainsi que celle-ci a bien diminué, entre 1999 et 2006 dans l'arrondissement, ce qui n'est pas un signe de "dynamisme").

11/02/2009

SOUTENEZ LE PROJET D'IMPLANTATION DE LA FEDERATION DANS LE Xème !

SOUTENEZ LE PROJET D'IMPLANTATION DE LA FEDERATION DANS LE Xème !

Pour l’installation du siège de la fédération dans le Xème arrondissement


Si vous soutenez cette initiative : faites le savoir à ump10eme@yahoo.fr...


Avec 25.000 adhérents début 2009, la fédération UMP de Paris est la première fédération UMP française. Philippe Goujon, réélu triomphalement (78,10 % des voix) à sa tête le 17 décembre 2008 a délibérément placé son action sous le signe de la (re)conquête de Paris. Pour à nouveau regagner le cœur des parisien, c’est au plus prêt des habitants que le la cheville ouvrière du parti, ses militants, devront agir, sous l’étendard de l’unité, de l’authenticité et de la proximité. C’est pourquoi nous avons besoin d’un véritable quartier général dédié à la reconquête du Paris perdu, celui de l’Est parisien, délaissé à la fois par l’UMP parisienne, mais également ignoré par la gauche bohème de Bertrand Delanoë.

Le Xème arrondissement, du fait de son histoire, de sa population, et de sa position au cœur du Paris populaire doit accueillir la nouvelle force militante de l’UMP.

Le Xème, lieu de la reconquête de Paris

La carte électorale de Paris parle d’elle-même, le Xème arrondissement est au centre des arrondissements pris par la gauche aux dernières élections municipales. Le IXème à l’ouest, le XVIIème au nord, le XIXème à l’est et le Xème au sud. Cet arrondissement est au cœur du Paris perdu par la droite. Faire de l’arrondissement le siège de l’UMP Paris sera donc un symbole fort. Pas besoin d’une permanence dans les quartiers huppés acquis à la droite ou dans le centre de Paris, clientèle bobo de Delanoë : il faut en effet reconquérir le cœur du Paris populaire, celui des classes moyennes et travailleuses, qui demandent autre chose que des vélib ou une simili-plage, mais un Paris dynamique, où l’on peut à la fois vivre, travailler, se divertir en toute tranquillité. Installer la permanence au nez du parti communiste, qui abandonne ses bâtiments parisiens de la rue LaFayette, montrera que c’est la droite de la majorité présidentielle qui incarne l’avenir des populations modestes et moyennes, contrairement aux vieilles lunes de la gauche révolutionnaire.

Le Xème, une base logistique au cœur du Paris délaissé

Carrefour des gares du Nord et de l’Est, totalisant à elles deux plus de voyageurs par jour que toutes les autres gares ferroviaires d’Europe. A une station de RER de la gare Saint-Lazare, plus grande gare d’Europe, le Xème arrondissement est un nœud de communication ouvert à la fois sur la région Ile-de-France, la France et l’Europe.

Il est au cœur des quartiers les plus défavorisés, là où l’action de l’UMP doit être audacieuse. Installer le quartier de la reconquête là où les efforts doivent être concentrés, voilà le choix qu’il faut faire. Centraliser et regrouper les moyens, en bénéficiant à la fois d’un loyer modéré, mais d’une accessibilité forte permettra de transformer l’action des militants parisien sur le terrain. S’installer au cœur du Xème arrondissement, c’est se donner les moyens d’agir efficacement et visiblement à Paris.

Le Xème, un symbole de victoire électorale de la droite

Tout le monde se souvient du Tapis Rouge, QG de la campagne victorieuse de Jacques Chirac à la présidentielle en 2002, et plus récemment, de la rue d’Enghien, d’où fut pilotée la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Ces deux quartiers généraux, rassemblant les équipes des candidats de la droite, étaient situé en plein cœur du Xème arrondissement. Ce n’est pas un hasard si cet arrondissement a, par deux fois, été choisi. Le Xème arrondissement a toujours porté chance à la droite, car il est le poumon du Paris véritable, carrefour de tous les Français, qu’ils soient pauvres ou riches, de familles récemment immigrées ou aux origines enracinées dans les provinces françaises.

 

Avec 25.000 adhérents début 2009, la fédération UMP de Paris est la première fédération UMP française. Philippe Goujon, réélu triomphalement (78,10 % des voix) à sa tête le 17 décembre 2008 a délibérément placé son action sous le signe de la (re)conquête de Paris. Pour à nouveau regagner le cœur des parisien, c’est au plus prêt des habitants que le la cheville ouvrière du parti, ses militants, devront agir, sous l’étendard de l’unité, de l’authenticité et de la proximité. C’est pourquoi nous avons besoin d’un véritable quartier général dédié à la reconquête du Paris perdu, celui de l’Est parisien, délaissé à la fois par l’UMP parisienne, mais également ignoré par la gauche bohème de Bertrand Delanoë.

 

Le Xème arrondissement, du fait de son histoire, de sa population, et de sa position au cœur du Paris populaire doit accueillir la nouvelle force militante de l’UMP.

