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25/04/2017

2nd tour des Présidentielles : la prise de position d'AGIR POUR LE 10E

Le bureau d'AGIR POUR LE 10E s'est réuni après le 1er tour des élections présidentielles pour définir une position quant à la conduite à tenir. Le soutien à M. Macron est rejeté à l'unanimité.

La gestion calamiteuse de Mme Hidalgo, maire de Paris...

La dette de Paris s’envole :
une bombe à retardement
 
D’après le budget de la ville pour 2017, le montant de la dette de Paris sera à fin 2017 de 6,39 Mds €. Il était de 3,71 Mds € à fin 2013. L’augmentation en quatre ans, depuis l’élection d’Anne Hidalgo en 2014 à la mairie, sera donc de 2,68 Mds € (soit + 72 %).

Cette dette sera payée par les contribuables parisiens, actuels ou futurs.

Cette dette n’aura pas servi à faire croître le volume des investissements, puisque celui-ci a baissé : de 1,46 Mds € en 2013 à 1,19 Mds € en 2017. D’ailleurs 30 % de ces prétendus « investissements » sont en réalité des rachats par la mairie d’immeubles existants, désormais qualifiés artificiellement de logements sociaux, sans qu’il y ait la moindre offre supplémentaire de logements locatifs.  

Mais il faut bien payer l’accroissement de la masse salariale qui aura crû de 16%, de 1,874 Mds € à 2,175 Mds €.

Les 46 000 salariés de la ville peuvent ainsi dire : merci à Madame la maire de faire payer nos augmentations de salaires par les futurs contribuables !

Les contribuables n’ont donc aucune raison de croire ce que leur maire affirme dans ses « orientations budgétaires » : qu’elle accentue, par son « exigence de sérieux », « la politique de sobriété en matière de dépenses » !

 
Alain Mathieu
Président de contribuables parisiens et franciliens



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24/04/2017

Les résultats de la présidentielle dans le 10e arrondissement de Paris

Emmanuel MACRON : 37,71 % (34,83 % à Paris)

Jean-Luc MELENCHON : 25,46 % (19,56 % à Paris)

François FILLON : 15,02 % (26,45 % à Paris)

Benoît HAMON : 14,17 % (10,18 % à Paris)

Dans le 10e, on constate que le PS se maintient un tout petit peu mieux que dans le reste de Paris et que la droite s'effondre à hauteur de son inexistence militante.

Au total les candidats se réclamant de la "gauche", représentent 65,47 % des voix dans l'arrondissement, comme à l'accoutumée...

18/04/2017

Une presse sélective...

 

En revanche, Macron efface la dette de Mediapart et du Canard Enchaîné de plusieurs millions d’euros de TVA non payée quelques mois avant d’être le candidat “chevalier blanc” de l’élection présidentielle et c’est encore normal. 

Bien sûr, ce ne sont pas ces deux “canards” qui vont s’autoflageller !…

Réveillons-nous, la France !

17/04/2017

Les fascistes de gauche à l'oeuvre...

Comme à chaque élection, ce sont les panneaux des candidats de droite qui sont déchirés.

Vous avez dits "démocrates"?

Comme à chaque élection, ce sont les candidats de droite dont les meetings sont attaqués. Physiquement ou à coup de concerts de casseroles.

Vous avez dits "démocrates"?

Comme à chaque élection, ce sont les distributeurs de tracts de droite qui sont attaqués par les pseudos démocrates de gauche.

16/04/2017

décidemment M. Fillon, vous n'en ratez pas une...

En affirmant qu'il serait bien que des militants de la Manif pour tous soient dans votre futur éventuel gouvernement, vous venez d'amoindrir vos chances de gagner cette Présidentielle.

