Diffamons, diffamons, il en restera toujours quelque chose...

Le Parisien du lundi 21 juin relate les démélés de la fédération de Paris de l'UMP avec ses militants et responsables locaux. Interrogé sur les demandes de remboursement de ses frais de délégué de circonscription faites par Cyprien Laurelli, le président de la fédération de Paris, qui a encore changé d'avis, semble-t-il, a l'outrecuidance de répondre : "il n'est pas question de rembourser des frais injustifiés ! Il y a des notes de bars, d'hôtels, qui n'ont rien à voir avec la vie militante." De la diffamation pure : la fédération de Paris serait bien en peine de montrer par exemple une seule note de bar ! Jusqu'où sont-ils prêts à aller pour saboter l'UMP dans le 10ème arrondissement ? Ils ne craignent pas non plus de se féliciter du fait "qu'un jeune comme Benjamin Lancar s'investisse dans le Xème." lequel jeune a le culot d'affirmer qu'il veut bâtir une alternative dans cet arrondissement longtemps délaissé par la droite", comme si les militants locaux de l'UMP et des autres composantes de la droite n'avaient rien faits ces dernières années. Du dénigrement pur. Ce n'est pourtant pas avec de la diffamation ou du dénigrement qu'on pourra diffuser nos idées dans l'arrondissement. C'est même tout le contraire. Ce parti est bien mal parti avec de tels énergumènes sans foi ni loi qui ne pensent qu'à leur poste (à maintenir ou à espérer) ! On comprend pourquoi les responsables du Xème et les élus du Xème de l'UMP après des résultats électoraux dont ils n'ont pas à rougir comparés à ceux des autres circonscriptions parisiennes ont quitté, avec courage, un parti qui a recours à ces méthodes qui vont le conduire inévitablement à l'échec...