 

Le Xème, lieu de la reconquête de Paris

 

La carte électorale de Paris parle d’elle-même, le Xème arrondissement est au centre des arrondissements pris par la gauche aux dernières élections municipales. Le IXème à l’ouest, le XVIIème au nord, le XIXème à l’est et le Xème au sud. Cet arrondissement est au cœur du Paris perdu par la droite. Faire de l’arrondissement le siège de l’UMP Paris sera donc un symbole fort. Pas besoin d’une permanence dans les quartiers huppés acquis à la droite ou dans le centre de Paris, clientèle bobo de Delanoë : il faut en effet reconquérir le cœur du Paris populaire, celui des classes moyennes et travailleuses, qui demandent autre chose que des vélib ou une simili-plage, mais un Paris dynamique, où l’on peut à la fois vivre, travailler, se divertir en toute tranquillité. Installer la permanence au nez du parti communiste, qui abandonne ses bâtiments parisiens de la rue LaFayette, montrera que c’est la droite de la majorité présidentielle qui incarne l’avenir des populations modestes et moyennes, contrairement aux vieilles lunes de la gauche révolutionnaire.

 

Le Xème, une base logistique au cœur du Paris délaissé

 

Carrefour des gares du Nord et de l’Est, totalisant à elles deux plus de voyageurs par jour que toutes les autres gares ferroviaires d’Europe. A une station de RER de la gare Saint-Lazare, plus grande gare d’Europe, le Xème arrondissement est un nœud de communication ouvert à la fois sur la région Ile-de-France, la France et l’Europe.

 

Il est au cœur des quartiers les plus défavorisés, là où l’action de l’UMP doit être audacieuse. Installer le quartier de la reconquête là où les efforts doivent être concentrés, voilà le choix qu’il faut faire. Centraliser et regrouper les moyens, en bénéficiant à la fois d’un loyer modéré, mais d’une accessibilité forte permettra de transformer l’action des militants parisien sur le terrain. S’installer au cœur du Xème arrondissement, c’est se donner les moyens d’agir efficacement et visiblement à Paris.

 

Le Xème, un symbole de victoire électorale de la droite

 

Tout le monde se souvient du Tapis Rouge, QG de la campagne victorieuse de Jacques Chirac à la présidentielle en 2002, et plus récemment, de la rue d’Enghien, d’où fut pilotée la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Ces deux quartiers généraux, rassemblant les équipes des candidats de la droite, étaient situé en plein cœur du Xème arrondissement. Ce n’est pas un hasard si cet arrondissement a, par deux fois, été choisi. Le Xème arrondissement a toujours porté chance à la droite, car il est le poumon du Paris véritable, carrefour de tous les Français, qu’ils soient pauvres ou riches, de familles récemment immigrées ou aux origines enracinées dans les provinces françaises.

Soutenez le projet "LA FEDERATION PARISIENNE DE L'UMP DANS LE 10 EME" : ump10eme@yahoo.fr

 

10/02/2009

Communiqué des Jeunes Populaires

Les Jeunes Populaires du 12ème ardt ont distribué ce week-end le tract suivant. Méditons son contenu...

Relance : agir vite pour être efficace
26 millards, 45 mesures, 1 000 projets de relance, 10,5 milliards d'euros d'investissements pour les
équipements publics : 4 milliards d'investissements publics ; 4milliards pour les entreprises publiques ; 2,5 milliards pour les collectivités
locales. 11,5 milliards pour aider entreprises à rembourser leurs dettes (crédit impôt recherche et TVA). Les nouvelles embauches des petites entreprises de moins de 10 salariés seront exonérées de cotisations sociales jusqu'à 1,6 fois le smic .
Automobile : une « prime à la casse » de 1.000 euros.
340 millions pour construire 100.000 logements sociaux, plus
l'achat à un prix décoté 30 000 logements par les bailleurs sociaux.
Doublement du prêt à taux zéro pour l'achat d'un
logement neuf.
Le paquet fiscal, une cadeau aux riches ? C'est faux.
Grâce au bouclier fiscal, le gouvernement a relancé le pouvoir
d’achat : détaxe des heures supplémentaires, relance du travail
étudiant, versement déblocage anticipé... Le bouclier fiscal
bénéficie aux classes moyennes.
10 milliards de cadeau aux banques ? : C'est faux.
Cette aide a permis aux banques touchées par la crise
mondiale de maintenir leur activité et de ne pas ruiner les
épargnants ! Ce prêt, qui rapportera à l'Etat 850 millions fin
2009 sécurise l’épargne des particuliers et le financement
des entreprises.
Il aurait mieux valu augmenter les salaires plutôt que
d’investir ? C'est faux.
Cette mesure relancerait la consommation... des produits
fabriqués à l’étranger. Elle favoriserait, à moyen terme, les
délocalisations, au détriment des entreprises, de l'emploi et
donc, à terme, de nos salaires.
Le plan de relance vise à moderniser la France ? C'est vrai.
Il permet de moderniser l'université, la recherche, d'entretenir
les routes, les voies fluviales et ferroviaires, de construire le
canal Seine-Nord Europe et quatre lignes de TGV.
Le plan de relance, une aide aux investissements pour les emplois de demain