L'absence totale des militants de votre parti, Le Républicains, dans le 10e arrondissement illustre cette défaite programmée. Que fait donc la seule Conseillère de Paris de votre parti élue dans le 10e et d'ailleurs soutenue par Fillon? Elle ne sait pas distribuer des tracts ? Elle ne le savait déjà pas quand Cyprien Laurelli puis Patrick Ayache représentaient l'UMP dans l'arrondissement...

15/04/2017

Un petit mot de notre ami JP Hubin

Chers amis,

 Depuis 1981, 35 ans déjà, nous subissons un Etat obèse et impuissant gérés par des bonimenteurs qui paralysent la création de richesse au prétexte de satisfaire l'envie naturelle des jaloux, au détriment de la distribution de ces richesses à tous ! Les soixante-huitards ont imposé sans relâche leurs mythes destructeurs de l'Ecole, de la Justice, de la Nation !

 La France va mal, sauf d'éphémères sursauts en 1986/88 et 2007/08 et les Français désespèrent alors que nos voisins prospèrent, Suisses, Flamands, Néerlandais, Autrichiens sans discontinuer, Allemands et Scandinaves depuis 10 ans, Ibériques aussi depuis qu'ils se sont eux-mêmes remis sur les rails.

 Les Présidentielles nous proposent de rééditer les expériences marxistes sud-américaines en conservant notre modèle social que plus personne au monde ne nous envie. Quatre candidats socialistes, marxistes et vindicatifs après cinq années de socialisme évidemment ratés, n'est-ce pas surréaliste ?

Mais pas plus finalement que neuf candidats attribuant à l'Europe et à l'euro nos malheurs, alors que nos voisins et partenaires n'en souffrent pas !

 Deux candidats "sérieux" surnagent à grand peine de cette marée de promesses fallacieuses ; Macron se donne un air d'Ange et prétend réunir les avis contraires de vieux briscards de la politique pour rééditer les compromis vaseux qu'il a largement connus et pratiqués depuis 2012 ; au passage il injurie sans raison la France, ce qui le disqualifie pour la représenter dans le monde, en nous mettant dans le camp des Nazis tueurs de Juifs, des Turcs tueurs d'Arméniens et des Cambodgiens de Pol Pot, seuls et c'est assez, à mériter d'être traités de criminels contre l'Humanité !

 Fillon a posé, il y a dix ans déjà, le diagnostic de notre faillite : il propose les moyens énergiques d'en sortir, mais beaucoup tergiversent encore et hésitent à lui donner leur voix. Il ne serait pas le "Saint" qu'il conviendrait d'être pour occuper la fonction, (ne faut-il pas récuser la notion même de sainteté en politique ?). Il irait trop loin dans son désir de rénover nos services publics (fonctionnent-ils si bien que cela ?) ou pas assez loin dans sa volonté de reconstruire des frontières nous protégeant des concurrences déloyales et des immigrations insupportables (le mieux n'est-il pas souvent l'ennemi du bien ?).

 Les hésitations ne sont plus de mise, rejeter Fillon et son programme, c'est devenir responsable soi-même des malheurs qui en résulteront ou de la mortelle torpeur dans laquelle Macron après tant d'autres nous entraînera !

 Quelques éléments concrets :

Les retraités bénéficieront de l'application du programme Fillon car l'accroissement de la TVA sera absorbé par les agents économiques (importateurs) alors que celui de la CSG (proposition alternative Macron) conduirait directement à une réduction de la retraite nette reçue.

Le report de l’âge de départ à la retraite confortera l'équilibre des caisses et facilitera le maintien du pouvoir d'achat des retraités de plus de 65 ans, en permettant au passage de financer une hausse des très petites retraites alors que ne rien faire conduira à la mise en péril des retraites actuelles.

 Les salariés bénéficieront de l'application du programme Fillon car la baisse des charges personnelles des petits salaires confortera le pouvoir d'achat des salariés modestes ; le retour à un taux décent d'abattement familial augmentera le net perçu des familles ; la hausse de la TVA sera plus facilement absorbée par les agents économiques (importateurs notamment) que la hausse de la CSG qui viendrait annuler pour les salariés la baisse des impôts locaux prévue par Macron.

