28/11/2019
Vite une nouvelle majorité à Paris!
Voici ce qu'ils ont osé écrire :
Les prochains rendez-vous de concertation pour le réaménagement de la place du Colonel Fabien se tiendront :
- le mercredi 20 novembre à 20h pour une marche de nuit (rendez-vous devant le Generator)
L’objectif est d’approfondir des thématiques abordées précédemment dans un contexte plus « nocturne ». Quelles ambiances, quelles activités, quels usages le soir et la nuit place du Colonel Fabien ? Votre expérience, votre diagnostic et vos propositions nourriront les réflexions d’aménagement pour la future place.
- le samedi 30 novembre à 10h00 pour une marche de jour (rendez-vous devant le Generator) pour ceux d’entre vous qui n’ont pu participer à la marche du 3 octobre (même format que le 3/10)
L’objectif est d’identifier collectivement les limites et opportunités de la place aujourd’hui pour définir les orientations d’aménagement pour la future place.
Lors de ces marches exploratoires, vous pourrez partager vos constats et orientation à l’oral et à l’écrit sur un livret participant qui sera traité par les équipes en charge de la concertation.
On croit rêver...
Qu'on laisse cette place tranquille, le jour et la nuit !!!
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23/11/2019
A l'inauguration du PC de campagne de Rachida DATI
Ce samedi 23 novembre, nous avons inauguré le PC de campagne de Rachida DATI, Maire du 7e et candidate à la Mairie de Paris, avec une délégation du 10e arrondissement composée par moitié d'anciens de l'UMP et en présence d'Agnès EVEN, présidente de la fédération de Paris des Républicains, de la Maire du 8e, de Claude GOASGEN et d' 'autres élus de Paris...
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26/09/2019
Les Municipales à Paris...
Des sondages donnent la victoire aux listes qui seront conduites par Mme HIDALGO à Paris en mars 2020 :
- Communistes + socialistes+ radicaux de gauche : 24 %
- La République en Marche avec M. Griveaux : 17 %
- M. Villani : 15 %
- Les Républicains : 14 %
- Europe- Ecologie-Les Verts : 13 %
- AGIR : 5 %
- Aimer-Paris de M. Federbusch + Rassemblement national : 4 %
- Autres : 8 %
La gauche et les écologistes font donc 37 %. Les macronistes 32 %. Les autres 31 %.
Mais il ne faut pas oublier qu’ à Paris, chaque arrondissement constitue un "secteur électoral". Il y a donc en réalité non pas une, mais vingt élections différentes dans la capitale lors des municipales, puisqu'il y a vingt arrondissements. Dans chacun d'eux, les électeurs désignent par leur vote les conseillers municipaux et les conseillers d'arrondissements (qui désignent le maire d'arrondissement). A l'issue du vote, le camp qui dispose de la majorité absolue des sièges au conseil municipal désigne le maire de la capitale. Il faut donc une majorité ou un accord liant au moins 82 élus. Dans les faits, donc, un maire de Paris peut être élu sans être majoritaire en nombre de voix.
le scrutin proportionnel par arrondissement valorise considérablement la liste victorieuse en lui attribuant presque automatiquement les deux tiers des postes. Prenons le cas théorique d'un arrondissement où 16 sièges de conseillers de Paris sont à pourvoir : avec 50% des suffrages + une voix, la liste qui l'emporte décroche 12 sièges, contre seulement 4 pour la liste battue d'un cheveu. Si le système permet de dégager des majorités très nettes dans les arrondissements, il peut aussi présenter un inconvénient majeur à l'échelle de Paris : autoriser l'élection d'un maire minoritaire en voix. Ce fut le cas de Bertrand Delanoë en 2001. Le cumul de voix obtenues par les listes de Philippe Seguin était supérieur à celui des listes de gauche, mais le nombre des conseillers de Paris élus lui était à l'inverse défavorable.
