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27/10/2016

Non, le chômage ne baisse pas en France !

Certains médias et notre Ministre du travail continuent de dire n’importe quoi en ce qui concerne les variations du nombre de chômeurs en France.

La forte baisse de demandeurs observée au mois de septembre est indéniable. Mais elle est précédée d'une très forte hausse au mois d'août (+1,4%) et elle est également à nuancer. Depuis l'élection de François Hollande en mai 2012, le ministère du Travail a recensé 617.000 chômeurs supplémentaires en catégorie A. Un chiffre colossal que le gouvernement n'a pas commenté, préférant mettre l'accent sur le fait que le chômage des moins de 25 ans est passé sous la barre des 501.000 individus. Un recul dû à l'explosion des emplois aidés, dont l'efficacité a été mise en cause par la Cour des Comptes.

Et, comme d’habitude, on ne parle que de la catégorie A et que de la Métropole (les départements d’Outre-Mer ne font plus partie de la France ?) car si on observe les chiffres en se concentrant essentiellement sur les catégories B, les inscrits ayant une activité réduite courte (moins de 78 heures par mois), et C, ceux ayant une activité réduite longue (plus de 78 heures par mois), les tendances sont à la hausse. 13.000 chômeurs de plus en catégorie B et 15.300 de plus en catégorie C.

Et, comme d’habitude, on ne parle pas des radiations administratives, souvent dues au découragement des personnes qui ne trouvent pas de travail. 238.900 personnes ont en effet quitté Pôle emploi pour "défaut d'actualisation", soit 66.500 personnes de plus qu'au mois d'août. Ce qui permet de soustraire un nombre conséquent des listes de Pôle Emploi, sans pour autant savoir ce qu'il est advenu de ces centaines de milliers d'individus. 

Et, enfin, on fait semblant de ne pas tenir compte de la « mise en formation », comme on mettrait « à la fourrière », de nombreux chômeurs, dans le cadre du plan Hollande. C’est ainsi qu’au mois de septembre, 73.500 personnes ont basculé des catégories A, B et C vers la catégorie D, celle des demandeurs d'emplois dispensés de recherches. Un chiffre en hausse de 16,4% sur un an.

Bruno Le Maire...

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Pourquoi je n'ai pas accepté la montre de l'émir du Qatar : 

je ne négocierai jamais l'indépendance de la France.

 

Cliquez ici pour voir ma vidéo.

 

25/10/2016

Le préfet accepte la fermeture des voies sur berge !

Faisant suite à la transmission du texte de cette pétition, le Préfet de Police de Paris Michel Cadot a répondu, en date du 21 octobre, en confirmant qu'il avait signé l'arrêté autorisant la fermeture des Voies Rive Droite, mais ajoutant que cet accord avait été subordonné à six conditions :

- l'analyse mensuelle des impacts sur la circulation dans la métropole parisienne comme sur les axes de report
- l'évaluation quotidienne des délais de déplacement des véhicules d'urgence, de secours et de police
- le maintien d'un accès permanent des services d'urgence aux voies sur berge (lesquelles ne pourront donc pas être définitivement condamnées)
- le maintien d'une réversibilité possible en cas de difficultés durables de circulation
- la réalisation de mesures pour ce qui concerne la pollution atmosphérique et le bruit
- la reconsidération des chantiers programmés sur des voies de report impactées par la fermeture de la voie sur berge.

Quelle autre stupidité nous réserve encore Madame Hidalgo ?

Les prochains rendez-vous de Bruno Le MAIRE

 

Soutenez l'action de Bruno Le Maire en faisant un don : 

sa campagne est financée à 100% 

par les dons de particuliers le soutenant.

 

 
 
 
 
 
 

 

Soutien total à nos forces de l'ordre !