 Les entreprenants et entrepreneurs bénéficieront de l'application du programme Fillon. La hausse de la TVA gênera les importations, l'application d'un taux forfaitaire de 30% sur les revenus des investissements et de l'épargne, la suppression de l'ISF, promis l'un et l'autre aussi par Macron mais qui ne pourra pas les faire voter par ses parlementaires socialistes, leur sera bénéfique.

Comme d'ailleurs à l'ensemble des français, notamment les chômeurs, car avec la mesure sur la non taxation des investissements dans les entreprises, cela amènera à une reprise des créations d'entreprise pérennes et solides bien dotées en fonds propres.

 Enfin la mise sous contrôle des immigrations économiques donnera aux résidents en France une meilleure chance de trouver un emploi et si utile, les éléments d'une vraie assimilation, sans oublier une meilleure sécurité quotidienne qui souffre aujourd'hui de l'arrivée incessante de nouveaux trafiquants de migrants, de femmes, de drogues etc.

 Pour ma part, je voterai avec joie Fillon et il m'a paru amical de vous le faire savoir !

 

Jean-Philippe HUBIN

 

14/04/2017

Pourquoi il faut voter Fillon

5 raisons de voter François Fillon

➜ Pour une vraie alternance 

François Fillon est le seul candidat qui porte les valeurs de la droite et du centre.

Il est le seul candidat à pouvoir obtenir une majorité parlementaire en juin prochain pour mettre en œuvre son projet de rupture.

➜ Pour l’emploi

François Fillon est le seul candidat qui porte un plan précis pour soutenir la compétitivité et l’emploi avec la baisse de 40 milliards d’euros des charges et des impôts sur les entreprises, la fin des 35h, la simplification du code du travail et le doublement des seuils sociaux.


➜ Pour gagner du pouvoir d’achat

François Fillon est le seul candidat qui prendra des mesures immédiates pour le pouvoir d’achat avec notamment la réduction des cotisations sociales des salariés pour un gain annuel de 350 euros par salarié et de 700 euros pour un couple qui travaille, la revalorisation d’environ 300 euros par an des retraites inférieures à 1 000 euros et de 10% des petites pensions de réversion et le relèvement à 3 000 euros du plafond du quotient familial et rétablissement des allocations familiales pour tous.

➜ Pour vivre en sécurité

Parce que la première des libertés est le droit à la sécurité, François Fillon donnera les moyens aux forces de l’ordre et à la Justice d’assurer leur mission : 10 000 agents supplémentaires en plus sur le terrain ; rétablissement des peines planchers et construction de 16 000 places de prison.

➜ Parce que nous avons besoin d’un homme d’Etat à la tête de la France

Notre pays est en situation de déclin. Le temps n’est plus aux demi-mesures.

Il nous faut un chef d’Etat d’expérience, capable d’engager des réformes difficiles et de défendre les intérêts de la France en Europe et partout dans le monde.

 

je télécharge l'argumentaire et je le diffuse

 

Je rejoins un comité de soutien pour participer au grand tractage national

 

La campagne près de chez moi



12/04/2017

L'imposture Macron

 

 

 
 
 

Les manoeuvres contre François Fillon

http://www.michelledastier.com/wp-content/uploads/2017/04/marteau-juge-3.gifPlusieurs juristes (avocats et professeurs de droit) se sont mobilisés pour rédiger cet appel  à propos des manoœœuvres employées à l’encontre de François Fillon.

 » Les termes de « coup d’Etat institutionnel » définissent parfaitement les manœœuvres employées à l’encontre de François Fillon, pour tenter de l’empêcher, à tout prix, de concourir à l’élection présidentielle. 

Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire ; le but de cette vaste opération étant de favoriser l’élection d’un successeur déjà coopté, faux nez d’une candidature sociale-démocrate ou sociale-libérale qui était d’avance vouée à l’échec.