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18/09/2019
A propos de Philippe Goujon, ex UMP, ex Les Républicains
Une lettre envoyée à M. Goujon, ex patron de la Fédération de Paris de l'UMP des élus de son ex parti :
«Lettre ouverte à notre ami Philippe Goujon»
«Élus LR du 15ème arrondissement, nous t’avons jusqu’ici toujours soutenu, dans les nombreux combats que tu as menés, quelles que soient les difficultés. Nous l’avons fait dans l’intérêt de Paris, de notre arrondissement, de nos idées.
Depuis ta défaite aux législatives en 2017, tu sembles ne plus savoir d’où tu viens, ni où tu vas. Tu multiplies les prises de position incohérentes et contradictoires. Tu te dis sans doute que ta longue carrière clairement à droite risque de te faire perdre les prochaines municipales. Alors, pris de panique, tu cherches désespérément une alliance - peu importe l’étiquette, peu importe le candidat! - qui te permettrait de te maintenir, coûte que coûte, à la tête de la mairie.
Tu pousses le reniement jusqu’à mépriser maintenant l’étiquette LR, au point d’abandonner le Groupe LRI, au conseil de Paris comme au Conseil d’arrondissement du 15e, pour rejoindre le groupe 100% Paris de Pierre-Yves Bournazel. Un comble alors que tu as présidé notre Fédération pendant 15 ans. Une insulte pour nos élus et militants alors que notre mouvement traverse une période compliquée. Une manœuvre grossière pour tous les électeurs qui veulent de la clarté, de la constance, et qui se méfient des girouettes.
Par respect pour nos électeurs et par fidélité à nos convictions et à notre parti, nous avons décidé de porter avec fierté le drapeau de la droite républicaine dans le 15e avec une équipe renouvelée. Nous sommes prêts à prendre le relais pour reconstruire la droite et rassembler les électeurs du 15e qui se reconnaissent dans les valeurs de la droite républicaine. Cher Philippe, il est encore temps de te ressaisir et de rejoindre ton camp...
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10/07/2019
Pour qui voter à Paris?
Nous sommes dans un système démocratique...
Contrairement à ce que laissent entendre les médias, nous ne voterons pas en mars 2020 pour un maire mais, dans chaque arrondissement, pour un conseil d'arrondissement et pour des représentants de ce conseil à l'Hôtel de ville. Ce sont ces représentants, les conseillers de Paris, qui choisiront le maire. Lequel maire n'a aucun pouvoir sans l'accord des autres conseillers de Paris!
Nous ne pouvons nous résoudre à devoir choisir uniquement entre les listes de la gauche et celles de la France Insoumise. Nous voterons pour ceux et pour celles qui nous semblent capables de changer entièrement la politique menée à Paris jusqu'à présent.
Quand nous connaitrons nos candidats dans le 10e arrondissement, on en reparlera...
En attendant, relisons cette admirable chronique de Roger-Pol Droit publiée fin juin :
Il n'y a pas si longtemps, on venait vivre en ville parce que c'était mieux qu'à la campagne : plus de confort, de loisirs, de services, de soins… Ces perspectives décidaient des ruraux à s'installer dans les capitales, qu'elles soient régionales ou nationales. C'est toujours le cas, du moins en grande partie. De fait, les grandes villes de France demeurent, dans l'ensemble, agréables à habiter.
Sauf Paris. Le quotidien y a viré à l'enfer. Les malheureux résidents de cette cité, qui fut autrefois Ville Lumière, subissent l'entrelacement de transports publics bondés , de travaux sur la chaussée en nombre démesuré , d'embouteillages interminables, d'une pollution de l'air croissante, d'une insécurité sans précédent de la circulation, mêlant dans le plus anarchique désordre trottinettes, vélos, motos, voitures, bus et piétons… Le tout, en ce moment, par 40° à l'ombre. Evidemment, personne n'est responsable de l'actuel pic de chaleur . Mais la cause de ce chaos urbain est directement politique.
