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08/11/2017

Madame HIDALGO et la voiture à Paris..

Vous souvenez-vous la dernière fois où vous avez entendu dire du bien de la voiture ?

C'était il y a sûrement bien longtemps !

Car depuis des années, la voiture est devenue l'ennemi public n° 1.

Oh, pas pour les gens, bien sûr !, auxquels elle procure autonomie, souplesse, liberté.

Mais pour une petite caste d'hyper-urbains, qui n'en ont ni l'usage ni le besoin, ayant le privilège de vivre, à deux stations de leur lieu de travail, dans le centre de grandes villes dont ils ne sortent que très rarement, et encore, en train, en taxi ou en avion ; le plus souvent avec notes de frais…

La voiture ? Les gens qui en ont besoin ? Ça les dérange.

Ils veulent la rayer de la carte, l'éradiquer. L'exemple le plus emblématique étant l'actuelle maire de Paris, qui n'hésite pas à pourrir le quotidien de centaines de milliers de personnes, y compris les Parisiens, juste parce qu'elle mène sa petite guerre personnelle contre la voiture.

Et c'est dans ce but que, depuis des années, ils se livrent à une propagande incessante où la voiture est accusée de tous les maux : danger, individualisme, pollution.

Progressivement, cette propagande a fait son œuvre : une fois mis dans la position du "nuisible", égoïste, dangereux et pollueur, une fois réduits au statut de "délinquant routier potentiel", une fois bien imprégnés de l'idée qu'en prenant le volant ils devenaient instantanément irresponsables… les conducteurs n'avaient plus eu d'autre choix que de courber l'échine et subir en silence la punition collective que les pouvoirs décideraient de leur infliger.

Il faut dire que cette propagande anti-voiture s'est répandue d'autant plus vite qu'elle a été massivement soutenue et relayée par ceux qui y ont vu un formidable outil à leur service :

- d'abord, évidemment, les fabricants de radars qui ont pu développer et vendre aux gouvernements successifs d'invraisemblables technologies de surveillance et de répression des citoyens, accumulant au passage des milliards de profit pour eux-mêmes tout en assurant de nouvelles recettes fiscales pour l'Etat.

- ensuite, les hommes politiques qui ont développé une rhétorique facile, se vantant mois après mois de sauver leurs concitoyens des dangers de la route pour mieux masquer leur impuissance à résoudre les fléaux de la société comme le chômage et l'insécurité.

Bref, des années de propagande au profit de quelques-uns, et au détriment de l'immense majorité,  vous et tous ceux dont le seul tort est d'avoir besoin de leur voiture ou leur moto pour se déplacer.

Avec une conséquence tragique : le dévoiement de la sécurité routière, qui était saine et louable, en une vaste machine à faire de l'argent sur le dos des conducteurs, au détriment de la qualité et de la sécurité même de leurs déplacements.

Faut-il le rappeler ? A force de remplacer des mesures de bon sens (prévention, amélioration des routes, etc.) par des machines qui punissent aveuglément les gens pour un rien, les résultats de la sécurité routière se sont dégradés au point de devenir négatifs depuis trois ans.

Aujourd'hui, ce que nous vous proposons, c'est de contribuer à combattre cette idéologie délétère.

Tant que l'idéologie anti-voiture imprègnera la société, il sera difficile de stopper la course effrénée à la répression routière déshumanisée et inefficace par les radars et la généralisation de toutes les technologies de surveillance et contrainte qui s'appliquent aux conducteurs.

16/06/2014

Aux frais du contribuable parisien...