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28/05/2020

Décès de Claude GOASGUEN

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C'est avec tristesse que nous apprenons le décès du député LR de la 14e circonscription de Paris, Claude GOASGUEN. C'était un homme libre...

24/05/2020

Une lettre de Rachida Dati au premier Ministre

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Une lettre de Rachida Dati au premier Ministre

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Un communiqué du Centre National des Indépendants (CNIP)

cnipBruno NORTH, président national du CNIP, associé aux Républicains, a diffusé le communiqué suivant :

La crise du coronavirus a mis en évidence la grave carence de l’Etat en matière sanitaire.
Les conséquences en ont été catastrophiques, puisque :
– la France a déploré un nombre de décès représentant plus du triple de celui de l’Allemagne, pourtant davantage peuplée ;
– la France a dû procéder, pour compenser son impréparation totale en matière d’équipements sanitaires de base (dont en particulier les masques), à un confinement plus long et plus radical qui a encore creusé le fossé entre notre économie et les économies de l’Allemagne et du reste de l’Europe du nord.
Le CNIP sera en pointe dans la mise en oeuvre de l’enquête et des poursuites judiciaires visant à déterminer et à sanctionner les responsabilités dans la catastrophe sanitaire. Au-delà, il faut tirer les leçons de cette catastrophe, ce qui implique tout d’abord de poser les bonnes questions.
Le CNIP formule ainsi deux observations fondamentales :
La catastrophe sanitaire n’a pas été pour l’essentiel une question de moyens, mais une question de mauvaise répartition des moyens et d’inadaptation des procédures et des comportements.
Ainsi, on sait que la carence du système hospitalier a lourdement aggravé la crise du coronavirus dans notre pays. Mais cette carence tient beaucoup moins au nombre total de lits d’hôpitaux (6 pour 1000 habitants contre 8 en Allemagne) qu’au nombre de lits de réanimation (au début de la crise, 5 000 contre 28 000 en Allemagne). C’est l’insuffisance des capacités en réanimation qui a failli provoquer des décès encore plus massifs de malades gravement atteints. C’est donc logiquement le nombre de malades en réanimation qui a été la variable la plus cruciale scrutée par tous les observateurs.
Ainsi encore, l’application à une situation d’urgence extrême de procédures lourdes et inadaptées, telles que le lancement d’appels d’offres pour l’achat de masques, a favorisé la transformation de la crise sanitaire en catastrophe sanitaire. Y a aussi puissamment contribué l’éparpillement des centres de décision, source d’indécision et de paralysie, ainsi que l’a relevé un ancien Directeur général de la santé.
Dans le même ordre d’idées, la pénurie de produits aussi élémentaires que les masques chirurgicaux n’est pas le signe d’un sous-développement de notre pays, mais le signe des excès de la mondialisation. Il faut en particulier méditer cette erreur d’une extrême gravité qui a consisté à faire reposer l’essentiel de notre approvisionnement en équipements sanitaires sur un seul pays, la Chine, qui est
historiquement le principal foyer mondial des épidémies. A ce défi, il faudra remédier par la réindustrialisation.
La catastrophe sanitaire soulève un problème qui n’est pas uniquement d’ordre sanitaire, mais qui concerne tous les domaines dans lesquels la sécurité nationale peut être en jeu.
Une épidémie est un problème sanitaire majeur, brutal et meurtrier. Fort heureusement, il n’en va pas ainsi de la très grande majorité des risques auxquels la politique de santé publique se doit de remédier : ces problèmes sont au coeur de l’intérêt général et des missions de service public mais ils ne mettent pas en cause la sécurité nationale, en ce sens qu’ils n’entraînent pas de graves bouleversements dans la vie du pays tout entier.
Parallèlement, des crises d’une ampleur comparable ou supérieure à celle du coronavirus peuvent survenir dans différents domaines, dont le domaine militaire est celui qui vient le plus spontanément à l’esprit. La manière calamiteuse dont le gouvernement a fait face à la crise sanitaire impose que soit menée une réflexion sur les autres types de crises d’ampleur nationale susceptibles de survenir, et sur la démarche à adopter pour les surmonter avec un coût minimal en vies humaines et en dommages pour l’économie.
Nous proposons la mise en place de mesures concrètes :
Création d’une Délégation générale à la Sécurité nationale.
Cette délégation sera composée de fonctionnaires détachés et, en tant que de besoin, de spécialistes issus du secteur privé et recrutés par contrat. Elle dépendra directement du Premier ministre, compte tenu du fait que ses attributions porteront sur le champ d’action de plusieurs ministères.
Elle aura pour mission, en concertation avec les ministères et, autant que de besoin, les entreprises et autres entités pouvant jouer un rôle utile, d’élaborer des scénarios de crise d’ampleur nationale (différents types d’épidémies, guerre contre une grande puissance militaire, accident nucléaire,…) et de trouver les réponses adaptées à chacun d’eux. Elle appuiera sa réflexion sur l’organisation de simulations sur le terrain, pouvant être le cas échéant associées à des manoeuvres militaires. A cette occasion, des chaînes de commandement opérationnel, avec à leur tête un membre de la Délégation générale, seront définies pour les périodes de crise.
Elle aura aussi pour mission de déterminer quels sont les biens et services vitaux dont notre pays doit disposer pour faire face aux différents scénarios de crise, et comment lui permettre d’en disposer. Il faudra donc déterminer une politique de stockage, une politique d’importations et une politique de production nationale, pour éviter les ruptures d’approvisionnement. Cette dernière, que l’on pourrait qualifier de « réindustrialisation sécuritaire », présentera des points communs avec la politique de réindustrialisation que l’on pourrait qualifier d’économique (cf. également Réindustrialisation, agriculture, aménagement du territoire et logement : rétablir les équilibres), mais avec une différence fondamentale : l’Etat prendra en charge cette politique autant que de besoin, jouant son rôle régalien qui consiste notamment à assurer la protection de la vie des Français.
En cas de survenance d’une crise de grande ampleur, la Délégation générale prendra la direction des opérations. Ses décisions s’imposeront à la hiérarchie ordinaire des services administratifs, qui ne pourra plus intervenir que pour avis. Les règles dont la mise en oeuvre requiert de longs délais (comptabilité publique, appels d’offres…) deviendront inapplicables sous peine de sanctions pénales pour toutes les actions visant à résoudre la crise. Les agents publics défaillants seront immédiatement suspendus et remplacés, la justice statuant le cas échéant sur leur cas par la suite. Les attributions de la Délégation générale en regard de celles du Haut-commandement militaire seront à préciser dans le cadre de chacun des scénarios de crise. Seuls les préfets à l’échelle locale, les ministres à l’échelle nationale et les tribunaux statuant en référé pourront contester les décisions de la Délégation générale. Seul le Premier ministre sera habilité à les abroger ou les annuler.