 

 

Comme tous les Français, les événements de Viry-Châtillon m'ont profondément touché et je pense à ces 2 policiers qui ont été sauvagement attaqués à coup de cocktails molotov par des barbares qui ont tenté de les tuer. Jamais en France nous n'accepterons de céder face à ceux qui défient l'autorité de la République. Je veux rappeler à tous nos policiers que nous sommes à leurs côtés et que nous nous battrons pour rétablir la considération à leur égard et le respect de leur fonction. 

 

C'est pour marquer ce soutien que je me suis rendu cet après-midi au commissariat de Vitry-sur-Seine. 

 

Comme dans beaucoup d'autres commissariats, j'y ai vu des conditions de travail particulièrement difficiles : une seule salle de garde à vue, des salles de dégrisement insalubres, des bureaux dégradés, pas de pièce dédiée pour l'armurerie. 

J'ai surtout pu entendre la lassitude d'hommes et de femmes confrontés à des actes de violence de plus en plus durs, menacés au cours de leurs interventions sur le terrain et inquiets devant l'absence de réponse pénale appropriée. À travers eux, j'ai voulu dire mon soutien à tous les policiers de France. 

 

Je leur ai rappelé ma détermination à rétablir l'autorité de l'Etat partout en France. 

 

Ce rétablissement de l'autorité de l'Etat passe par des moyens supplémentaires pour la police et la gendarmerie : je propose de recruter 6 500 effectifs supplémentaires au ministère de l'Intérieur entre 2017 et 2022 pour répondre à ce besoin. Je propose également de donner des moyens matériels supplémentaires pour l'achat des équipements appropriés. Je suis prêt à ouvrir le débat sur les conditions de la légitime défense.

 

Rétablir l'autorité de l'Etat suppose également une simplification de la procédure pénale et un durcissement de la politique pénale. Je souhaite notamment le rétablissement des peines planchers en cas de récidive. Pour accélérer les procédures, je propose le recrutement de magistrats supplémentaires et le renforcement des moyens de la justice. 

 

Il est indispensable de réduire les dépenses sociales et les dépenses de fonctionnement de l'Etat pour dégager des moyens pour la police, la gendarmerie, la justice et les forces armées.

 

Cliquez ici pour voir la vidéo des échanges avec les policiers du commissariat de Vitry-sur-Seine samedi dernier.

 

 

La primaire, mode d'emploi !

 

 

La primaire aura lieu les dimanche 20 (1er tour) et 27 (2e tour) novembre prochains. 

 

Tous les Français inscrits sur les listes électorales au 31 décembre 2015 pourront voter : pas besoin de carte dans un parti !

 

Pour ce faire, il suffira de se rendre dans le bureau de vote auquel vous êtes rattachés (cliquez sur le bouton ci-dessous pour le découvrir) muni de 2€ et de signer une charte disant que vous partagez les valeurs de la droite et du centre et que vous vous engagez pour l'alternance afin de réussir le redressement de la France. 

Attention, les procurations ne seront pas autorisées

 

Les prochains rendez-vous à ne pas louper !

 

Tour de France 

 

Mardi 25 octobre - Seine-et-Marne - Réunion publique à 20h à Melun, L'Escale, Avenue de la 7e Division Blindée Américaine. Je m'inscris !

 

Jeudi 27 octobre - Nord - Réunion publique à 19h à Croix, Salle des fêtes Gustave Dedecker, 23 rue Jean Jaurès. Je m'inscris !

 

Vendredi 4 novembre - Bouches-du-Rhône  - Grand meeting régional à 19h à Marseille, Florida Palace, 162-164 boulevard Mireille Lauze. Je m'inscris !

 

 

Média

 

Mercredi 26 octobre, 19h - Invité de Ruth Elkrief sur BFM TV (#19hRuthElkrief)

 

Vendredi 28 octobre, 17h - Questions / réponses sur Facebook Live

 

N'hésitez pas à rejoindre nos équipes et/ou faire un don pour soutenir l'action de Bruno Le Maire.