Une gestion délirante et néfaste
Car ce n'est pas un effet du hasard si cette ville joyau est à présent invivable, encombrée, polluée, laide et vulgaire. Il n'y a là aucun effet du destin, aucune nécessité. Rien que des erreurs, des entêtements absurdes, des fantasmes idéologiques, des décisions contre-productives. Bref, une gestion délirante et néfaste. La liste détaillée des bourdes funestes de la maire de Paris au cours de son mandat occuperait plusieurs volumes. Les principaux exemples suffiront.
Il est urgent de purifier l'air de Paris, tout le monde en convient. Or il n'existe pour y parvenir qu'une seule méthode immédiatement efficace : commencer par rendre la circulation automobile la plus fluide possible. C'est le premier pas. Ensuite, on peut s'efforcer de diminuer le trafic, comme l'ont fait Londres ou Rome. A Paris, au contraire, la mairie s'est appliquée à paralyser systématiquement le trafic en bloquant le souterrain du Louvre, en fermant les voies sur berges à la circulation, en multipliant les voies cyclables et les chantiers. Résultat : les temps de trajet doublent, et surtout les taux de pollution augmentent. Est-ce cela qu'on appelle le sens de l'écologie ? Et de la gestion publique ?
La laideur se vit mal
Il est souhaitable de rénover la cité, là aussi tout le monde est d'accord. Pourtant, la multiplication de mobiliers urbains disparates et hétéroclites, la dissémination de nouvelles poubelles hideuses, le remplacement des kiosques à journaux stylés par des cubes de plastique sans grâce ne semblent pas aller dans ce sens. Ni les aménagements pseudo-festifs qui fleurissent un peu partout. Pas question de souhaiter que tout reste identique, mais il faut éviter que tout ne devienne abject.
Parce que cette ville n'est pas un amas de distractions. Elle fut aussi, et peut-être avant tout, un spectacle étonnant et sublime, une esthétique, un univers de détails innombrables et infimes en corrélation. Au lieu de respecter ces traits, d'améliorer le quotidien en tenant compte de leur existence, on les néglige, les détériore, les détruit. Si je tiens à le dire, c'est que je suis né à Paris, que ma mère y était née, et que j'aime ce lieu du monde. Pour en connaître pas mal d'autres, j'ai la faiblesse de croire celui-ci singulier entre tous. Mais fragile, éminemment. Et en péril, à présent.
Il faudrait appeler à la rescousse François Villon et Clément Marot, Rabelais et Montaigne, Balzac et Hugo, Benjamin et Aragon, et tant d'autres, tous amoureux de Paris, tous piétons, tous poètes et paroliers. Qu'ils empêchent, si possible, la ville de n'être plus que l'ombre d'elle-même, et d'étouffer de mille manières. Certes, les meurtres d'âme ne figurent pas au Code pénal, mais il est urgent de délivrer Paris des forces qui la minent , et de commencer à la réparer, avec l'allégresse qu'elle mérite.
Si ce n'était pas le cas, la grande kermesse olympique qui s'annonce devrait s'agrémenter d'épreuves inédites. On inaugurerait le slalom géant en trottinette électrique, le marathon immobile sans respiration, la compétition d'extase à Paris-plage. On tenterait de battre le record de la piste cyclable la plus longue et la moins fréquentée. On se vanterait de cent mérites et de mille vertus. Et l'on remporterait la médaille d'or du pire. Avant cela, s'il est encore temps, mieux vaudrait se souvenir de ce que Pierre de Coubertin n'a pas dit : en matière d'enfer, d'étouffement et de chaos, l'important est de ne pas participer.
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07/06/2019
Une mesure déplorable de M. Macron et de Mme Hidalgo
Encore une mesure démagogique qui va restreindre les possibilités de se loger à Paris.