Bruno North
Président du CNIP

Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cnip

13/05/2020

Un communiqué des élus LR de Paris

Paris, le 13 mai 2020
 

Communiqué de Rachida DATI, Brigitte KUSTER, Catherine DUMAS,
Agnès EVREN, Geoffroy BOULARD, Marie-Claire CARRERE-GEE et des
élus du groupe Les Républicains et Indépendants.

 

On ne peut pas laisser mourir le commerce parisien !

Depuis le début de la crise sanitaire, Paris est confronté à une invraisemblable série de ratés. Anne HIDALGO n'a cessé de multiplier des annonces restées lettre morte : passeports d’immunité, dépistages généralisés, distribution de masques pour les Parisiens. Dernière annonce en date, le dépistage des enfants, pour lequel l’ARS n’a toujours pas donné son accord. Quant au nettoyage des rues et chaussées, du mobilier urbain ainsi que des abords des stations de métro, il aura fallu attendre l'orage pour qu'il se passe quelque chose, aucune action spécifique n'étant à l'ordre du jour.

De notre côté, nous avons entendu et consulté les commerçants, les restaurateurs, les artisans, les petits entrepreneurs et les professionnels de la culture à Paris. Si rien n'est fait, Paris perdra son cœur économique battant, ces commerces et établissements qui font le dynamisme et la réputation de Paris.