 

23/10/2016

M. POISSON doit être exclu de la Primaire de la droite et du centre

Poisson.jpgLes propos antisémites, antisionistes, homophobes et d'une façon générale stupides de M. Jean-Frédéric POISSON doivent disqualifier ce candidat dont on n'attendait d'ailleurs pas grand chose quand on connaît les positions de son micro parti auquel est affilé Mme Boutin... Que ce micro parti soit membre des Républicains est déjà ahurissant...

21/10/2016

Meeting de Bruno LE MAIRE le 14 novembre à Paris

 

Grand meeting de campagne de Bruno Le Maire

lundi 14 novembre à 19h (ouverture des portes)

à Paris

aux Docks de Paris (Dock Pullman)

50 avenue du Président Wilson - 93200 La-Plaine-Saint-Denis

(Métro 12 Front Populaire / RER B La Plaine - Stade de France)

 
 
 
 

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18/10/2016

Préparation du meeting d'Alain Juppé du 14 novembre

Alain Juppé pour la France
Avant le meeting d'Alain Juppé au Zénith de Paris, le lundi 14 novembre prochain, mettez-vous aux couleurs d'#AJZénith !

1. Partagez le visuel de l'événement avec le lien d'inscription www.alainjuppe2017.fr/paris.

vignette_meeting_zenith_paris.jpg


2. Téléchargez et changez les bannières Facebook et Twitter sur vos comptes 

 

3.  Rejoignez et partagez l'événement Facebook officiel du meeting ! 

 

16/10/2016

Une vraie manifestation patriotique s'est déroulée ce dimanche 16 octobre à l'Eglise Saint Paul

IMG_2928.JPGA la messe dite dans l'Eglise Saint Paul-Saint Louis à Paris ce dimanche 16 octobre 2016, en faveur des soldats morts pour la France et pour le respect du aux Institutions (dont la magistrature et la police a rappelé le curé de cette paroisse), une forte délégation d'AGIR POUR LE 10E était présente...

deux dizaines de manifestants contre l'égalité des droits au mariage

Ils étaient entre 22 000 et 24 000 dans le 16e arrondissement de Paris à vouloir braver la volonté du peuple et à demander l'abrogation de la loi sur le mariage pour tous. Pourquoi pas...

Et avec eux quelques individus notoirement réactionnaires et homophobes comme le Président de la fédération de Paris des Républicains, Philippe Goujon, aux côtés du Président du parti de Mme Boutin, M. Poisson et de Marion Maréchal-Le Pen et d'autres membres du Front National.

Que du beau monde!

Heureusement pour l'image de la France que ces obsessionnels du sexe ne constituent qu'une minorité à droite et une minorité dans le pays...

11/10/2016

La lettre de Philippe DOMINATI

La City, pourquoi pas Paris ?
 
Trois mois après le vote des Britanniques en faveur du Brexit, le Royaume-Uni a annoncé, par la voix de son Premier ministre Theresa May, le déclenchement d’ici la fin mars 2017 de la procédure de sortie de l’Union européenne. Ce retrait programmé nous amène à nous interroger sur l’adaptation franche et rapide de notre environnement réglementaire et surtout fiscal, afin de favoriser l’attractivité de la place financière de Paris.
 
Avec un pôle de gestion d’actifs de 3.600 milliards d’euros, notre capitale dispose d’atouts potentiels pour détrôner la City et devenir, devant Londres, Francfort ou Dublin, la première place financière européenne. Encore faut-il ne pas les gâcher. L’enjeu n’est pas mince : l’an dernier, en île-de-France, l’industrie financière représentait la troisième activité en nombre d’emplois (près de 350.000 !).
 
Une inertie gouvernementale
 
Début juillet, dans la foulée du référendum, François Hollande et Manuel Valls ont compris la nécessité de dégainer l’arme fiscale, proposant d’abaisser à 28% le taux de l’impôt sur les bénéfices des sociétés et d’allonger, de 5 à 8 ans, le bénéfice des avantages fiscaux offerts aux impatriés. Le dispositif des impatriés, qui concerne les personnes, reste peu connu. Il n’existe que pour atténuer la grande différence de pression fiscale avec le Royaume-Uni et l’Allemagne, qui eux ne connaissent pas l’ISF et jouissent d’une fiscalité nettement moins pénalisante.
 