Le candidat de la droite et du centre était jugé dangereux car il avait déjà recueilli la confiance de plusieurs millions de ses compatriotes lors de primaires irréprochables. Il fallait donc, pour tenter de le discréditer, lui imputer à délit des faits qui ne tombent manifestement pas sous le coup de la loi. L’allégation d’un « détournement de fonds publics » est contraire aux termes du code pénal et incompatible avec les principes constitutionnels.

 Contraire aux termes du Code pénal d’abord : le texte qui définit ce délit, l’article 432-15, ne vise, comme auteurs possibles de celui-ci, qu’une « personne dépositaire de l’autorité publique » ou « chargée d’une mission de service public », qu’un « comptable public » ou un « dépositaire public », qualités que n’a évidemment pas un parlementaire.

 Au surplus, il est plus que douteux que les sommes versées à un parlementaire pour organiser son travail de participation au pouvoir législatif et au contrôle du pouvoir exécutif puissent être qualifiés de fonds publics.

 Contraire aux principes constitutionnels ensuite : à celui de la séparation des pouvoirs, seul garant du caractère démocratique des institutions et obstacle à la tyrannie. L’indépendance dont dispose le parlementaire, y compris dans la gestion de ses crédits destinés à rémunérer ses collaborateurs, n’est pas un simple caprice. C’est le préalable nécessaire à l’une de ses missions constitutionnelles qu’est le contrôle de l’exécutif. Pour préserver le principe de séparation des pouvoirs, les assemblées disposent, comme elles l’entendent, de leurs crédits de fonctionnement. Incriminer l’emploi discrétionnaire de ces dotations serait s’en prendre à l’exercice de la fonction d’un parlementaire, s’attaquer par là-même au principe constitutionnel de l’indépendance des assemblées parlementaires, corollaire de la séparation des pouvoirs. Pour l’exécutif, prétendre contrôler l’utilisation des dotations d’un parlementaire au moyen d’une procédure pénale enfreint donc ce principe.

 

Dans le cas de François Fillon, l’atteinte à la Constitution est d’autant plus grave que la procédure pénale est engagée illégalement. En admettant qu’il y ait eu violation du règlement d’une assemblée parlementaire, une enquête n’aurait pu être menée que par le bureau de l’assemblée en cause. C’est bien d’ailleurs la procédure qu’a retenue le Parlement européen pour sanctionner une candidate à l’élection présidentielle française.

 A plus forte raison, le pouvoir ne pouvait-il laisser le parquet national financier (PNF) se saisir d’une telle enquête (ou l’y inciter) ? Il saute aux yeux que les faits allégués contre le candidat n’entrent pas dans les chefs de compétence énumérés par l’article 705 du code de procédure pénale (loi du 6 décembre 2013) de ce ministère public : non seulement ces faits ne répondent à la définition d’aucune des infractions mentionnées dans ces chefs de compétence, mais encore nul ne saurait prétendre sérieusement qu’ils présentent « une grande complexité », au sens dudit article.

 C’est encore au prix d’une double erreur que le président de la République se retranche derrière l’indépendance de la justice. D’abord, les officiers du ministère public ne sont pas « la justice », la Cour européenne des droits de l’homme leur dénie l’appartenance à l’autorité judiciaire. Ensuite, ils ne sont pas statutairement indépendants du gouvernement, mais subordonnés au ministre de la Justice.

 Il y a pire. Le bras armé du pouvoir, en l’espèce, est ce parquet national financier. Il est un organe d’exception au sens technique du terme, un organe à compétence dérogatoire au droit commun, limitativement définie. Faut-il rappeler sa genèse, à savoir le refus du pouvoir de se conformer au fonctionnement régulier du ministère public, faute d’avoir réussi à museler un procureur général de la Cour de Paris trop indocile à ses yeux (il est loin le temps où les tenants de ce pouvoir socialiste remettaient en cause le caractère exceptionnel de certaines juridictions, comme les cours d’assises spéciales en matière de terrorisme, sans parler de la Cour de sûreté de l’Etat) ?