Depuis toutes ces semaines, nous demandons sans relâche à la maire de Paris d'établir un budget de crise permettant d'adopter rapidement les indispensables mesures de relance. Ces mesures d'urgence, nous les avons notamment proposées lors du dernier Conseil de Paris, le 28 avril :

- Le prolongement de la gratuité du stationnement ; 

- L’annulation des droits de voirie et des droits de terrasse ; 

- L’exonération totale de la taxe de séjour et des redevances d’occupation du domaine public ;

- L’exonération des loyers des locaux commerciaux gérés par les bailleurs sociaux de la Ville pour les mois de reprise d’activité

- La création d’un fonds municipal pour perte d’exploitation des établissements et commerces culturels ; 

- L’assouplissement des conditions d’ouverture le dimanche pour les commerces ;

- La mise en place pour les commerçants et artisans d’une garantie d’emprunt de la Ville pour les prêts de trésorerie.

Sans ses commerces, sans ses cafés, ses restaurants, Paris ne pourra pas reprendre vie. Ils ont désespérément besoin d'un plan de reprise lisible et d'un soutien massif de la Ville pour reprendre espoir. Le temps du confinement n'a pas été mis à profit pour anticiper une sortie par le haut. La Ville a déjà pris plusieurs semaines de retard dans la gestion de cette crise : il faut d’urgence rattraper le temps perdu en agissant au plus vite et en présentant un véritable budget de crise.

Un sursaut est nécessaire, il faut sortir de cette spirale de l'échec et nous voulons y contribuer au travers de ces propositions.

Nous attendons beaucoup du Conseil de Paris du 18 mai : nous ferons donc à nouveau part de nos propositions à Mme HIDALGO qui, pour l’instant, a toujours refusé de les prendre en compte.

 

Rachida DATI, Brigitte KUSTER, Catherine DUMAS,
Agnès EVREN, Geoffroy BOULARD, Marie-Claire CARRERE-GEE
et les élus du groupe Les Républicains et Indépendants

06/05/2020

De tout coeur avec Eric ZEMMOUR

Après l'agression subie par Eric ZEMOUR par des fascistes de gauche, AGIR POUR LE 10E exprime son indignation et son soutien à Eric ZEMMOUR.

05/05/2020

Une reprise à la carte à Paris?

réouverture des écoles, Rachida DatiAu micro de France Info, Rachida Dati s'est inquiétée lundi que la réouverture des écoles ne crée une remise en cause profonde de notre principe d'obligation scolaire puisque le retour des élèves se fera sur la base du volontariat.

C'est une remise en cause profonde de notre principe d'obligation scolaire, qui remet en cause l'égalité des chances et, à Paris, on va encore plus loin, puisqu'on nous demande de scolariser les enfants des publics prioritaires, sans les définir.

Rachida Dati craint que cette sélection aboutisse à de l'arbitraire et ne remette en cause la mixité sociale. Elle estime qu'avec des reprises comme ça, à la carte, on va rajouter encore plus d'inégalités aux inégalités.

02/05/2020

L'ETRANGE CONSENSUS SUR LE PORT DU MASQUE

Personne ne remet en cause la nécessité de porter un masque en ces temps de COVID19.

Observons pourtant les porteurs de masque :

- ils le portent sur le front, sur le cou, voire sur la tête

- ils l'enlèvent pour se gratter le nez

- ils l'enlèvent pour se moucher

- ils l'enlèvent pour fumer

- ils l'enlèvent pour tripoter leur portable

- ils l'enlèvent pour parler (!)

- ils l'enlèvent parce qu'ils ne peuvent plus respirer...

On ne pourra rien y faire.

En réalité, ce masque est touché et souillé en permanence. Hier soir un ponte du monde médical affirmait à la télévision avec morgue : "dans le milieu hospitalier, on en porte bien toute la journée, alors?". Sauf qu'il n'en portait pas quand il a affirmait ça et sauf que, dans le milieu hospitalier, on ne le porte pas toute la journée et on se décontamine les mains très souvent notamment parce que les produits de décontamination sont à portée de main et aussi parce que ça fait partie d'un long apprentissage.

Et le virus peut aussi pénétrer par les yeux qu'on va aussi toucher plusieurs fois avec ses mains souillées.

Et la qualité des masques fournis est très approximative : ceux qu'on peut obtenir par ordonnance sont chinois et le cordon se détache. Difficile de s'en servir ensuite, surtout que le mode d'emploi est en chinois...

Et il faut faire une lessive spéciale à 60° pendant 30' pour les masques lavables. Pratique et économique.

La seule défense contre le virus, ce ne sont pas les masques mais le fait d'arrêter de parler quand on croise une personne!!!

A moins que le virus ne se propage pas par la bouche?