02/02/2009

Communiqué jeunes Actifs

Les Jeunes Actifs (30/40 ans et actifs) du 10ème se proposent d'organiser un dîner le mercredi 11 février à 20h30 en présence des responsables Jeunes Actifs de Paris : Alexandre Bouchy et Laurence Thouin. Contact : A. Chapron 06 14 53 26 82 http://japaris10.hautetfort.com/ le lieu du dîner est :

La Petite Louise
54 rue du Château d'eau
75010 Paris
(En face de la Mairie)

 

31/01/2009

Samedi 31 janvier

Philippe GOUJON, Député-maire du XVe, Président de la Fédération de Paris, débattra avec Elisabeth GUIGOU (PS) sur FRANCE 3 ce samedi 31 janvier 2009 à 23h10.

29/01/2009

Tout sur la loi sur le service minimum

GREVES...

Une loi contre les grèves abusives dans les transports
Le service minimum voulu par la majorité présidentielle est rendu inapplicable par un comportement irresponsable de certains syndicats multipliant les grèves de 59 minutes ne donnant lieu à aucune retenue de salaire. Ce système permet de mettre en place des « mouvements sociaux » (doux euphémisme pour ne pas dire blocage du pays) de longue durée minimisant le coût pour les gréviste qui peuvent aller et venir librement dans le mouvement de grève pour des durées inférieures à une heure. Ceci désorganise complètement les transports et ne permet pas d’offrir aux clients un véritable service minimum.

Afin de tenter de rendre plus responsables les syndicats, le sénateur UMP du Val d’Oise Hugues Portelli, Sénateur UMP du Val d’Oise présente une proposition de loi visant à régulariser cette faille. L’article unique est ainsi rédigé :
Article unique
L’article 10 de la loi du 21 août 2007 est complété par un alinéa ainsi rédigé :
L’absence de service fait, résultant d’une cessation concertée du travail, donne lieu, pour chaque semaine :
lorsqu’elle n’excède pas une heure, à une retenue égale à un cent soixantième du traitement mensuel ;
lorsqu’elle dépasse une heure, sans excéder une demi-journée, à une retenue égale à un cinquantième du traitement mensuel ;
lorsqu’elle dépasse une demi-journée sans excéder une journée, à une retenue égale à un trentième du traitement mensuel.
lorsqu’elle dépasse une journée, à une retenue égale à un trentième du traitement mensuel multipliée par le nombre de jours totalement ou partiellement non travaillés.
Nous saluons cette initiative qui a le mérite de tenter de rendre opérable le service minimum.
Mais ne conviendrait-il pas de s’inspirer de tous les pays européens et d’apporter des modifications substantielles au droit de grève pour les salariés du secteur public ? Une solution simple serait d’augmenter la pénalisation financière de la grève. Comme le rappelle Bertrand Nouel, expert de l’iFRAP, il existe dans la fonction publique d’Etat une règle dite du « trentième indivisible » selon laquelle toute grève donne lieu à une retenue de salaire d’une journée entière. Elargissons cette règle à l’ensemble de la fonction publique.

24/01/2009

A PROPOS DE LA GALETTE

 

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Nous étions plus nombreux que prévu à cette Galette du samedi 24 janvier: pas moins de 69 participants. Ce qui constitue un exploit si on tient compte des conditions de préparation de celle-ci. Parmi les présents, nous avons été heureux d'accueillir, notamment, Lynda Asmani, qui a rappelé qu'elle se tenait, en qualité de Conseillère de Paris, à la disposition des adhérents, ainsi que l'ancien délégué de circonscription, Cyprien laurelli et l'ancienne tête de liste, Bernard Queysson. Nous avons aussi accueilli avec plaisir le Président de la Fédération de Paris de l'UMP, Philippe Goujon, le Secrétaire fédéral, Jean-Didier Berthault. Tous deux ont fait un compte-rendu du Conseil national qui venait de se terminer et qui a contribué grandement à renforcer la détermination de tous dans notre combat commun pour nos valeurs et contre la gauche dans l'arrondissement. Nous avons aussi salué avec plaisir la venue du délégué de la circonscription voisine du 19ème arrondissement, Jean-Jacques Giannesinni, à la tête d'une petite délégation. Nous avions ainsi avec nous 4 Conseillers de Paris. A titre personnel, j'ai été très heureux de la présence de tous les candidats, élus ou non élus, à nos élections internes : Catherine Kazandjian, Maurice Leblanc, Jean-Marc Vincenti ainsi que d'Anne Combemale, notre déléguée au Conseil national. On peut constater que l'union est désormais faite dans l'arrondissement. Comme l'ont rappelé certains participants, il ne manque à notre bonheur qu'une permanence, mais les dirigeants de la fédération se sont engagées solennellement au cours de la réunion, à ce que notre bonheur soit total (en fait, il ne sera vraiment total que lorsque la droite redeviendra majoritaire dans l'arrondissement...).