 Dès le début de l’enquête visant François Fillon, le parquet national financier s’est comme ingénié à justifier la suspicion légitimement née de cette origine : la précipitation avec laquelle l’enquête a été ouverte, sans même le respect d’un délai suffisant pour lire à tête reposée le Canard enchaîné laisse perplexe ; surtout, la publication dans Le Monde par deux « journalistes » familiers du président de la République, de son secrétaire général etc., des procès-verbaux de l’enquête à peine sont-ils clos, au mépris du secret de l’enquête, démontre irréfutablement une collusion entre les officiers du ministère public ou leurs délégataires et ces « investigateurs ». Le même journal combat d’ailleurs les moyens de défense constitutionnels invoqués par la défense de François Fillon en faisant appel à un civiliste…

Dans leur acharnement, ceux qui ont ourdi cette machination ont pourtant négligé ou sous-estimé un risque : celui d’une action engagée contre l’Etat, en application de l’article L.141-1 du Code de l’organisation judiciaire, en réparation du dommage causé par le fonctionnement défectueux du service public de la justice au cas de faute lourde. En effet, il ne se discute pas que la violation du secret de l’enquête ou de l’instruction en matière pénale constitue un fonctionnement défectueux du service public de la justice et que le rôle actif ou passif du parquet dans cette violation caractérise une faute lourde.

 Il reste que la tentative de déstabilisation et de disqualification du candidat de la droite et du centre à l’élection présidentielle est sans précédent par sa violence et par l’implication ouverte de l’Etat.

 Sans doute dans le passé d’autres candidats ont-ils été visés par des attaques venant pour la plupart des mêmes journaux : affaire Markovic, diamants de Bokassa, affaire Clearstream. Mais jamais le pouvoir en place n’avait orchestré la campagne avec une pareille impudence.

Au-delà du seul piétinement de la présomption d’innocence, principe dont s’enivrent constamment les zélateurs de l’actuel pouvoir, pour refuser d’endiguer la délinquance ordinaire, ce sont tous les principes essentiels d’un Etat démocratique qui sont bafoués.

Au-delà de la défense du candidat François Fillon, aucun juriste ne peut cautionner ce dévoiement voulu et partisan des institutions, préalable à un « coup d’Etat permanent ». Ni la magistrature, ni la police n’ont vocation à servir de supplétifs à un pouvoir moribond.

C’est pourquoi les juristes signataires de cet appel entendent alerter leurs compatriotes sur cette forfaiture et ses dangers pour la démocratie. Ce n’est pas une poignée de substituts militants trop zélés qui feront obstacle aux millions de Français qui ont déjà choisi démocratiquement François Fillon comme candidat de la droite et du centre. Nous n’acceptons pas un coup d’Etat institutionnel, au profit de l’héritier désigné par le pouvoir.

 

> >>> Philippe FONTANA Avocat au barreau de Paris

> >>> André DECOCQ Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

 > >>> Geoffroy de VRIES Avocat au barreau de Paris

> >>> Yves MAYAUD Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

> >>> Serge GUINCHARD Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas, ancien recteur

 > >>> Pauline CORLAY Professeur agrégé des facultés de droit, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation

> >>> Guillaume DRAGO Professeur à l’Université Panthéon-Assas Paris II

> >>> Guillaume MASSE Avocat au barreau de Paris

> >>> Jean-Luc ELHOUEISS Avocat au barreau de Paris, Maître de conférences

 

> >>> Georges BONET Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

> >>> Raymonde VATINET Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

> >>> Anne-Marie LE POURHIET Professeur de droit public à l’université Rennes-I

 > >>> Bernard de FROMENT Avocat au barreau de Paris