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24/03/2023

Pour un retour de l’honneur et du devoir au sein de la classe politique...

‌À l’initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et
responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une
centaine de hauts-gradés et plus d’un millier d’autres militaires ont
signé l’appel ci-dessous pour un retour de l’honneur et du devoir au
sein de la classe politique.

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels
la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de
France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer
indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe,
ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles
que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la
France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous
trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre
honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui
frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un
seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les
communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme,
d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes
c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et
fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et
veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son
histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à
d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos
vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne
le détachement de multiples parcelles de la nation pour les
transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre
constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa
non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne
doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République
ne s’appliquent pas.
– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de
manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme
agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets
jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus
infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes
forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les
directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait
prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la
sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons
toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement –
comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels
agissements des spectateurs passifs.
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le
courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il
suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà.
N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens
est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la
prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames,
Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est
colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à
soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde
de la nation.
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se
répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une
explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission
périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de
sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la
guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont
vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.

Les généraux signataires :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère),
général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de
Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille,
général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général
de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général
de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S)
Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne
(2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne
(2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert
JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique
AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS
(Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE
(Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER
(Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction
Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT),
général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S)
Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard
BALASTRE (Marine Nationale).

21/03/2023

M. Macron ruine la France !

La Cour des comptes vient de publier son rapport annuel dans lequel elle insiste sur le délabrement des finances publiques et promeut une utilisation de l’argent public stratégique, mieux ciblée.

 Dans son rapport annuel, la Cour des comptes tire à boulets rouges sur la politique budgétaire de l'exécutif. Et pour cause : fin 2023, la dette publique française dépassera 111 % du PIB, soit 14 points au-dessus de son niveau d’avant Covid et le déficit public représentera 5 % du PIB. A 58 % du PIB, la France a les dépenses publiques les plus élevées de la zone euro. La Cour exhorte une nouvelle fois l’exécutif à sortir « définitivement » du « quoi qu'il en coûte » présidentiel et à faire du redressement des finances publiques « une priorité nationale ». Dans une interview accordée au Figaro, Pierre Moscovici, Premier président de l’institution,  rappelle qu’il y a 3 leviers pour réduire ces déficits : une forte croissance qui n’est pas d’actualité ; la hausse de la fiscalité, ce qui est "compliqué dans un pays où les prélèvements obligatoires sont déjà très élevés et où le consentement à l’impôt est faible." Et une troisième voie, assise sur la maîtrise de la dépense publique et la qualité des engagements budgétés. Une maîtrise des dépenses que le gouvernement refuse d’envisager.  Après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine, la flambée des prix de l’énergie, il a même remis la main dans un portefeuille qui se vide si rapidement que les contribuables ne parviennent plus à le réalimenter. Les mesures de soutien aux ménages et aux entreprises, prolongées par les dépenses de relance de l’automne grèvent les comptes de l’État: en 2022, elles représentaient 37,5 milliards d’euros. Elles coûteront encore 12,5 milliards d’euros aux contribuables en 2023. A ces mesures-béquilles sont venues s’ajouter celles tamisant l’augmentation des prix de l’énergie. Le bouclier tarifaire sur l'électricité et le gaz, les remises à la pompe ou encore le chèque énergie ont représenté un coût net de près de 43 milliards d'euros sur 2 ans. Résultat, hors dépenses exceptionnelles, la hausse des dépenses publiques atteignait 3,5 % en 2022. La dérive sera encore de 0,7 % en 2023. Circonstance aggravante, cet effort budgétaire a été consenti dans un contexte de forte inflation et de croissance déclinante. Après 2,6% en 2022, l'exécutif mise sur une hausse du PIB de 1% en 2023. Méthode Coué : Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, affiche des prévisions auxquelles ni le FMI, ni la Banque de France ni le consensus des économistes ne croient ! Les hypothèses retenues pour ramener le déficit sous la barre des 3% d’ici 2027 sont « trop optimistes », que ce soit en termes de croissance, d'évolution des taux d'intérêt ou de dépenses publiques, martèle la Cour des comptes. Si l'une de ces hypothèses s’avérait caduque, « l'objectif d'inflexion du taux d'endettement à l'horizon 2027 ne serait pas atteint » et la dette pourrait filer jusqu'à… 115% du PIB, prévient-elle. En janvier, Bercy a annoncé un examen annuel des dépenses publiques destiné à identifier des gisements d'économies en dépensant l’argent public de manière stratégique, ciblée et plus « intelligente ». De façon plus structurelle, la performance de la dépense publique dans certains domaines, comme la santé, le logement ou encore l’éducation, doit faire l’objet d’une évaluation systématique, souligne la Cour. La décentralisation fait partie des domaines d’intervention glouton en argent public sur lequel l’État devrait évaluer son action. Le verdict de la Cour est sans appel : quarante ans après les lois Defferre, la décentralisation s’est transformée en un inextricable maquis. Loin de clarifier la donne, l’émiettement communal et la création de grandes régions ont brouillé les cartes. Censée réguler le délestage du pouvoir de l’état vers les régions, la création de multiples échelons décentralisés, dont les Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) ont généré une compétition néfaste entre ces entités. La persistance de ces compétences croisées ne renforce pas l’efficacité de l’action publique locale et c’est un facteur de surcoût, déplore la Cour. Pour l’avenir, elle préconise de rénover les relations entre collectivités, notamment en réduisant le nombre de communes et de rationaliser l’organisation des collectivités en incitant, par exemple les services décentralisés de l’État à mieux prendre en compte les compétences locales pour gagner en efficacité.

19/03/2023

La nouvelle chanson de Pierre Perret sur Paris !

"Pauvre Paris devenu si cracra, On sait bien qui t'a fait ça. C'est les crânes de piaf dégourdis, qui bouffent des graines à la mairie. Pauvre Paris, Paris enlaidi, dans quel état ils t'ont mis ? Ils avaient promis le Nirvana et c'est la bérézina. Pauvre Paris, Paris enlaidi, toi qui fus le paradis, te voilà fringuée Waterloo, par nos gentils écolos"

17/03/2023

Madame Hidalgo et son nouveau sac...

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Madame la Maire et son heure de gloire...

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14/03/2023

la collecte des déchets à Paris !

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