Le stupide encadrement des loyers fera son retour à Paris le 1er juillet 2019. Un arrêté signé le 28 mai 2019 par le préfet de la région d’Ile-de-France fixe les prix des locations des appartements applicables à Paris, avec, pour chacun, un loyer minoré, un loyer de référence et un loyer majoré. Déterminés selon le nombre de pièces et la période de construction de l’immeuble, ces tarifs ont été établis pour les logements nus et meublés, par l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne (Olap).
En pratique, dès lors qu’il signe un nouveau bail, le propriétaire doit respecter ce barème officiel : le loyer ne doit pas être supérieur de 20 % à celui dit « de référence ». Une carte interactive a été mise en ligne sur le site de la préfecture de la région Île-de-France pour connaître les loyers à appliquer. Le propriétaire qui ne respecte pas ces montants encourt jusqu’à 5 000 € d'amende, voire 15 000 € s’il s’agit d’une personne morale.
La grogne des propriétaires
Suite à la publication du nouvel arrêté préfectoral, le Président de l’Union nationale des propriétaires immobiliers a déjà indiqué que l’association saisira la Justice pour demander l’annulation du dispositif qui, selon lui, représente «un risque réel de destruction de l’offre locative».
La grogne des propriétaires s’explique notamment par le prix d’achat du prix du mètre carré à Paris qui tourne autour des 10 000 €. A ce tarif, un investissement immobilier dans la capitale intra muros, contraint à un très long délai d’amortissement.
Par exemple, pour un deux-pièces de 50 m² construit après 1990 situé dans le quartier Notre-Dame des Champs à Paris 6e, la fourchette de loyer oscille entre 1 220 (loyer minoré) et 2 090 € par mois (loyer majoré). Or, le prix d’achat de cet appartement dépasse les 700 000 €. Même en appliquant le loyer majoré, il faudra 28 ans de location du bien pour rembourser le prix d’achat, hors travaux d’entretien, impôts et taxes.
Autre calcul évocateur pour les propriétaires : la baisse immédiate des revenus locatifs. Par exemple, un studio meublé de 15 m², dans un immeuble ancien, toujours situé à Paris 6è, se louera à partir de juillet 2019 à 631 € (15 x 42,1 €) contre 850 € actuellement selon une annonce publiée sur le site de location entre particuliers pap.fr. L’entrée en vigueur de l’encadrement des loyers signe donc pour le propriétaire de ce studio une baisse de 35 % de ses revenus locatifs.
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03/06/2019
Nécrologie
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22/05/2019
Les élections européennes...
Il faut voter ce dimanche.
Mais pour quelle liste?
Après réflexion, les militants d'AGIR POUR LE 10e vous invitent à choisir entre MM Lagarde (UDI) et Bellamy (LR), malgré les idées réactionnaires de ce dernier...
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10/05/2019
Ils veulent toucher à la place du Colonel Fabien !
Ce jeudi 16 mai 2019 à 19h30 aura lieu un atelier participatif en présence d’Alexandra Cordebard, Maire du 10e arrondissement, et de François Dagnaud, Maire du 19e arrondissement, pour évoquer ensemble l’avenir de la place du Colonel Fabien.
Suite au vote d’un projet de réaménagement de la place du Colonel Fabien dans le cadre du Budget participatif parisien 2016 et après un premier diagnostic présenté aux habitants le 28 novembre 2018, la réunion du jeudi 16 mai aura pour objectif de déterminer ensemble les futurs usages de la place du Colonel Fabien.
Infos pratiques
Atelier participatif : place du Colonel Fabien, comment la vivez-vous, comment la voulez-vous ? NOUS LA VOULONS COMME ELLE EST !!!!!!!!
Jeudi 16 mai 2019, à 19h30
Espace Niemeyer, 2 place du Colonel Fabien
https://www.mairie10.paris.fr/actualites/reunion-publique...
Que ne peuvent-ils laisser cette place en paix?????????
Vivement que cette équipe municipale s'en aille!
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