En France, contrairement aux autres places boursières des pays développés, les pouvoirs publics rechignent depuis longtemps à prendre les mesures nécessaires pour attirer les grands décideurs financiers. La rude compétition qui oppose les candidats à la primaire de la droite est en train de briser ces tabous.
 
Il faudra, tout d’abord, faire vite et supprimer radicalement l’ISF. Concernant l’impôt sur les sociétés, je constate avec un certain plaisir que tous les candidats ou presque s’accordent sur le principe d’une réduction importante. 
L’IS français est aujourd’hui supérieur à 33%, alors qu’il est de 29% en Allemagne et de l’ordre de 20% au Royaume-Uni. Cela démontre que, malgré nos efforts, nous resterons en cas d’alternance dans la fourchette haute par rapport à nos grands partenaires mais non moins concurrents européens.  La troisième mesure nécessaire, qui n’est à mon sens pas encore suffisamment abordée, concerne la fiscalité des revenus tirés de capitaux mobiliers. Ce point est essentiel si l’on veut réconcilier les Français avec la finance, afin qu’ils ne la considèrent pas comme un ennemi. Elle peut atteindre chez nous jusqu’à 58,5%, là où, en Allemagne, il existe un taux unique de 26,4%. L’idéal serait, bien évidemment, d’envisager une flat tax sur l’ensemble des revenus.
 
Revendiquer la première place !
 
L’évocation de ces quatre volets traduit bien le caractère dérisoire des assouplissements prévus par l’exécutif socialiste. François Hollande a donné une image de la France traumatisante pour les investisseurs et l’élite financière internationale. Fort heureusement, son mandat s’achève. Mais Anne Hidalgo, soucieuse d’incarner l’aile gauche de la majorité présidentielle sortante, reste dans une posture idéologique rigide, et l’on peut craindre que Paris laisse passer l’occasion historique de prendre l’ascendant dans un domaine aussi important pour la construction européenne.
 
Parce que le siège du Parlement européen est à Strasbourg, Paris reste l’une des seules grandes villes européennes à ne pas tenir un rang digne de son importance. Dans la perspective de la prochaine alternance, j’espère que le gouvernement corrigera cette réalité et adoptera des positions fortes qui, le cas échéant, ne pourront pas être récusées par la maire de Paris. C’est dans cette perspective que je proposerai, avec d’autres parlementaires, des mesures emblématiques à l’occasion du prochain budget. Pour ne pas laisser filer notre chance…
 
L'omnipotente Commission européenne !
 
Evoquant dans une précédente infolettre la crise de légitimité que traverse l’Union européenne, j’insistais sur les méfaits du bureaucratisme bruxellois, dont les dérives technocratiques ont souvent un effet dévastateur sur les opinions publiques européennes. Un nouvel exemple est venu illustrer cette dérive : la nomination, par le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, de Michel Barnier comme "négociateur en chef responsable du groupe de travail de la Commission chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni". Comment comprendre une telle ingérence de la Commission de Bruxelles ? C’est le Conseil de l’UE, organe représentatif des Etats membres et réunissant leurs ministres, qui est le seul légitime à prendre une telle décision.
Brexit : et après ?
 

Le Royaume-Uni avait rejoint la Communauté économique européenne (CEE), ancêtre de l’actuelle Union européenne (UE), en 1973, après un référendum approuvé par 67% des Britanniques. Suivant le même processus, le même Royaume-Uni a donc décidé en juin, à 52%, de se retirer. Puisque les Britanniques sont liés par des traités internationaux, c’est à eux de gérer leur dénonciation. Ce n’est pas la priorité des hommes politiques européens, dont nous attendons qu’ils consacrent toute leur énergie à la question du périmètre de l’UE, à la politique migratoire du continent ou encore à l’avenir de son intégration fiscale ou budgétaire.